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Une beauté russe

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Ass

Une beauté russeJ’adore quand le hasard apporte sa goutte de fantaisie. Il rend nos vies d’un coup plus romanesque. Cela constitue des souvenirs qu’on aimerait partager avec d’autres. Cet été-là je n’avais cru d’une part être traversée par ce coup de folie et ensuite être frôlée à ce point du danger. J’en fus quitte d’une frayeur. Ma meilleure amie pour le coup trouva merveilleuse mon histoire. Elle sait mon vice et toutes mes turpitudes. Avec l’âge je ne parviens pas à devenir raisonnable et à renoncer au sexe. Cela pourra mal finir. Il y a dedans comme un sentiment d’inachevé.J’ai la fatalité d’être blonde et d’être de ces jolies femmes qui irrémédiablement font tourner la tête des hommes. Il est difficile à croire que j’ai pu avoir une jeunesse sobre et sage conclue hâtivement par un mariage et la naissance de mes bambins Ce bonheur bourgeois ayant pu être responsable des premières incartades. Banalement je fus débauchée par mon patron. Puis d’autres collègues et clients. A mon corps défendant je fus blessée une première fois par les premières incartades de mon époux. A partir de ce jour le volcan s’éveilla irrémédiablement en moi.Mon psy me fit convenir que tout cela sommeillait sans doute en moi depuis longtemps. La goujaterie du mari n’avait été que l’occasion, l’étincelle pour embraser la plaine. En effet j’aurais pu, j’aurais du me contenter de courir d’amant en amant comme nombre de mes amies. Au lieu de cela cédant à un irrépressible fantasme, je vins à m’improviser un soir sur Paris en prostituée en la fameuse rue saint Denis. Encore aujourd’hui je frémis de ma témérité. Tout cela n’avait pas été prémédité. La veille avec des collègues à la sortie d’un restau nous avions parcouru cette rue.Le lendemain, seule en ma chambre d’hôtel songeant à mon retour en province et au foyer conjugal, je fus soudain traversée du souvenir de ces filles harnachées en amazones sous les lampions de cette rue. Je les enviais. Les mâles tournaient autour. Bourdons excités vrombissants autour de reines. Un de mes sots collègues qui me courtisait vainement ne trouva pas mieux à me dire que je valais nombre de ses filles et que mon succès là-bas eut été assuré. Affectant un air offusqué à sa remarque je n’en cachais pas moins que celle-ci m’avait troublé.Oui nantie d’un petit haut, d’une mini-jupe et de cuissardes je n’eus pas déparé dans ce théâtre. Le lendemain, je vins à écumer un magasin de fringues libertin. Je choisis toutes sortes de tenues affriolantes. Dans mon esprit, il s’agissait de faire une surprise à mon mari aimant des fois à l’émoustiller. Loin de moi l’idée d’aller ainsi vêtue rue St Denis. En fait j’y fis une rencontre fortuite et de but en blanc en vins à me trouver une heure et demi sur le trottoir. Bref sachez que je réitérais à la suite plusieurs fois l’expérience. Me prostituer me fut comme une révélation.Il y eût d’autres théâtre d’opérations. A présent cela faisait presque quinze ans que je menais cette de double vie. J’éprouve à la suite de telles débauches une sorte de tuzla escort stupeur, un début de culpabilisation. Puis je suis impressionnée de mon exploit en mesurant tous les dangers. Je deviens pour un temps sage et raisonnable me contentant des seuls hommages des amants. Puis le hasard rallume la flamme. Je suis invinciblement attiré par ces lieux de perdition et par tous ces mâles inconnus et potentiels clients. Je veux subir leur joug et obtenir qu’ils jouissent de mon corps.Cependant je n’avais jamais cédé à ce péché presqu’au su du mari. Il était établi que ce vice devait être assumé très loin du foyer afin qu’il eût de risque de croiser une connaissance. Paris notamment ou le sud chez une copine m’offraient de tels opportunités. A ce moment nous étions en vacances et je savais peu loin que sévissaient dans la ville basse des prostituées pour la plupart hispaniques. Même qu’un soir perclus d’alcool nous avions parcouru avec mon mari et des amis l’une de ces rues. Nous avions chahuté là-bas. J’eus soupçon que mon mari avait usé parfois d’une de ces filles.Entre temps j’avais croisé le beau Domingo, partenaire de tennis de mon mari. Ce bel hidalgo était flanqué d’une jeune et jolie femme qui lui avait donné deux charmants bambins. Il formait une famille sereine et idéale dont j’eus pu être jalouse. Je ne m’en aperçus pas moins que le vertueux Domingo reluquait des fois vers mes seins que je savais superbe. J’eus en tête de débaucher ce si remarquable étalon. Ainsi vins-je une après-midi avec un string minimal à l’allumer. J’obtins au bout d’une heure à ce qu’une bosse saillit dans son bermuda. Je perçus avec joie sa gêne et son dépit.Pouvais-je prévoir que mes deux fantasmes du moment purent se télescoper. Avec assez de recul je suis assez édifié que le destin nous ménage quelquefois de ces rebondissements romanesques. Après la frayeur éprouvée on n’est pas peu fier d’avoir été protagoniste de cela. Ainsi sus-je que l’exemplaire Domingo était coquin comme les autres hommes. Sa jeune et jolie femme n’était parvenue à se l’aliéner totalement. De toute façon je soupçonne qu’elle le sut et en prenait son parti.Je ne suis pas sûre par contre que mon mari se fut réjoui de ma rencontre là-bas avec ce bel hidalgo.Tout commença par une de ces irrépressibles envies qui me prenait. J’en savais les symptômes et m’y résignait de plus en plus avec philosophie. Cette fois je n’avais pas envie qu’un mâle me prit furtivement ou que je le suças au fond de sa voiture. Non là carrément j’aspirais à me mêler une ou deux heure avec d’autres prostituées. Le point était délicat. Celles-ci fort légitiment défendaient leur pré carré et leurs souteneurs veillaient. Je savais cependant comment opérer. Un soir j’en vins à discuter avec une d’elles. Celle-ci d’abord me crut lesbienne et cliente patentée.Je parvins à lui faire comprendre mon genre bourgeois en quête de sulfureuses sensations. Elle me dit que certaines touristes américaines partageaient avec moi ce vice. Il fut convenu qu’avec l’assentiment tuzla escort bayan de son mac je partagerais deux heures, son bout de trottoir et lui refilerait quasi toute ma recette. Je racontais à mon homme que j’allais passer la nuit chez une bonne amie à cent kilomètre de là. Mon mari savait devoir me concéder ce genre de sortie. J’étais tout excitée d’aller me prostituer à peu de kilomètre de lui. Cela confinait à un défi.Pour le look à pareille période d’été, je pouvais prétendre à peu de tissu sur moi. Ainsi adoptais-je un deux pièces juchée sur des mules à talons hauts. Mon string ne laissait rien échapper de mes fesses superbes. Beauté quadra au regard de mes concurrentes plus jeunes, je savais que cela excitait davantage le réel cochon. Je m’étais à cet égard maquillée outrageusement pour faire plus pute. Ma complice d’un soir accepta de prendre des clichés de moi avec mon smartphone. Je garde encore ce précieux témoignage. La soirée commença en trombe avec deux, trois clients.Ils pouvaient selon me prendre dans un bungalow, leur voiture ou sur une couverture jeté peu loin derrière un camion. De toute façon un mac veillait au grain. On écartait systématiquement le client alcoolisé et par trop chahuteur. J’eus droit à des vieux cochons d’abord ce qui ne me répugnaient guère. Fieffés connaisseurs ils ne m’épargnèrent guère. Outre de la pipe ils tinrent tous à m’enculer. Perçurent-ils que ma jouissance en ces coïts n’étaient pas feinte ? Je prenais autant mon pied qu’eux.Je réalisais que mes vacances n’étaient réussies qu’à ce prix. Il me fallait être une pute.La soirée destinait à être classique bien que torride. Au bout d’une heure cinq types avaient vidé leurs couilles. La copine du moment n’était pas peu impressionnée par la performance d’une relative néophyte. J’exultais. Ces types étaient vicieux au possible. Avec aussi peu d’égards que je le désirais. Ils eurent été bien étonnés de savoir mon statut véritable. L’un cependant manifestât son étonnement de ne m’avoir vu ici auparavant. « T’es bien roulée. T’as une gueule de salope. Je veux t’att****r une autre fois. » Ce genre de discours me flattait.Minuit se pointait. J’avais pris ma énième douche. J’étais résolue à une ou deux autres passes. Ses pipes et coups de bite m’avaient rasséréné. N’arrivais-je pas au terme des vacances ? Il fallait un point d’orgue à celles-ci. Je l’avais obtenu. J’arpentais une fois ultime mon trottoir roulant du cul et jetant de temps à autre des œillades aux gogos. Ceux-ci pour la plupart blaguaient et lorgnaient sans vouloir payer. Soudain je vis dans la lumière du réverbère Domingo qui m’examinait de loin. M’avait-il reconnu ? La panique risquait de me gagner. Fuir m’eut compromis.J’escomptais qu’il passât son chemin et jeta son dévolu sur une fille car il était patent qu’il venait ici consommer. Un temps je le vis s’entretenir avec une petite brune latine. N’empêche il me reluquait en coin. J’affectais de ne pas m’en apercevoir. Un vieux pénétré d’accent russe me escort tuzla soufflait des fantaisies curieuses auxquelles je n’avais envie d’accéder. Je n’en poursuivais pas moins la discussion. Domingo entre temps s’approcha au point de s’immiscer dans notre conversation. Sa présence sembla signifier au vieux qu’il gênait. En effet celui-ci prit peur. Il partit.J’étais perplexe. Il n’était pas sûre que Domingo m’eût vraiment reconnu. En un dernier réflexe j’eus idée d’adopter un accent étranger. En l’occurrence le russe. Fort bonne inspiration. En effet tandis que Domingo me demandait si ce vieux porc m’avait importuné je répondis que c’était un compatriote. Qu’il avait voulu avec moi renouer à l’air du pays. Nantie de cette identité et fort maquillée je pouvais espérer donner le change. Lui faire accroire que j’avais une lointaine ressemblance avec une femme qu’il connaissait. J’embrayais : « T’as envie de goûter à une russe ? »Il semblait goûter mes appâts. Il avait par trop envie de monter avec moi. Moi-même j’avais désiré depuis longtemps cet homme. Je n’avais pas conçu que notre relation puisse se réaliser en pareilles circonstances. Par trop saugrenue je n’en trouvais pas moins le moment formidable. Il allait me posséder malgré lui et sous le couvert d’une pute. Je décidais que ce serait mon dernier coup. Je me cambrais indistinctement de désir. Il perçut cela ce qui acheva de le décider. Hanches lascives tandis que nous montions les marches je n’étais pas mécontent qu’il songeât à une femme de ses rêves.Il faisait pénombre dans la chambre. Je trouvais cela propice à ce qu’il ne distingua point trop mes formes et put à ce titre me comparer à une autre personne : la femme de son ami. Je trouvais doux que le suspens et l’ambiguïté en fussent conservés. Je faisais effort à affecter mon accent russe. Prise dans la jouissance et sous les coups de boutoir je crus me trahir plusieurs fois et qu’il me reconnut au travers de ma voix. Heureusement que baiser n’induit pas qu’on bavarde. Il en eût pour son argent. Nous forniquâmes trois longs quarts d’heure. C’était un peu déraisonnable.Pour justifier un peu mon zèle je lui dis : «T’es mon dernier ce soir. Tu me plais. J’ai voulu te faire un cadeau. » Il rit. Il était flatté d’avoir pu subjuguer une si belle prostituée. Il me demanda si je reviendrais tantôt. Lui-même s’étonnait de ne m’avoir jamais repéré. Je lui dis que je devais sous peu rejoindre à Barcelone mon mec. Il parut chagriné de mon voyage. Je lui dis qu’à tout le moins je repasserais par ici l’été suivant. Pour le consoler je le suçais une fois encore. Gardant deux, trois billets je refilais tout le pactole à la copine dont celle-ci put se réjouir.Quel ne fut mon trouble le lendemain sur la plage de voir venir de loin Domingo avec sa femme et ses bambins. Le matin à mon retour j’avais expliqué à mon mari que j’avais un peu bu et attrapé sottement la crève. Bref j’étais ici sur la plage sous médoc et assez morose. Mon mari relaya l’info à Domingo. Ce dernier n’en vint pas moins me saluer. Répondant tant bien que mal je fis un signe vers ma gorge comme pour signifier un début d’angine. Mes yeux étaient heureusement masqués par mes lunettes noires. Il ne m’en observa pas moins toute la matinée. Me rêvât-il en prostituée ?

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