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sacrée soirée

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sacrée soirée[[][/image]Je ne suis pas très fière de ce qui m’est arrivé, mais à postériori, je ne regrette rien ; c’est une expérience que je n’oublierai jamais.Cela s’est passé en Février 2013; mon mari était en déplacement et nos enfants chez leurs grands-parents. Avec une dizaine d’amis, nous décidâmes d’aller au restaurant. Le repas chinois se déroula dans une ambiance joyeuse favorisée par les verres de saké que les serveurs remplissaient dès que nous les vidions. Les garçons, auxquels on avait donné des verres laissant apparaitre des femmes nues lorsqu’ils étaient vides, firent des réflexions plus ou moins graveleuses, cherchant des ressemblances entre ces femmes et leurs convives féminins de ce dîner. Henri et Edouard me citèrent abondamment en regardant les fonds de verre des autres garçons. A la fin du repas, Henri proposa de continuer la soirée en boite ; nous fûmes quatre à accepter, un couple, Edouard et moi, les autres prétextant devoir se lever tôt le lendemain à cause de leurs enfants. Moi, je pouvais faire la grasse matinée ! En me levant, j’eus un peu de mal à garder mon équilibre et à marcher droit vers la sortie : sans m’en rendre compte, j’avais du boire un peu trop de saké. Nous montâmes avec Edouard dans la voiture d’Henri, alors le couple prenait sa propre voiture. Il nous fallut moins d’un quart d’heure pour rejoindre la boite de nuit située sur la route de plougastel. La fraicheur de l’air me dégrisa un peu, et, c’est d’une démarche assurée que je pénétrai à l’intérieur. Pendant l’heure qui suivit, Henri et Edouard me firent danser à tour de rôle ; je m’amusai follement, alternant rocks et slows, Henri et Edouard. Le couple vint nous dire au revoir. Nous restâmes tous trois, au milieu de la foule du samedi. Nous eûmes un petit coup de mou et allâmes nous installer sur une banquette au fond de la salle afin de nous désaltérer avec des vodkas orange. Je remarquai bien que Henri et Edouard, qui s’étaient assis de chaque côté de moi, me serraient d’un peu près, leurs mains frôlant mes cuisses à chacun de leurs mouvements, mais je n’en fis pas cas. Un nouveau slow débuta et Edouard m’invita ; je me rendis compte tout de suite que quelque chose avait changé : il me serrait de beaucoup plus près, ses mains descendaient beaucoup plus bas sur mes reins et sa bouche venait effleurer mon cou. Je fis comme si je ne me rendais compte de rien. Au slow suivant, Henri prit le relais, et se comporta comme Edouard ; je dus me rendre à l’évidence que leur intentions étaient peut être plus qu’amicales. Mais, quelque chose en moi, sans doute favorisé par le saké et la vodka, fit que je me laissai faire, curieuse de savoir jusqu’où ils allaient aller. Toute la série de slows, ils se relayèrent : leurs mains se firent de plus en plus précises, n’hésitant pas à faire glisser la fermeture éclair de ma jupe et à glisser une main dans la fente ainsi créée, leurs bouches mordillèrent bahis firmaları mon cou et cherchèrent ma bouche, leurs ventres se collèrent au mien, me faisant sentir leur désir. Je me laissai faire. Lorsque la série de slows s’arrêta, nous rejoignîmes sur la banquette Henri qui nous attendait. Sans avoir semblé se concerter, ils devinrent plus entreprenants ; je tentai de résister à leurs mains qui remontaient le long de mes cuisses, mais lorsqu’Henri, une main sur ma nuque pour me bloquer la tête, colla sa bouche à la mienne, mes défenses tombèrent brutalement : ma bouche s’ouvrit pour accueillir sa langue, mes mains ne luttèrent plus, mon corps se détendit, mes cuisses s’écartèrent. Je répondis au baiser d’Henri, tandis que leurs mains remontaient le long de mes cuisses et se glissaient sous mon slip et qu’Edouard, ayant défait un à un les boutons de mon chemisier, plongeait son visage entre mes seins. Je ne pus retenir un gémissement lorsqu’un doigt attint mon clitoris. Un reste de lucidité me fit penser à la folie de la situation, mais fut bien vite étouffé par la bouche d’Edouard qui prenait la suite d’Henri, alors que celui-ci, sortant un de mes seins de mon soutien-gorge, se mettait à me téter. Les minutes suivantes virent mon soutien-gorge être dégrafé et enlevé et mon slip être descendu le long de mes cuisses et de mes jambes jusqu’à mes pieds. Je me retrouvai chemisier entièrement ouvert et jupe relevée jusqu’à la taille. Il n’y avait plus d’obstacle à leurs yeux leurs mains et leurs bouches. Ils me caressèrent, m’embrassèrent me pénétrèrent de leurs doigts jusqu’à me faire jouir brutalement, mes gémissements étouffés par la bouche d’Edouard collée à la mienne. Ce fut pour eux le signal : ils se levèrent et, me prenant par les mains, m’entrainèrent à l’extérieur, abandonnant sur place mon slip et mon soutien-gorge. Edouard monta à l’arrière de la voiture avec moi, tandis qu’Henri prenait le volant. Il ouvrit son pantalon, baissa son slip, laissant apparaitre son sexe bandé, puis, sans plus attendre, m’attrapant par les hanches, il m’empala dos contre lui. J’en eus le souffle coupé : je ne m’attendais pas à ça. Son sexe m’emplit sans difficulté, tant l’orgasme que j’avais eu quelques instants avant avait préparé mon ventre. Il me retira mon chemisier et fit passer ma jupe par-dessus ma tête. Ma situation me parut d’un érotisme phénoménal ! Je me retrouvai nue, appuyée sur le dossier du siège avant, empalée sur le sexe d’Edouard. C’était la première fois qu’un autre sexe que celui de mon mari me pénétrait. Je n’eus pas le temps de culpabiliser car le plaisir monta dans mon ventre ; je me mis à me trémousser d’avant en arrière et de droite à gauche. Edouard malaxait mes seins, Henri, de sa main droite, tentait de toucher mes seins et mes cuisses. Il s’arrêta bientôt sur un parking et vint nous rejoindre à l’arrière. Je me livrai totalement à leurs désirs ; Henri kaçak iddaa m’embrassa avec ardeur tandis que ses mains vagabondaient sur mes seins et mon ventre alors que le sexe d’Edouard au fond de moi me faisait haleter de plaisir. Edouard jouit en moi à longues giclées chaudes, Henri prit la suite ; m’arrachant du sexe d’Edouard, il m’allongea la tête sur les cuisses d’Edouard et, se glissant aisément dans mon vagin d’où s’écoulait abondamment du sperme, il me laboura violement tandis qu’Edouard, saisissant ma tête à pleines mains, m’entrait son sexe luisant de jouissance dans la bouche. Pas une parcelle de ma peau n’échappa à leurs explorations. Le résultat de ce traitement fut dingue : je jouis sans interruption pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’Henri jouit à son tour : un violent orgasme me secoua et me laissa inconsciente. Je me retrouvai allongée sur la banquette arrière; Henri avait repris le volant et Edouard avait repris ses explorations, investissant sans vergogne mon cul avec ses doigts. Moi qui pensais en avoir terminé, je dus me rendre à l’évidence qu’Henri et Edouard n’étaient pas du même avis. Les doigts d’Edouard glissaient sans difficulté, tant ils étaient lubrifiés de nos plaisirs. De mes reins montait un désir nouveau ; moi non plus, je n’étais pas rassasiée. Nous nous arrêtâmes bientôt : Edouard abandonna mon anus et me fit sortir. Les deux garçons m’entrainèrent nue vers l’entrée d’un petit immeuble résidentiel, Edouard me tenant par le cul, Henri me pelotant sans vergogne. Nous grimpâmes ainsi trois étages et Edouard nous fit entrer dans ce qu’il me dit être son appartement. C’était fou! Je me comportais comme une pute ! Heureusement qu’il était tard car n’importe qui aurait pu me voir nue entre ces deux garçons. A peine entrés, Henri se déshabilla et vint se coller contre moi, toujours fouillée par les doigts d’Edouard. Il m’entraina avec lui, faisant sortir Edouard de mon cul, et nous nous écroulâmes sur le lit, moi sur lui. Il fit entrer son sexe dans mon ventre, et, me tenant fermement par les hanches, me fit aller et venir sur lui. Mon ventre s’enflamma et je me mis moi-même à remuer du bassin. C’est alors que je sentis Edouard dans mon dos appuyer son sexe à l’entrée de mon anus ; Henri stoppa ses mouvements, me bloquant fermement de ses mains, tandis que la verge d’Edouard forçait doucement mon anus. Ces deux-là n’en étaient certainement pas à leur coup d’essai ! Ils étaient trop synchro ! Une fois le gland passé, Edouard n’eut plus aucun mal pour enfoncer le reste de son sexe dans mon cul. C’était donc ça, un sandwich ! Je n’eus pas le temps d’y réfléchir plus longtemps, car les deux garçons, se mirent à me pilonner en rythme ; le plaisir explosa dans mon ventre et dans mon cul. Je ne pus me retenir d’exprimer bruyamment mon désir : tout l’immeuble dut être au courant de nos ébats. Bien calées en moi, les deux bites allaient et venaient, kaçak bahis se frottant l’une contre l’autre, entrainant orgasme sur orgasme. Ce fut divin ! Lorsqu’Henri jouit dans mon ventre suivi de peu par Edouard bien au fond dans mon cul, le plaisir fut tel que je perdis conscience. Ils n’en avaient pas fini avec moi. Je fus sortie des vapes par le sexe d’Henri qui forçait ma bouche ; les deux cochons m’utilisèrent encore plus d’une heure, prenant plusieurs pellicules de leurs exploits, me faisant jouir comme jamais et me laissant enfin épuisée à même le tapis. En m’éveillant, je mis plusieurs secondes à comprendre où je me trouvais. Je me levai pleine de courbatures et, laissant les deux garçons dormir sur le lit, je trouvai la salle de bain : je me glissai dans la douche et laissai l’eau couler sur mon corps. Lorsque je sortis de la salle de bain couverte d’une serviette, Edouard et Henri étaient réveillés ; je lus dans leurs yeux que je n’en avais pas encore fini; ils ne me laissèrent pas le temps de dire non. La serviette fut arrachée et je me retrouvai écrasée entre leurs deux corps. Je sentis leurs sexes durcir sur mon ventre et contre mes fesses. Edouard, qui était face à moi, me souleva et, me tenant par les cuisses me fit descendre lentement, son sexe pénétrant le mien jusqu’au fond. Dans mon dos, Henri prépara mon cul avec un puis deux puis trois doigts avant que je sentisse sa bite s’introduire dans mon anus. Ils me baisèrent debout pendant de longues minutes ; je jouis encore sous leurs assauts. Edouard se lâcha le premier, mais Henri me pilonna encore trois quatre minutes avant d’éjaculer. Ils ne me laissèrent pas le temps de repasser par la salle de bain ; Henri, me prenant par la main, m’entraina entièrement nue, du sperme coulant à l’intérieur de mes cuisses. Nous sortîmes de l’appartement d’Edouard, descendîmes les trois étages sans heureusement rencontrer quelqu’un, sortîmes dehors et rejoignîmes sa voiture sous le regard incrédule mais ravi d’un brave quinquagénaire promenant son chien.Dans la voiture, je pus récupérer ma jupe et mon chemisier que j’enfilai tant bien que mal. Henri me déposa à deux cents mètres de chez moi, me disant avant de partir qu’il me ferait signe lorsqu’ils auraient fait développer les photos pour que je puisse les voir. Je pensai à la personne qui allait les développer ; elle allait se rincer les yeux. Je rejoignis notre immeuble, prenant garde de marcher à petits pas de peur que mon ventre ne laisse encore s’écouler plus de sperme.Nous ne reparlâmes de ce qui s’était passé que dix jours plus tard. Henri me demanda de le rejoindre à l’hotel du coin. Edouard s’y trouvait avec une pochette contenant une cinquantaine de clichés de nos exploits. J’y apparaissais en toute impudeur, pénétrée par l’un ou par l’autre. Tandis que je regardai les photos, Edouard et Henri sortirent leurs sexes et me demandèrent de leur faire une fellation : j’accédai à leur demande, les suçant alternativement. Je les fis jouir au fond de ma bouche, avalant leur sperme afin de ne pas risquer d’en recevoir sur mes vêtements.Il n’y eut pas de suite à cette aventure,

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