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Mes aventures avec des strip-teaseuses (partie 1)

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Mes aventures avec des strip-teaseuses (partie 1)Ayant tout juste 30 ans, j’ai pris l’habitude depuis un certain temps de fréquenter une boite de strip tease se trouvant à proximité de mon bureau. Je suis marié et j’ai la chance d’avoir une femme qui n’est absolument pas contre que je puisse aller voir ailleurs de temps en temps. D’ailleurs, ça ne me gène pas qu’elle en fasse de même. Notre seule règle, ne pas coucher avec une personne que l’autre connaît personnellement. Le fait d’enchaîner assez souvent les shows privés m’a permis de mater des femmes sublimes rien que pour moi mais aussi d’établir un contact physique avec la danseuse, dans les limites de ce qu’elle accepte, et également parfois de faire connaissance et de discuter avec elle. C’est ainsi que j’ai fait petit à petit connaissance avec quelques-unes de mes danseuses préférées, et que j’ai approfondi la relation avec certaines. Celle qui m’a le plus marqué se faisait appeler Marine. Une jolie petite brune aux cheveux longs, avec un corps magnifique, notamment une belle poitrine, une petite toison alléchante et un postérieur sublime… . La première fois que je l’ai vu j’ai tout de suite pris un salon avec elle afin de faire plus ample connaissance. Le premier contact fut très froid. Elle se tint à distance, et refusa de s’approcher. Alors que je la tutoyais naturellement, elle me demanda de la vouvoyer. Elle me fit bien comprendre à quel point elle méprisait les clients de cet endroit, et à quel point elle s’en méfiait aussi. Bref, je partais avec un gros handicape mais j’adore relever les défis !Je fis donc de mon mieux pour détendre l’atmosphère et montrer que je n’étais pas aussi repoussant que les autres. Un jour, elle me demanda ce que je faisais dans la vie. A ma réponse, je perçus une lueur d’intérêt, elle me révéla en effet qu’elle était étudiante dans un domaine très proche du mien, et qu’il n’était même pas exclu que nous nous rencontrions dans un cadre plus professionnel. Je repartis de là en rêvassant à divers scénarios de rencontres impromptues et embarrassantes pour tous les deux…La semaine suivante, je lui demandais de s’approcher, et elle accepta enfin. Je parvins même à lui poser mes mains sur son corps, sans qu’elle ne me repousse ! Tandis que nous faisions un peu plus connaissance en discutant des bons et des mauvais côtés de son job, ou les motivations des strip-teaseuses et celles des spectateurs, j’établissais un contact physique avec elle en caressant doucement sa peau. Toujours est-il que le contact progressait. La discussion restait un peu difficile, mais les corps, eux, se rapprochaient. Tout en lui caressant tout le corps, j’ai commencé à la prendre et à la serrer dans mes bras. Je lui ai caressé doucement le visage, et même massé la nuque. Je continuais ensuite en déposant quelques baisers sur son cou, sur ses joues. Quelques sessions privée plus tard, je tenta ma chance en tentant de l’embrasser sur les lèvres. A ma grande surprise, elle ne s’y opposa pas. Elle ne repoussa pas ma langue non plus ! Elle me laissa même une grosse tâche de rouge à lèvres sur le col de la konak escort chemise. Quel frisson délicieux d’embrasser cette sublime femme ! Pendant tout ce temps, elle restait néanmoins sur ses gardes et relativement peu engageante dans sa conversation. J’essayais tant bien que mal de faire un peu d’humour, de me rendre intéressant, mais avec peu de succès. Je finis tout juste par obtenir que l’on se tutoie. Et je lui dit enfin que j’aimerais beaucoup la voir dans un autre cadre. Elle m’expliqua alors que pour les strip-teaseuses, il est strictement interdit d’échanger leurs coordonnées avec les clients et de les voir en-dehors de l’établissement afin de ne pas faire une concurrence privée déloyale à la boîte. Du coup, les boîtes de strip-tease terrorisaient les filles à ce sujet et ne se privaient pas de virer celles qui étaient prises en flagrant délit. Quelques jours après ma précédente visite, je revins pour prendre directement un salon avec elle, sans même passer par la salle. Je repris mes baisers de plus belle, et elle continua à les accepter. Je lui suggérais que nous ne pouvions plus nous contenter que de 15 minutes de salon une fois de temps en temps, et qu’il fallait envisager de se voir à l’extérieur pour faire plus ample connaissance. Elle considéra la proposition de manière sceptique, mais finit par accepter. Elle me dit alors son vrai prénom et son âge (22 ans). Sur ce, je lui laissai ma carte de visite, en l’invitant à m’envoyer un mail pour reprendre contact. Trois semaines plus tard alors que j’étais en déplacement professionnel, je reçu enfin un mail de sa part, contenant juste un lien vers une de ses chansons préféré sur laquelle démarre un de ses numéros au club. Je pris cela comme un signal encourageant. Cela lança nos échanges par mail, pleine de quiproquo, de malentendu, et de délire. Décidément, cette fille était vraiment compliquée !Après trois semaines de correspondance, à essayer, entre autres choses, de faire concorder nos agendas, nous avons enfin fixé notre premier rendez-vous, en milieu d’après-midi, dans un salon de thé à proximité de l’établissement. Non sans qu’elle m’ait prévenu en ces termes :« Je donne peut-être une impression de grande assurance qui ne s’exécute qu’avec trop d’initiative, mais ce n’est du qu’à la forme d’échange par mail. La courtoisie me commande de t’avertir dès à présent que je risque de me montrer terriblement embarrassée, froide, me demandant ce que je fais là… Je suis peu facile à approcher. Alors apprivoiser…]Ta chance, c’est que j’adore le thé. »Le ton était donné… Premier rendez-vous avec Marine (je préfère continuer à utiliser son nom de scène), trois mois déjà après le début de cette aventure.Lorsque j’arrivai, elle était déjà assise à une table. Pour la première fois, nous nous retrouvons tous les deux habillés l’un en face de l’autre ! Au premier abord, j’ai un petit choc, je ne ressentais plus autant d’attirance qu’au club. Sa tenue très stricte et ses petites lunettes rectangulaires lui donnent un look d’étudiante se donnant des airs d’intellectuelle, à mille lieux de gaziemir escort la femme érotique qui m’avait séduit. Et alors que dans le club je déplorais son maquillage tout à fait excessif, là son absence se fit ressentir. Nous entamions une conversation courtoise et quelque peu tendue. De toute évidence, la communication n’était pas facile entre nous. Nous ne sommes ni l’un ni l’autre du genre à faire la conversation sur tout et n’importe quoi. Quant aux sujets plus intéressants, ils sont sensibles et difficiles à aborder. Je parvenais tout de même à lui donner une information qui me tenais cœur, à savoir ma situation maritale. Je tenais en effet à être d’emblée honnête avec elle et à ne pas lui faire miroiter des histoires de prince charmant. Je lui parla également de l’accord que nous avions ma femme et moi. Elle semblait accepter la situation sans difficulté. J’essayais ensuite de rétablir le contact physique que nous avions en salon, en lui prenant la main. Elle semblait étonnamment choquée par tant d’audace ! Elle dit à la fois ne pas y tenir, et en même temps elle y consentait en laissant sa main inerte dans la mienne… Bon sang, que cette fille est compliquée et parfois exaspérante ! Nous clôturons cette après-midi laborieuse par une petite promenade dans un parc qui se trouvait non loin de là. Une tentative maladroite d’enlacement, et un petit bisou d’adieu, sans effusions excessives. Etant échaudé par ce premier rendez-vous, j’avais pris la décision de changer de cible. En effet, depuis quelques semaines, j’aperçu une nouvelle au club, Malorie. Elle était grande, poitrine plutôt petite mais ferme, et blonde… Bref tout le contraire de Marine, qui était petite, brune, et avec une grosse poitrine. J’utilisa tout mon arsenal de séduction. Au bout de quelques sessions privées, elle se montra très chaleureuse, et se mit même à me faire des compliments ! Notamment sur mon anatomie, en faisant des allusions directes à ce qu’elle aimerait faire se que je cachais sous mon pantalon, je l’a mis alors au défis ! Elle me surprit alors à déboutener mon jeans et saisie mon pénis pour me masturber ! J’avais le ventre qui se tordait au contact frais de ses doigts autour de ma bite. Le souffle coupé, elle commença à me branler lentement, puis accéléra le rythme. C’était divin. Sourire en coin, elle me masturba plus fermement avec un pouce sous ma queue. Résultat je finis par exploser. Elle couvra mon gland de ses doigts, elle me vida avec soin, me caressa jusqu’au dernier spasme, jusqu’au dernier jet, jusqu’à la dernière goutte. C’est tellement fou, tellement bon, tellement doux ! Elle me caressa les couilles une dernière fois avant de porter ses mains à sa bouche et d’aspirer la semence qui s’y est accumulée. Pendant ce temps, sans que je sache pourquoi, je lui mordilla l’oreille. Apparemment elle apprécia grandement, cela lui procura des sensations visiblement très intéressantes. A la fin de notre séance de câlins, elle me montra ses cuisses, non, je ne rêvais pas, c’était sa mouille qui coulait abondamment de son vagin tout le long de ses izmir escort cuisses ! J’étais sidéré qu’elle puisse mouiller autant, et en réponse à une stimulation en apparence aussi anodine ! Ces préliminaires érotiques me semblèrent tout à fait prometteurs ! Lors du salon suivant avec Malorie, je repris mes stimulations érogènes, et enchaînais par des baisers de plus en plus passionnés. Même si elle les accepta, elle se montra moins enthousiaste que Marine côté baisers. Juste avant de devoir la quitter, je lui demanda si elle était libre pour prendre un verre, le soir même après sa journée de travail. A ma grande surprise, elle accepta. Nous fixâmes alors un rendez-vous dans un bar non loin de là.J’étais sur un nuage ! Deux semaines consécutives, deux rendez-vous avec mes deux strip-teaseuses préférées ! A l’heure du rendez-vous, j’entrais dans le bar puis choisis une place qui me paraissait optimale dans une pièce isolée pour qu’on soit tranquille, dans un coin pour que l’on puisse s’asseoir l’un à côté de l’autre, tout était prêt, les conditions étaient idéales, j’étais excité comme un adolescent !Au bout de quinze minutes d’attente, je décide de commander une bière. Mais le temps passa, le niveau de ma bière descendit… Malheureusement, je n’avais pas pensé à donner à Malorie mon numéro de téléphone, le rendez-vous était tellement proche, ça ne m’avait même pas effleuré qu’on puisse en avoir besoin. Elle avait l’air de bien connaître le bar en question, mais peut-être s’était-elle trompée ? Bref, au bout de trois quarts d’heure d’attente, la mort dans l’âme, je me rendis à l’évidence, c’était râpé pour ce soir.Une semaine plus tard, je repassa à la boîte, et pris un salon avec Malorie, afin d’avoir une explication. Elle dépassa tout ce que j’avais pu imaginer : « En sortant, j’étais avec Marine, elle a demandé à aller boire un verre avec moi. Je lui ai dit que j’avais un autre rendez-vous, mais elle a insisté, elle se sentait vraiment mal, elle avait besoin de parler. C’est une très bonne amie, tu sais, je ne pouvais pas la laisser tomber ».Je n’osai pas poser la question qui me brûlait les lèvres : « Et de quoi vous avez parlé ? Et pourquoi Marine se sentait si mal ? ». Et comme je ne lui posais pas la question, elle ne me dit rien de plus. Toujours est-il qu’à la fin de cette session, je lui donna ma carte de visite, avec mon numéro de portable dessus, et je lui ai reproposé un rendez-vous. Malheureusement elle n’était pas libre le soir même. Je l’invitais alors à me recontacter par mail, ou par téléphone, à sa convenance, lorsqu’elle entreverrait une disponibilité.J’eus par la suite tout le temps de cogiter à ce que je venais d’apprendre. Je n’arrivai pas à y croire ! Mon second rendez-vous m’avait planté pour mon premier rendez-vous ! Il ne manquait plus que Marine se soit sentie mal à cause de moi, et qu’elle ait tout raconté à Malorie ! Mais quel bourrin j’ai été ! Vouloir draguer en parallèle deux filles qui se connaissaient bien, qui travaillaient au même endroit, et qui savent qu’elles font toutes les deux parties de mes favorites ! Et pendant que j’attendais tout seul dans mon bar, elles étaient en train de déblatérer sur moi ! Et pourtant, aucune de mes deux danseuses ne me fit le moindre reproche. Je restais dans l’ignorance complète de ce qu’elles avaient bien pu se dire sur moi, ou peut-être pas du tout sur moi…

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