Panne en rase campagne

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Panne en rase campagneJ’ai la chance malgré mon âge d’attirer le regard des hommes même les plus jeunes et j’en suis assez fière il faut le reconnaître. Comme le dit mon mari et mes amant, il vaut mieux faire envie que pitié et avec des loches comme les tiennes tu fais vraiment envie.Hier, muni de mon autorisation de déplacement, je suis allée faire de courses de première nécessité à Coutances. Comme il fait plutôt chaud pour la saison, je ne porte qu’un petite robe d’été et des sandales. Assise dans la voiture, la robe remonte très haut sur mes cuisses et mon décolleté plongeant ne cache peu mon opulente poitrine. Comme nous sommes confiné et sortons très peu en ce moment, je décide de prendre les petites routes pour profiter du paysage. Brusquement, en pleine campagne, au milieu de nul part, le moteur se coupe. Impossible de redémarrer la voiture. Je me saisis du portable et « merde » pas de réseaux. Me voilà bien dans la mouise.Ma seule solution et de marcher jusqu’à la première ferme pour appeler du secours. Me voilà donc partie sur la petite route de campagne accompagnée par le chant des oiseaux et le meuglement des vaches. Soudain, j’entends le bruit d’un tracteur dans un champs ; sauvée. J’entre de le champs boueux avec mes petite sandales et fait signe à l’agriculteur. Le jeune paysan, plutôt avenant s’approche et me sourit en me voyant piétiner ainsi vêtu dans la boue.« Bonjour m’dame ? Que faites-vous comme ça dans mon champs ?  J’peux vous rendre service ? »« Oui ! Ca fait plus d’une heure que je marche pour trouver quelqu’un. Je suis en panne à quelques kilomètres. Pourriez-vous me prêter votre portable pour que je puisse appeler le dépanneur s’il vous plaît ? »« C’est bien dommage ma petite dame mais je l’oublié chez moi. Mais montez dans le tracteur, j’m débrouille bien en mécanique et j’peux j’tter un œil sur v’ote voiture. »En montant dans l’engin agricole, le jeune ne peut rater aucun aspect de mon anatomie. Il se rince les yeux sans détour. Je le remarque mais, que voulez-vous, c’est tout à fait normal dans la tenue légère dans laquelle je suis. Je n’avais qu’à m’habiller plus sagement. Durant le chemin qui nous mène à la voiture, il n’arrêtes pas de me reluquer les cuises et les seins. Son discourt reste courtois et il ne tente aucun mot ou geste déplacé.« Ma pauvre, en plus d’être tombée en panne sur cette petite route peu fréquentée, vous êtes toute crottée maintenant. Moi c’est Bertrant et vous ? »« Michèle Monsieur. »« Pas d’Monsieur entre nous ! T’es du coin ? »Il vient de passer d’emblée au tutoiement. Surprise par se changement de ton, je suis un peu déstabilisée et lui réponds en béguayant, ce qui le fait sourire :« Je… Oui… Je suis de… De .. E,nfin à .. Heu pas loin. 0… une dizaine kilométres d’ici… Monsi.. Heu.. Bertrand. »« J’t’avais jamais vu dans l’coin. C’est joli ça Michèle… »Il se met à fredonner la chanson des beattles « Michèle ma belle ».Arrivé à la voiture, canlı bahis il me demande d’ouvrir le capot. En me baissant, il bénéficie d’une vue imprenable sur mes fesses nues et ensuite sur mon large décolleté qui ne peut, dans cette position cacher mes seins. Après un instant de battement où il me lorgne sans vergogne, il se plonge dans le moteur.« Vous pouvez essayer de démarrer ? »La tentative est vaine mais il me dit :« J’vois c’que c’est ! Viens voir ! »Je me penche, curieuse et ignorante. Il me montre un truc et m’explique comment ça marche. Pour moi c’est du charabia. Mais ma position en le laisse pas de marbre et il s’exclame :« Wouhaou !!! J’suis récompensé d mon déplacement ! C’est superbe tout ça ! »Je ne prends pas sur sa remarque et le feu aux joues, je me retrouve instantanément émoustillée par la réaction de Bertrand, jusqu’ici très soft. Il bidouille deux trois truc sous mon regard de béotienne. Mais la voiture ne veut toujours rien savoir. Il a les mains pleine de cambouis et nous faisans une sacré paire, moi crottée de boue et lui crasseux de cambouis. En continuant de déshabiller des yeux il me demande :« Tu veux la bonne ou la mauvaise nouvelle ? »« La bonne !  bien sûr ? »« He bien, j’ai trouvé la panne. »« Chouette ! Vous allez pouvoir réparer alors ? »« Non pas possible ici. On peut aller chez moi pour que tu téléphone ou j’te ramène chez-toi. »« C’est vrai ? Ca ne vous dérange pas ? »« Non dépanner une jolie femme comme vous n’a pas de prix ! »« Merci c’est gentil ! »« Non c’est la vérité. T’es bandante pour ton âge ! J’te choque pas en te disant ça j’espère. »« Heu.. Non ça va. Même si ça fait bizarre mais ça me touche. »Ravi de ma réponse, le voilà, dans un élan qui m’embrasse furtivement sur les lèvres en me tenant par la taille. Je suis si troublée que je réponds à son baisé. L’agriculteur en profite alors pour augmenter son étreinte et me poser une main sur les fesses.« T’es une vraie bombasse toi ! »Le ton a totalement changé et je suis un peu paniquée, même si mon instinct de femelle commence à reprendre le dessus. Devant ma docilité, le jeune paysan tripotant ouvertement ma croupe callipyge, me lance :«  T’as un cul d’enfer ! On doit être bien dedans ! »Serrés comme nous le sommes, mes seins écrasés contre son torse musclé, je sens assez distinctement la bosse qui se forme sous sa côte de travail. Essayant de reprendre le dessus, je lui dit :« Alors comme ça t’aime les formes de couguars ? »Fort de sa jeunesse, il n’est pas perturbé en me répondant :« C’est dans les vieux pots qu’on fait la bonne soupe ! Et quand j’te vois, la soupe doit-être excellente et j’ai bien envie d’la goûter ! »Je comprends rapidement que la situation m’échappe.. Il me pousse sur le capot de ma voiture et avec une robe si courte, il n’a même pas besoin de me trousser pour me retrouver le cul à l’air. Il pose sa main sur le haut de ma cuisse et je le laisse faire sans broncher. Il m’embrasse bahis siteleri à pleine bouche et nos langue s’emmêlent. Je m’abandonne comme une gamine sur ce capot, en pleine campagne, avec un inconnu. Ses mains parcourent mon corps frémissant, soupèsent mes seins lourds, en pincent les tétons, les suce, aspire mes mamelons si sensibles. D’une autre main, il caresse ma chatte déjà humide de plaisir. Je ne reste pas inactive et à tâtons, je pose ma main sur la belle bosse qui gonfle son pantalon. J’ai une sainte envie de libérer ce beau diable enfermé dans sa boite. Je suis comme en transe tripotée comme une jouvencelle sur le capot de ma voiture avec seulement les oiseaux et les vaches comme voyeurs. Je défait la cote et prestement le diable, comme un ressort se dresse fièrement devant moi . Je m’exclame :« Quel engin ? T’es monté comme un taureau mon gars ! »Il me sourit en continuant à me peloter. Je me saisis de cette belle hampe et en soupesant ses lourdes bourses, je commence un lent mouvement de va et vient. Devant un tel engin, moi qui adore pomper un beau dard, il n’a pas besoin de me prier pour goûter le sien. Il est quand même de bonne taille et je dois faire appel à toute mon expérience pour bien le prendre dans ma bouche. Ma mâchoire est distendue, j’ai presque les yeux révulsé par le plaisir qui m’envahit d’avoir un tel engin dans la bouche. Je fais des prouesse avec mes lèvres et ma langue sur sa belle tige.Bertrand se laisse sucer et contemplant le spectacle de cette vieille qui le pompe, il me dit :« On voit que ta des heures de vol ma salope ! T’es trop bonne ! On m’a jamais pompé comme ça ! Tu aimes ça sucer une que de jeune salope ? hein cochonne t’aime ça ? »C’est vrai que pour lui, le spectacle que je lui offre doit être peu commun. Mes seins qui ballottent au rythme de ma fellation avec un érotisme qui me fait dégouliner de cyprine.S’en est trop pour lui. Il ressort de ma bouche, me retourne et me plaque sur le capot. Un doigt s’attarde sur mon œillet et d’un coup de rein il me pénètre jusqu’à la garde. Il entre sans difficulté dans mon vagin juteux en criant :« Qu’t’es bonne toi ! »En commençant à me fourrer, il me claque le cul. Je suis aux anges et ses commentaires salaces ne font qu’amplifier mon plaisir de me faire défoncer comme une chienne sur mon capot. Mais le jeune homme n’en peut plus. Il sort de ma chatte et en me prenant par les cheveux, il me fourre sa bite gluante de nos sécrétions sexuelles dans la bouche en me lançant :«  J’vais te jouir dans la gueule ! J’espère que t’avale vieille salope ! »Un torrent de sperme envahit alors ma bouche. Pour ne pas m’étouffer, je suis obligée d’avaler jusqu’à la dernière goutte. Moqueur il me dit :« J’vois que t’aime ça grosse coche! »La bouche pleine, je ne lui réponds pas.« Putain !!!! Jamais on ne m’avait sucé comme ça ! T’es une vrai pro ! »Enfin dégagé de sa queue ramollissante, je peu lui dire :« Merci du compliment, bahis şirketleri mais sucé un tel monstre c’est divin. »« Allez ! C’est pas le tout mais faut trouver une solution pour ta voiture J’te ramène chez toi. Et puis….J’ai envie de t’faire encore gueuler de plaisir ! »Arrivée chez moi, à peine à l’intérieur, Bertrand veut me prendre par le cul. Il me pousse contre la table de la cuisine. J’ai pas trop envie qu’il me sodomise vu l’engin qu’il a. J’essaie de me rebeller mais en vain.«  Cambre-toi bien et écarte les fesses salope ! A quel cul j’vais être bien dedans ! »Il me claque les fesses, trempe ses doigts dans ma chatte juteuse et ainsi lubrifié, il commence à m’élargir la rosette. Il alterne ses caresses et ses claques, en me bouffant le cul et la chatte. Je suis rapidement en émoi et gémi de plaisir. Bertrand pose alors son gros gland sur mon petit œillet frémissant et délicat. Je le supplie d’y aller doucement. Il pousse fermement et durant quelques secondes mon petit anneau résiste à cet envahisseur. Soudain, le gland est comme aspiré et la longue hampe du jeune homme disparaît dans mon petit trou distendu. Sous cette pénétration hors norme, je ne peux m’empêcher de hurler. Sous mon cris, il arrête sa pénétration. Puis il recommence à forcer mon étroit conduit, insensible à mes suppliques. Centimètre par centimètre, son dard monumental s’enfonce inexorablement dans mon fondement jusqu’à la garde. J’ai l’impression d’avoir un fer rouge dans mon ventre.« Putain, t’es trop bonne. Ton cocu dois pas prendre souvent cette route ! »Son bas ventre bute sur mes fesses offertes. Tout à coup il en ressort et replonge brutalement dedans. Je pous un cri si aiguë que mon mari qui était au fond du jardin s’en trouve alerté.Il m’assène de grande claques sur mess fesse qui prennent une jolie couleur rouge.« Ha que c’est bon de t’enculer salope ! »Bertrand va et vient dans mon conduit désormais bien dilaté. Il s’en donne à cœur joie, me fessant le cul à tour de bras. Mes cris se muent en gémissements. La douleur se partage avec le plaisir d’autant qu’il me frictionne le clito en me défonçant le cul. J’explose dans un orgasme monstrueux qui en resserrant mon anus sur sa bite, le fait jouir. Mon cul est alors envahit par de puissantes giclées de sperme onctueux. Son débit est si fort et abondant que le sperme sort de mon cul. Il ressort enfin de mon cul et m’oblige à nettoyer sa queue qui commence à ramollir. Je lui reproche :« Salaud tu m’as fait mal. Et j’veux pas te sucer après ma sodo ! »C’est alors que mon mari qui avait suivi toute la scène en voyeur vicieux m’ordonne :« Suce le Michèle ! Il le mérite bien ! »Anéantie, je m’exécute et je sais qu’après cette séance, la nuit va être longue entre ces deux mâle ne désirant qu’utiliser mon corps pour leur seul plaisir, mais je dois avouer le mien également.Quand il est reparti au petit matin, c’est mon mari qui l’a raccompagné. J’étais épuisée et bien incapable de me lever.Alain m’a dit en remontant dans la chambre :« Bertrand est un gentil gars. Il a adoré te sauter et m’a demandé si il pourrait revenir t’utiliser. J’ai accepté bien sûr. »Cà promet avec Christian et les autres.

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