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le magasin de chaussures…Maitresse Claudia m’avait fixé par mail l’objectif suivant: Aller acheter en compagnie de miss Betty, ma compagne, une paire de chaussures à talons aiguilles de huit centimètres, en portant sous mon pantalon, porte-jarretelles et bas marrons, plug dans les fesses, ongles des pieds vernis en rouge, ceci sans chaussettes, point sur lequel elle avait bien insisté histoire d’en accentuer l’humiliation, sans oublier bien évidemment le port de la cage. De plus, miss Betty avait pour sa part la mission de prendre des clichés de mes essayages. Nous avions prévu d’aller faire des achats pour la maison le samedi suivant et décidâmes d’en profiter pour faire les magasins de chaussures des centres commerciaux alentours. La tache risquait d’être ardue et j’imaginais bien ne pas avoir beaucoup de choix dans ma pointure (un bon 42 1/2…), surtout en cette saison automnale.Habitant dans un petit village, je profitait d’un passage en ville le jeudi pour me procurer une paire de bas de la couleur imposée par maitresse Claudia, n’en possédant pas dans ce coloris et parti à la recherche de ces derniers dans un grand magasin. Passant d’un rayon à l’autre dans cet univers féminin, je devais faire un peu tache et me fit, par mes aller et venues et un air certainement nerveux, quelques peu repérer par le vigile. Je tomba enfin sur le présentoir recherché et après un rapide coup d’oeil sur la correspondance des tailles, je m’empara des si précieux bouts de nylon. Après avoir trouvé les caisses, j’essaya d’en choisir une où je me serais moins fait repérer par la caissière pour mes achats. J’avais jeté mon dévolu sur une petite jeune, qui l’air peu passionnée par son travail et semblant compter les heures, aurait encaissée mon billet sans lever l’oeil. Evidemment, dans ces moments là, les choses se déroulant rarement de la manière dont on le souhaiterait, les files d’attente imprécises me propulsèrent devant sa collègue, la cinquantaine, ce qui me rendit un peu plus embarrassé. Je lui tendis rapidement mon canlı bahis şirketleri achat, un peu à la manière d’un premier achat de préservatifs en pharmacie, en essayant de le dissimuler quelque peu à la vue de la cliente suivante. Elle encaissa sans sourciller, me rendit la monnaie et je pu alors tourner les talons et rejoindre la sortie.La veille, je m’attela à parfaire mon rasage des parties intimes. Mon système pileux abondant, source de complexes depuis mon enfance et en complète contradiction avec mon fort intérieur n’allait pas faire bon ménage avec des ongles de pieds vernis. Je décida donc de procéder à l’épilation de mes jambes. Ce n’était pas une première l’ayant déjà fait par le passé, mais je n’avais pas renouvelé l’expérience depuis fort longtemps. A la sortie de la douche, les jambes lisses, je me sentait bien et accompagné d’un sentiment de satisfaction. Je pouvait passer à l’étape suivante, le vernis à ongles. Bien que l’ayant déjà rêvé à maintes reprises, c’était la première fois que je me lançait dans cette transformation et j’essaya pour le coup d’y mettre tout le soin possible. Après avoir procédé à une brève recoupe de mes ongles ainsi qu’à leur limage, je m’attaqua à l’application d’une première couche de vernis, tout en ayant pris garde d’écarter mes orteils à l’aide de petits morceaux de coton. Le premier pied terminé et avant de passer au suivant, j’avais déjà sous les yeux un aperçu du futur résultat. C’était pour moi une vision inédite mais qui m’apporta une sensation fort agréable et je continua sur ma lancée le deuxième pied. Après avoir laissé sécher la première couche, j’en appliqua une seconde. Ceci fait, je ne pu qu’admirer le résultat avec une certaine satisfaction et j’aurais apprécié pouvoir remercier maitresse Claudia de m’avoir imposé cela, car sans sa demande je ne suis pas sur que j’aurais osé tenter l’expérience, où alors seulement en cachette.Nous étions samedi et le jour J était arrivé. J’avais depuis notre décision d’y aller ce jour, eu l’occasion canlı kaçak iddaa de fantasmer sur comment allait se passer les essayages et avait eu ma dose d’excitation en imaginant les scénarios possibles, mais c’était maintenant le moment fatidique. Un peu avant de partir je parti m’habiller dans la salle de bain où j’avais au préalable préparé tous les accessoires imposés par maitresse Claudia, sous-vêtements et plug. De son coté, Miss Betty glissait l’appareil photo dans son sac afin de mener à bien sa tache. Nous avons ensuite pris la route.Dans la voiture j’étais comme à mes habitudes. Ni anxieux ni inquiet, mis à part le plug inséré dans mon fondement qui me rappelait le sort qui m’attendait. Cela se compliqua au moment où nous nous sommes garés à proximité du premier magasin de chaussures. J’en voyait la devanture ainsi que la clientèle y rentrant où en sortant. Couples, familles, groupes de copines, le beau temps était de la partie ce samedi après-midi d’octobre, ce qui devait en accentuer l’affluence. Peut-être aurais-je préféré y aller en semaine, un jour de pluie… Miss Betty entra la première, moi lui emboitant le pas. Nous étions dans l’antre et nous sommes mis à arpenter les rayons à la recherche du modèle souhaité. Ma compagne était très à l’aise, un peu comme une femme dans un magasin de chaussures… Pour ma part le sentiment était plus nuancé et j’oscillais entre l’envie de tomber sur LA paire d’escarpins désirés, pouvant ainsi mener à bien mon objectif en prouvant à maitresse Claudia mon respect à ses ordres tout en vivant une situation inédite, embarrassante et humiliante et l’envie de quitter le magasin sans réellement chercher plus avant. Par chance où malchance, c’est selon, la plupart des modèles s’arrêtaient au 41 et les quelques modèles de 42 qui trainaient ci et là ne faisaient pas la hauteur de talon requise. Nous avons donc quittés ce magasin.Miss Betty était déçue et nous avons donc repris la voiture pour tenter notre chance ailleurs. Les deux autres magasins visités ensuite canlı kaçak bahis n’ont pas étés plus concluants que le premier. Nous avons décidés ensuite de faire nos courses pour la maison, l’horloge tournant et bon nombre d’achats à faire. Dans la grande surface de bricolage, je sentait le cockring de la cage m’irriter alors que le plug dans mes fesses se rappelait à mon bon souvenir en tentant de s’en échapper. Avec quelques contorsions je réussi à remettre le tout en place afin de finir nos achats en toute quiétude.Avant de quitter le centre commercial, nous tentèrent un dernier magasin de chaussures, sans grands espoirs, qui d’ailleurs restèrent vains.Une rapide recherche sur mon smartphone nous indiqua un magasin spécialisé en grandes pointures situé en centre ville, mais l’heure ne nous encouragea pas à nous y rendre. De son coté, miss Betty attira mon attention sur le fait que dans un tel magasin nous aurions certainement à faire à une vendeuse et que l’humiliation en serait tout autre…. Je lui répondit que j’y avais bien pensé, mais que comme la connaissant, elle aurait bien trouvée un subterfuge à raconter à la vendeuse… Et sa réponse fut telle que je l’attendais, à savoir qu’il y avait bien deux solutions: celle du besoin d’une paire d’escarpins pour un déguisement à l’occasion d’une fête quelconque et l’autre, bien plus réelle, du besoin d’une paire d’escarpins pour son mari portant des sous-vêtements féminins… Et je sais par avance que si la deuxième option était choisie, elle saurait me mettre par ses mots dans un embarras que je n’aurais osé espérer.Nous n’avons pas pour le moment relancés l’affaire, mais je pense bien aller prochainement jeter un coup d’oeil à ce magasin, histoire de tâter le terrain pour de futurs achats… Par ailleurs, miss Betty qui n’avait pas pris le temps de vérifier par elle même si j’avais bien suivi les consignes vestimentaires de maitresse Claudia, à découvert le soir même mes jambes fraichement épilées ainsi que mes ongles vernis et m’a félicitée pour son application.Depuis, je me suis commandé mon propre flacon de vernis ainsi qu’un sachet de cire pour une utilisation mutuelle. Elle, de son coté, s’est proposée pour me faire prochainement le maillot à la cire, plutôt que d’utiliser le rasoir……….

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