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Post-divorce – épisode 19

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Post-divorce – épisode 19Chapitre 19Lorsque je pousse la porte marquée « service », je n’en mène quand même pas large. J’ai peut-être trop exagéré et une fois dans ce couloir, je ne vois pas qui pourra empêcher le gros Bernard de se déchainer s’il le souhaite. Mais n’est-ce pas finalement ce que je souhaite ? J’ouvre la porte. C’est une sorte de local technique plongé dans le noir. Le faible éclairage du couloir ne me permet pas de distinguer quoi que ce soit. Je tâtonne pour allumer mais une voix retentit et me fait sursauter :-Entre Michel le pédé.Ça n’est pas la voix de Vottin. L’intonation est légère mais c’est celle d’un étranger. Magrébin ou africain. Si ça m’a surpris que quelqu’un m’apostrophe car je pensais la pièce vide, je savais par contre que ça ne pouvait pas être le gros porc vu qu’il avait dû remonter pour reprendre contact et que je m’étais dépêché ensuite de descendre. Le rayon d’une lampe m’aveugle. Je demande, pitoyable :-Ecoutez, je ne sais pas ce que vous croyez mais…-Entre Michel le pédé je te dis.-Vous êtes MasterB ?-Tais-toi et entre. C’est bon, arrête toi là. Referme la porte. Mets ça.Une espèce de masque en cuir noir atterrit à mes pieds. Je le ramasse et l’enfile. Il couvre le haut de mon visage et ne comporte pas d’ouvertures. Je ne vois rien. Je sens que l’homme se rapproche de moi. J’entends alors la porte s’ouvrir :-Elle est déjà là, la salope… Bernard Vottin. Et essoufflé visiblement. A défaut de voir quoi que ce soit, j’entends le bruit de l’interrupteur et j’imagine que la pièce est maintenant éclairée.-Vous êtes MasterB ?-Oui c’est moi, Michel. Où tu préfères que je continue à t’appeler Françoise comme ton ex-femme ?-Comment sav…-Je sais beaucoup de choses sur toi, ma salope. Faut dire que tes petits échanges dégueulasses sur le Net m’ont pas mal aidé. Ce que j’aimerai savoir par contre c’est la différence entre ce que tu aimerais faire et ce que tu fais déjà.-S’il vous plaît, je ne…-Ferme ta gueule. Ouvre-la juste pour répondre à mes questions. Et me sucer la bite !La saillie fait marrer l’arabe.-Tu suces des queues, Françoise ?-Oui.-Tu te fais enculer ?-Oui mais je…-Ta gueule, je t’ai dit : réponds simplement à mes questions.-Oui MasterB. -Voilà c’est bien. Le sperme, tu avales.-Oui MasterB.-Pisse ?-Je…-Réponds, salope : tu avales la pisse aussi ? Oui ou non !-Oui MasterB.-Tu vois, Tar, dit-il à son complice, on est tombé sur de la bonne bursa escort pute, là ! Voyons un peu ce qu’elle cache sous le costard…Je gémis et proteste mollement pour la forme pendant que Vottin détache ma ceinture et fait descendre mon pantalon et mon caleçon sur mes chevilles. Il siffle :-Regarde-moi cette petite queue de pèd’ ! Et ses couilles qui tombent ! Putain mais c’est le jackpot là. Cambre-toi et écarte tes fesses. Et ben… ça c’est un trou de lope ! Et je m’y connais ! T’aime les trucs bien hard, hein Françoise ? Défonce, tournantes, CBT, SM et j’en passe…-Oui MasterB.-T’es épilé de partout, c’est bien ça… Tu te travesti aussi ?-Oui MasterB.-Bordel j’adore ! Tu fais le trottoir en travelo ?-Non… Je… Non, MasterB.-Tu vas le faire. Sans déconner, tu vas le faire pour moi, salope ! De toute façon, tu feras tout ce que je te dirai de faire parce que si tu n’obéis pas, toute l’entreprise saura. Tu comprends ?-Je comprends.-Habituellement, on récupère de la lopette qu’il faut dresser mais avec toi, vu que le boulot est déjà fait, on va se régaler. Et on ne va pas être les seuls, crois-moi. T’es un petit frimeur, Françoise. Y a pas mal de monde dans la boîte qui avait déjà envie de t’apprendre l’humilité avant de savoir ce que tu étais. Autant te dire que maintenant, on va devoir distribuer des tickets quand on va t’éduquer ! Mais là on a dû improviser alors on a malheureusement pas toute la journée. Je l’entends qui détache sa ceinture et baisse sa braguette. Il ne s’embarrasse pas avec les préliminaires : son gland pointé entre mes fesses, il f0rce à sec. Je gémis et je pousse, mon trou graissé par l’excitation. Il s’enfonce lentement. Sa queue est épaisse, dure. Il me besogne en grognant, ses grosses pattes accrochées à mes hanches. Il éjacule rapidement et très abondamment sans cesser de me ramoner. Il se retire et Tar prend sa place. Sa bite est bien plus large et beaucoup plus longue, mais vu comme je suis dilaté, il me pénètre entièrement. Je sens le foutre du gros qui gicle à l’extérieur de mon cul sous la pression pendant que l’arabe me besogne. Deux minutes suffisent à ce qu’il se vide à son tour. Je reste en position.-Elle veut encore de la bite, la salope ! se moque Bernard Vottin. Hein que t’en veux encore, Françoise la pute ?-Oui MasterB, j’en veux encore.-Tu m’étonnes que t’en veux avec ton trou défoncé… T’inquiète, on va bien te prendre en main. On va t’éclater. escort bursa On va t’enfoncer des trucs tellement énormes que tu vas supplier. Peut-être même te faire grimper par des ânes ou des chevaux. T’as déjà fait ça avec des animaux, Françoise ?-Non jamais, MasterB.-Tu vas aimer. Et même si tu n’aimes pas, moi je vais aimer te le faire faire, grosse truie ! Mais là on doit retourner au bureau. Tu vas attendre cinq minutes le temps qu’on parte. Après tu enlèves le masque, tu le laisses à l’intérieur et tu claques la porte en sortant, compris ?-Compris, MasterB.-C’est bien, ma pute. En remontant, tu m’envoies ton numéro de tel. Dorénavant, si ça sonne, tu réponds et tu obéis. Si quelqu’un vient te voir et t’appelle Françoise, c’est qu’il vient de ma part et tu obéis aussi. C’est clair ?-Oui MasterB.Je me redresse mais je ne le sens pas arriver : le coup de genoux me frappe de pleins fouet entre les cuisses, m’éclatant tout le bas ventre. La douleur est si vi0lente que je reste la bouche ouverte sur un hurlement muet en m’effondrant. -J’avais failli oublier : ça c’est pour m’avoir raccroché au nez, pédé ! crache Bernard Vottin avant de s’éloigner en riant.Je mets cinq bonnes minutes à me remettre complètement. Une fois debout et le masque retiré, je m’essuie les fesses avec un chiffon, extirpant de mon mieux le trop-plein de foutre qui sort toujours de mon cul tout en regardant l’intérieur de la pièce. A mi-chemin entre la pièce de stockage et le banc de montage pour matériel informatique, il y a tout un fourbi contre les murs : écrans, cartons, ordinateurs vétustes, vieux mobilier… c’est le gros bazar. Des cordages et des chaines pendent, enchevêtrés dans les tuyaux qui barrent le plafond, indiquant que l’endroit doit aussi servir occasionnellement de salle de torture. J’imagine que ça n’est pas ma dernière visite ici…Après m’être rendu à peu près présentable, je sors, claque la porte derrière moi et remonte jusqu’à mon bureau où je passe le reste de la journée à ratt****r mon boulot du jour. Il est presque 19h quand je reçois l’appel de MasterB.-Ca bosse ?-Oui MasterB.-Faut faire une pause, Françoise. C’est important les pauses pour se détendre. Ou se faire détendre le trou du cul !Des rires plus ou moins étouffés éclatent derrière lui. J’en déduis qu’il a réuni une partie de ses complices et que je vais avoir droit à un plan de groupe.-Vous souhaitez que je descende au bursa escort bayan -6, MasterB ? -T’aimerais bien ça, hein ma pute… -Oui MasterB, j’aimerai ça.-Alors non !Les rires gras reprennent. J’imagine le gros porc fanfaronnant quand il ajoute :-Tu as assez profité de nos largesses à Tar et moi-même. Par contre, j’ai quelques amis qui ont eu une dure journée. Ils ont envie de se vider les couilles dans la bouche d’une pute. Tu n’en connaitrais pas une par hasard ?J’élude la question qui provoque une nouvelle hilarité et me contente de dire :-Ou dois-je me rendre, MasterB ?-Le local syndical du 2ème étage. Il sera ouvert. Tu rentres, tu te mets à poil, tu enfiles le masque et le casque qui seront sur le bureau et t’attends qu’ils arrivent.-Maintenant ?-Oui maintenant, salope. -Je ferme le bureau et je descends, MasterB.-Ouais t’as intérêt, pédé !Pendant que je range le bureau et éteint mon PC, je suis tout excité : Vottin n’a pas traîné à rameuter les autres pervers de la boîte. Je ne croise personne avant d’arriver dans le local syndical. Il est vide. Comme indiqué, un masque semblable au précédent et un casque anti-bruit sont posés sur le bureau. Je me déshabille en entier, dispose une chaise au centre la pièce sur laquelle je m’assois et mets les accessoires. Sourd et aveugle, j’attends. Pas longtemps. Quelques minutes et des mains me palpent et m’auscultent, étirant mes mamelles et mes testicules, frappant ma verge bandée. On me fait m’agenouiller et un premier sexe tapote mes lèvres. Je suce. Le type jouit en moins d’une minute. J’avale tout et continue à le pomper jusqu’à ce qu’il se dégage. Je dispense trois autres fellations sur le même modèle et les hommes sont tout aussi rapides à se vider. Lorsque je sens que la bite suivante est molle, je sais ce qui va suivre. J’avale l’urine qui explose dans ma bouche pendant qu’on me branle sans douceurs et qu’on me doigte le cul. Ils reviennent tous me gaver à la pisse. Je regrette de ne pas entendre les commentaires que j’imagine bien graveleux et dégradants. Pendant qu’on me fait ensuite lécher le jus tombé sur le lino, on étire mes couilles en me fessant. J’écarte les cuisses et je me cambre pour faciliter l’accès. J’ai envie d’avoir mal. Malheureusement, la fête s’arrête avant de devenir vraiment satisfaisante. Toujours à plat ventre, j’attends quelques minutes d’inactivité puis je retire le casque. La pièce est silencieuse. J’enlève le masque et constate que je suis effectivement seul. Lorsque je me rhabille, je m’aperçois qu’on a pris mon caleçon. Je quitte alors le bureau, enchanté par cette journée et les perspectives qu’elle offre.

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