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Ma femme Nadia m’a perverti

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Ma femme Nadia m’a pervertiJ’étais assez timide depuis mon adolescence et sans aucune petite amie attitrée. J’avais 2 ou 3 copains avec qui nous faisions des soirées ciné, resto ou spectacles et quand ils se sont mariés plus tard ou mis en ménage, je me suis retrouvé seul, comme un con.Cela m’a beaucoup pesé pendant longtemps ; je passais une bonne partie de mon temps libre, en soirée ou le week-end devant mon pc, à voir des vidéos pornos. J’avais un look plutôt efféminé, ce qui m’a valu parfois des regards vicieux de « vieux » et des propositions ou des avances de mecs vicelards.Un jour, j’ai craqué, ça me trottait dans la tête depuis quelques temps et j’ai décidé de franchir le pas : je voulais faire une pipe à un homme plus âgé que moi de préférence.Je me suis rendu dans un ciné et me suis assis au fond de la salle. A l’autre bout du rang, un mec se branlait. Quand il m’a vu, il est venu s’asseoir à côté de moi. J’étais à la fois gêné et intéressé ; il m’a pris la main pour que je le branle et là, ça m’a fait bander et j’ai voulu aller plus loin.Nous sommes allés dans les chiottes du ciné, je me suis mis à genoux devant lui et lui ai baissé pantalon et slip ; j’étais hyper excité de me trouver avec un superbe zob devant mon visage. L’odeur était un peu forte mais envoûtante ; je l’ai pris en bouche et j’ai commencé des va et vient ; c’était doux sur la langue et le goût m’excitait.Quand il a éjaculé, il m’a envoyé 6 ou 7 giclées de sperme épais et gluant que j’ai avalé sans hésiter. L’excitation était si forte que j’ai joui sans me toucher !En sortant, j’étais un peu confus ; excité par ce que je venais de faire mais aussi honteux d’un tel comportement.Quelques années après, j’ai rencontré une fille, Nadia, qui m’a plu tout de suite. Nous nous sommes mis en ménage assez rapidement, elle aimait chez moi mon côté un peu féminin : je suis grand, mince, une musculature fine, cheveux longs frisés et peu poilu sur le corps.Au fil du temps, mon côté féminin s’accentuait. Quand les 1er strings pour hommes sont sortis dans les catalogues de vente par correspondance, j’ai eu très envie d’essayer et ma chérie n’était pas contre. Au final, il y en a eu ensuite dans des grands magasins de vêtements et il lui arrivait parfois de m’en offrir. J’adorais ça, au point de ne plus porter autre chose : finis les slips et caleçons !Pour faire plus joli, je me rasais les côtés du pubis pour ne pas que ça dépasse et puis un jour, pour lui faire une surprise, j’ai tout rasé, pubis, verge, testicules et le peu de poils que j’avais sur les jambes et les fesses avec une crème dépilatoire.Nadia a trouvé ça très mignon et nous avons passé une soirée torride ! Elle m’a même dit que j’avais un beau petit cul de gonzesse !Ensuite, j’ai pris l’habitude de m’épiler entièrement. Pour les fesses, j’allais dans un institut d’esthétique, et pour le reste, je me débrouillais seul ou parfois avec son aide.Sorti de ça, nous étions un couple ordinaire et, au bout de quelques mois de vie commune, l’enthousiasme de nos débuts avait fait place à des canlı bahis relations sexuelles classiques et rituelles, fellations, cunnilingus… Pendant toutes ces années, j’avais acquis quelques « manies ». J’ai commencé à porter des chaussettes fines, noires que je trouvais élégantes et confortables. Par inadvertance, un jour j’ai mis des mi-bas de ma femme. Trouvant cela très agréable, j’ai continué. J’en suis arrivé à acheter en cachette des bas, dim up d’abord puis avec porte jarretelles. Le contact sur mes cuisses me procurait de fortes émotions. J’aimais aussi beaucoup porter des tee-shirts en tissu léger, très fins, près du corps et des pantalons fins blancs ou très clairs, de manière à ce que l’on voie mon string par transparence.Puis un string de ma femme s’est égaré dans ma pile de linge. Etait-ce un hasard ? Toujours est-il qu’il m’allait comme un gant. De plus, j’ai trouvé son contact soyeux et des plus agréable. Petit à petit, ma tenue vestimentaire avait perdu son aspect viril. Dans un domaine plus intime et, sous prétexte de faire durer l’échange plus longtemps, j’avais pris l’habitude de lui faire un cunnilingus après mon éjaculation précoce en elle, ce qui me faisait rebander aussitôt et me permettait de la reprendre avec vigueur.Et pour compenser les risques de mes « pannes » et de mon petit zizi, on a eu recours à l’emploi d’un gros gode. Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. Par contre, croyant peut-être me punir de cette attitude, elle a voulu un jour faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé, mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement au point que je la réclamais de plus en plus. Nadia n’a pas hésité longtemps pour me mettre le gode dans le cul. Elle a commencé alors à me traiter de véritable « pédé » et, loin de m’offusquer, ça m’excitait.Loin de m’en plaindre, j’en redemandais. Sans trop le savoir, j’avais beaucoup de prédispositions pour devenir bi, homo, passif, soumis, zamel (pédé en marocain).Le jour où son gode a remplacé ses doigts, elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement mes penchants. Je n’ai pas dit non et, plus ou moins sérieux, j’ai rajouté que cela ne pouvait pas se passer sans elle et qu’elle aurait à choisir l’élu. En plaisantant, j’ai même évoqué que mon fantasme était de la voir faire l’amour à un autre ou d’être pris en sandwich entre elle et lui.Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré mon très fort désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où ma femme m’a annoncé avoir invité, pour la soirée, un de ses amis que je ne connaissais pas encore. Sans y voir autre chose qu’une rencontre cordiale, j’ai accueilli un homme un peu plus âgé que nous, d’aspect sympathique et plutôt viril. Pendant que je servais l’apéritif, j’ai remarqué que ma chérie s’était maquillée et avait mis une tenue inhabituelle. Chemisier noir assez transparent et il me semblait qu’elle n’avait rien bahis siteleri dessous. Jupe légère, plutôt courte, qui paraissait pouvoir s’ouvrir facilement sur ses cuisses. Talons très hauts. Perplexe, je constatais qu’elle se comportait comme si elle voulait le draguer alors que je la savais, jusqu’à ce jour, sérieuse. Je n’osais pas croire ce que je voyais, surtout quand elle s’est assise très près de lui et que, machinalement, elle a mis une main sur sa cuisse.L’alcool aidant, la discussion devint obscène et orientée sur le sexe. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a fini par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant : « Bien sûr, je suis là pour ça ». Alors, ma femme m’a dit qu’elle savait depuis longtemps que je mettais des sous-vêtements féminins en cachette (elle avait trouvé l’appareil photo avec lequel je m’étais pris et dont j’avais oublié de vider la carte mémoire, et comme c’est elle qui range le linge, elle était tombée sur mes dessous féminins) et qu’elle et son ami aimeraient bien me voir avec.Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir. Quand je suis revenu, ils étaient en train de s’embrasser goulûment, une main avait disparu dans les plis de la robe de ma femme, l’autre dans son chemisier. Subjugué par cette audace, debout devant eux, je ne savais plus que faire.Alors, son ami m’a demandé de me rapprocher. Il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin, il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma femme, il lui dit : « Ton cocu a l’air d’aimer ça, il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma femme me dit : « Karim, tu ne vas pas faire ton difficile maintenant ! C’est ce que tu voulais ? Mon ami est d’accord pour nous partager et j’en ai très envie. Ramène les verres à la cuisine et viens nous rejoindre dans le lit ! » J’étais incapable de réaction et, en même temps, troublé au maximum de voir ma femme dans cet état et de penser que j’allais « être » dans les bras d’un homme.En arrivant dans la chambre, je les ai trouvés nus, enlacés. Quant ils se sont séparés, j’ai pu voir qu’il disposait d’un zob de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma femme, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple, elle me dit « regarde comme il faut faire ! » et elle engloutit le zob dans sa bouche, sous mes yeux, et a commencé une magistrale fellation. Subjugué, je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit : « Suce- le bien, sale pédé de mari ! Fais comme j’ai fait, à fond !». Et pour conforter ses propos, elle appuya sur ma tête d’une main et se masturba de l’autre.Aux bruits environnants, j’ai compris qu’ils continuaient de s’embrasser et bahis şirketleri de se caresser. Puis ma femme s’est levée. Peu après, tout en continuant à sucer cette belle bite, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était en train de m’enduire l’anus de gel lubrifiant. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon cul, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode.J’ai eu un petit gémissement. « Depuis quand te plains-tu ? » me dit-elle.Je sentais que le zob de notre ami devenait de plus en plus dur. Il se dégagea de ma bouche et demanda : « Par qui je commence ? ». « Par ce pédé ! » dit ma femme en me montrant du doigt. Cela me fit bander et je me sentais complètement soumis ! Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma femme appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum. Son ami s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé mon sphincter, je n’ai pas pu, là aussi, réfréner un léger gémissement. Ma femme, de plus en plus salope, me demandait de me taire en me traitant de pédé, d’enculé et j’en passe.Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, envahi, je me sentais vaincu, dominé et cela me procura, peu à peu, un bien être extrême et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse.De temps en temps, mon amant ressortait son zob puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette légère douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma femme, en me faisant un peu souffrir. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « Oui, encore, encule-moi bien devant ma femme, vas-y à fond … » Et ma femme surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de belle salope, de chienne en chaleur, de cocu lopette, de zamel (pédé en marocain)…Puis elle s’est glissée sous moi en écartant au maximum ses cuisses jusqu’à ce que son tabboune (vagin en marocain) arrive à la hauteur de mon zizi. C’est son amant qui m’a introduit dans sa chatte tout en continuant à me limer. J’étais sur le point d’exploser comme je ne l’avais encore jamais fait. J’ai à peine eu le temps de me rendre compte qu’ils jouirent en même temps et j’ai explosé. Je ne me souviens vaguement que d’une vision de « feu d’artifice ».Après voir repris nos esprits, c’est ma femme qui s’exprima la première « Te voilà dépucelé mon cocu chéri, maintenant viens me lécher pour me nettoyer ! ». Ce que je fis avec plaisir puis elle m’ordonna de nettoyer le zob de son amant.Là, j’hésitais un peu, vu qu’il sortait de mon cul, mais elle me claqua les fesses avec v******e en me disant : « Suce salope, nettoie-le bien ! » et je pris cette bite en bouche pour la rendre totalement propre. Le goût était un peu fort, mais son zob n’était pas sale, hormis quelques traces de sperme un peu brunâtre. « Karim chéri, tu seras dorénavant à mes ordres et s’il t’arrivait de me désobéir, le martinet que je vais acheter te remettras dans le bon chemin ! » Tout était dit. Je ne me suis pas rebellé. Nous avons légèrement réorganisé notre vie et nous avons pris l’habitude de voir notre ami et amant dans notre lit.FIN

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