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Chap 27 : Les confidences d’Amélie.

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Chap 27 : Les confidences d’Amélie.Lundi matin, Amélie se prépare tranquillement dans sa salle de bain avec une étonnante joie de vivre. Habituellement, elle a horreur du premier jour de la semaine, mais après le weekend qu’elle vient de passer, elle se sent libre, soulagée, heureuse. Elle a une pêche d’enfer. Elle allume son petit poste radio, retire son peignoir et se faufile sous la douche. L’eau est à bonne température, Amélie se savonne en poussant la chansonnette. En se rinçant, elle repense à celui qui l’a fait jouir comme une folle. Elle ne le reverra sans doute jamais, mais son souvenir risque de lui donner chaud pendant quelques temps, comme à cet instant.Elle sent le désir se propager en elle, ses mains empaument ses magnifiques seins, elle les chérit avec volupté en sentant sa minette s’humidifier, impatiente d’accueillir ses longs doigts fins. Elle n’est pas une grande adepte des plaisirs solitaires et pourtant c’est déjà la sixième fois depuis le vendredi soir qu’elle se masturbe. Adossée contre le mur, le pommeau arrosant son corps, elle se pourfend à deux doigts et jubile sa petite mort avant d’attaquer cette nouvelle semaine.Amélie est une jeune femme de 25 ans, une belle brune plantureuse aux origines italiennes. Elle vient d’un petit village près de Nice et vit en région parisienne depuis plus d’un an. Ca ne l’enchantait pas, mais pour exercer son métier de professeur d’histoire-géo, elle n’a pas vraiment eu le choix. Et finalement, elle s’y fait bien à la vie dans la capitale.Amélie rêvasse dans le métro qui la conduit vers son collège. Elle est apaisée et savoure cette belle journée qui commence. Elle est presque ravie de retrouver ses élèves qui lui donnent tant de fils à retordre.En entrant dans la salle des profs, Amélie retrouve Marie, sa collègue prof d’anglais et néanmoins amie. Une petite blonde de 29 ans, un peu boulotte, picarde et totalement délurée.- Salut Marie, la forme? Tu as passé un bon weekend?- Oui c’était sympa, mais j’ai trop la tête dans le cul, il va me falloir des litres de café aujourd’hui.- Toi tu as encore fait des folies? Sourit-elle.- Grave, j’ai rencontré un beau black en boîte, il m’a démontée toute la nuit.- Celle-là alors, tu ne t’arrêtes jamais.- Qu’est ce que tu veux, quand on aime, on ne compte pas. Et toi, ton weekend?- Terrible. Figures-toi que tu parles à une femme célibataire?- Non, c’est vrai, tu as enfin largué ce connard de Grégoire?- Et oui.- Depuis le temps que je te dis que c’était pas un mec pour toi, 6 mois que tu étais avec lui, 6 mois que je te dis que c’était pas un mec bien.- Oui, bah j’en ai appris de bonnes sur lui, je suis pas prête de le revoir cet enfoiré. Si tu savais tout ce qu’il a dit sur mon dos.- Je me suis toujours méfier de lui, je me doutais qu’il était fourbe et malhonnête.- En tout cas, je me suis bien vengée, avant de le quitter, je me suis fait son pote…- Quoi? Non pas toi, tu n’as pas fait ça?- Si, si, samedi soir.- Madame j’ai horreur des mensonges, des tromperies, où sont passés tes idéaux sur la fidélité?- Bah, j’ai craqué sur ce type avant même que ça parte en sucette avec Greg, il était trop mignon, tiens regarde, je l’ai en photo sur mon portable.- Ha ouais, canon. Et alors?- Et alors quoi?- Bah raconte, je veux savoir comment ça s’est passé.- Non, je ne suis güvenilir canlı bahis siteleri pas comme toi, je ne raconte pas mes histoires de fesses à tout le monde.- Comme si ça ne t’intéressait pas. Bon allez, raconte.Amélie n’est pas du genre à se livrer sur sa vie privée, mais cette fois, elle est tellement fière d’elle, elle a pris tellement de plaisir, qu’elle se sent obligée d’en faire partager sa copine.- Bon, tu te souviens que je t’ai dit que vendredi soir, Greg et moi, on devait aller boire un verre avec ses collègues ingénieurs et que ça me faisait chier d’y aller?- Oui, tu m’as dit que tu étais persuadée que tu allais t’ennuyer.- Oui, sauf que je ne me rappelais plus que c’était ce weekend que son pote de Bretagne débarquait.- Le fameux étalon?- Oui, mais attends. On est donc allé le chercher à la gare Montparnasse. Greg m’en a rarement parlé, mais il m’en a toujours dit du bien. Sauf qu’il s’était bien gardé de me dire que son pote était trop mignon. Mais bon, tu me connais, ce n’est pas parce que je trouve un mec mignon que j’ai forcément envie de coucher avec lui. Mais là, dès qu’il m’a détaillé, j’ai tout de suite compris que je lui plaisais.- Normal, tu es trop belle ma chérie.- Merci, mais tu aurais vu sa façon de faire, il m’a déshabillé du regard en une fraction de seconde, sans même que l’autre abruti s’en aperçoive. Ça m’a changé des gros débiles qui me sifflent dans la rue.- Tu m’étonnes, j’ai eu le droit hier soir aussi, 2 bouffons, “Hey t’es bien bonne toi, t’as pas un 06?”- Les relous. Bref, j’étais bien lookée en plus. Cheveux lissés, pomponnée sobrement, un peu de gloss sur mes lèvres, petit blouson en cuir noir, jean’s slim taille basse bleu ciel, bottines et sac à main Channel avec tout mon petit bourrier nécessaire à ma survie. Classe quoi. Le mec m’a fait un de ces sourires…Et quand il m’a fait la bise pour me saluer, il a posé sa main sur ma hanche, comme ça, tu vois. Et tu sais combien j’aime le côté tactile chez un mec.- Ouais, tu as craqué immédiatement en gros?- Non, j’ai pas craqué, mais ça m’a rendue toute chose.- Moi un beau gosse comme lui, qui me dit bonjour comme ça, je l’emballe direct.- Mouais enfin à ce moment-là, je ne le connais même pas, je ne sais même pas s’il est célibataire et puis entre Greg et moi tout va bien jusque là, je ne pense pas à ça. Je me dis juste que la soirée va être moins chiante. Le mec a l’air sympa, en plus il a un joli petit cul.Amélie se lève en souriant, se sert une tasse de café et se rassoit en face de sa consoeur enseignante pour poursuivre son récit.- Ensuite, on a rejoint les collègues de Grégoire au bar. Et là j’ai fait connaissance avec Christophe, vu que Greg ne nous calculait pas, trop concentré à parler de boulot entre ingénieurs. Tu m’écoutes???- Oui, excuse-moi, mais le nouveau prof de sport vient de passer.- Tu sais bien que tu n’as aucune chance avec lui.- Peut-être, mais ça ne m’empêche pas de le mater. – T’es pas croyable, je suis en train de te raconter un truc super intime et toi tu baves devant un mec inaccessible.- Pardon, continue.- Donc je discute pendant un bon moment et je découvre un mec trop attachant. Il est gentil, ouvert, cultivé, vif d’esprit.- T’es séduite?- Oui, un peu. Surtout qu’après il m’annonce qu’il est célibataire, qu’il aime güvenilir illegal bahis siteleri faire la cuisine, qu’il adore les enfants. Je me dis que c’est pas possible, c’est le mec idéal.- Ou alors un coureur de jupons mythomane?- Non franchement, je le trouve sincère, il me fixe du regard à chaque fois qu’il me parle.- Il t’a regardé dans les yeux seulement?- Non, plusieurs fois il a louché sur mon décolleté. Au départ, ça m’a un peu gênée, mais au fil de notre conversation, je me suis dis que mes seins étaient là pour ça.- Mademoiselle Amélie se met à allumer les mecs maintenant…- Je ne l’ai pas allumé, enfin si un peu, j’ai bombé ma poitrine une ou deux fois.- Tu as dû mouiller ton string?- Non quand-même pas, mais je commençais à avoir des papillons dans le ventre.- Et ton mec ne disait rien en te voyant flirter avec son pote?- Je ne flirtais pas, on parlait simplement. Et non, Greg n’a rien vu. Il a juste tiqué un peu quand son camarade m’a offert un autre kir, mais il n’a rien dit.- Ok, bon abrège, viens en aux faits, on va pas tarder à aller en classe.- Bah attends, c’est toi qui a voulu que je te raconte tout, ça ne s’est pas fait comme ça, juste en claquant des doigts.- D’accord, mais dépêche un peu.- Tu vas voir, ça va devenir intéressant.- J’espère bien- Ensuite vu que j’étais naze, on est rentré tous les 3 chez Grégoire. Je suis allée dans la salle de bain pour me préparer pour la nuit, pendant que les garçons confectionnaient la couchette du breton. Ça m’amusait de savoir qu’il allait dormir sur un matelas juste en dessous de moi.- Comme un bon chien de garde, hihihi.- Oui. Et tu vois, je me change et là, grosse hésitation. D’habitude je ne mets rien sous ma nuisette, mais là, je réfléchis deux secondes. Si jamais, je fais un faux mouvement et qu’il voit tout? Du coup, je pique un caleçon à Greg.- A ta place, j’aurais rien mis, plus pratique pour coquiner si besoin.- Oui, mais comme je t’ai dit, à ce moment-là, j’ai pas envie de lui, je n’imagine pas un seul instant faire quoique ce soit. En plus quand je suis passé devant lui, dans ma nuisette rouge, pour aller me coucher, il ne m’a même pas observé.- Il a peut-être été plus discret ce coup-ci.- Je ne sais pas, mais tout ce que je peux te dire, c’est que moi je me suis bien rincée l’oeil quand il est sorti de la salle de bain uniquement vêtu d’un short de foot.- Oh la petite voyeuse, il était bien foutu?- Carrément, pas un poil, pas un pet de gras, de bons pectoraux et une belle tablette de chocolat, mais pas non plus façon bodybuilder, juste ce qu’il faut, là où il faut.- Le genre de mecs, tu n’as qu’une envie…lui baisser son short et de le manger tout cru.- Oui j’avoue, ça m’a fait bizarre, comparé à Greg qui est plutôt poilu et bedonnant. D’ailleurs en parlant de son short, j’ai un peu honte de te le dire, mais je me suis surprise à regarder son entrejambe.- J’ai toujours su que tu étais une petite coquine…et alors, il a un gros paquet?- Je n’ai pas bien vu, mais son short était un peu gondolé.- Hum, tu vas finir par m’exciter.- Calmos mémère, il ne s’est rien passé ce soir-là, enfin…pas avec lui.- Avec l’autre boulet? – Non plus, je t’explique. On était tous les trois couchés et Greg a allumé la télé. Moi au bout de 5 min, j’étais tellement crevée, je me güvenilir bahis şirketleri suis endormie comme une merde.- Tu as dû faire de beaux rêves?- Bof, je me suis réveillée à un moment car l’autre gros porc prenait toute la place et il ronflait en plus.- Fallait lui donner un grand coup de coude dans les côtes.- Si j’avais su ce que je sais aujourd’hui, je ne m’en serais pas priver. Et là en ouvrant les yeux, il y a encore de la lumière, mais c’est le silence complet.- La télé est restée allumée?- Oui et au programme, un film porno. Vu que Greg dormait profondément, j’ai tout de suite capté “qui” regardait ça.- Oh le petit pervers. Et alors tu as vérifié s’il se branlait?Amélie devient alors toute rouge.- Oui. Il pensait que je dormais, alors discrètement, j’ai penché la tête pour voir ce qu’il faisait par curiosité.- Mais bien sûr, par curiosité…t’avais envie de voir sa queue surtout.- NON!!! Pas à ce moment-là en tout cas.- Et donc?- Bah ouais, il était en train de se…t’as pigé quoi. Son bras s’agitait rapidement sous le drap.- Hahaha excellent, tu ne lui a pas demandé s’il avait besoin d’un coup de main?- T’es folle, je ne suis pas une dépravée comme toi. Et puis je te rappelle que je suis toujours avec Grégoire ce soir-là, j’ai aucune intention de le tromper. Bon avec le recul…- Et donc tu n’as rien fait? Tu t’es rendormie?- Non pas tout de suite. J’avais trop de mal à croire ce que je venais de voir et pour être honnête, j’étais un peu emoustillée. J’ai commencé à suivre un peu le film. Pourtant je n’aime pas ce genre de film, mais là, la situation, le contexte…mon mec d’un côté, un mec craquant juste en dessous qui se caresse et pour image un couple de hardeurs en plein 69… Ca m’a excitée, j’ai senti mon minou devenir liquide. Et en me demandant si mon voisin était aussi bien membré que l’acteur dans l’écran, je n’ai pas pu résister, il fallait que je me fasse jouir.- Non? Tu t’es masturbée aussi?- Oui, j’avais jamais ressenti un tel désir. J’ai glissé ma main sous la couette, puis dans mon pyjama de fortune et je me suis laissée aller en silence pour éviter que Chris remarque quelque chose.- Moi je les aurais réveiller tous les deux pour me faire prendre en sandwich.- Ca ne va pas, jamais de la vie.- Tu devrais essayer, c’est trop bon.- Ouais, mais non, ce n’est pas un truc qui m’attire.- Bon et alors tu as jouis?- Même pas, j’avais deux doigts en moi, j’étais poisseuse comme rarement, d’ailleurs j’ai fait une sacrée tâche sur le drap-housse, et quand j’ai senti que mon orgasme était proche, tu ne vois pas que ce cher monsieur se lève et file tout droit aux toilettes.- Il est allé se vider les couilles.- Hihihi, oui c’est ce que j’ai pensé. Mais du coup, je me suis stoppé net et j’ai fait semblant de dormir pour ne pas qu’il sache que je l’ai grillé. Je suis restée immobile avec mes deux doigts dans la fente. Puis je les ai retiré avant qu’il ne revienne.- Tu devais être frustrée.- Ne m’en parle pas, j’étais toute proche du but. J’ai eu du mal à retrouver le sommeil. Je me sentais ignoble d’avoir fantasmer sur un autre mec et je n’arrêtais pas de me questionner. Est-ce qu’il m’a vu? Qu’est-ce que je vais lui dire demain? Arriverai-je à le regarder en face?- Moi, la seule question que je me pose, c’est, est-ce que je vais pouvoir tenir jusqu’à midi sans me masturber, tu as réussi à me donner envie avec tes histoires.- Tu es une grande malade, tu le sais ça?- Oui et j’assume complètement. Bon je te laisse, je vais retrouver mes 4èmes. On mange ensemble ce midi, je veux connaître la suite.- Ca marche, à tout à l’heure, bon courage.A suivre…

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