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Attention, travaux dans la maison…avec ma maître

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Attention, travaux dans la maison…avec ma maîtreLa maison a besoin de travaux depuis bien trop longtemps. J’ai donc décidé de m’y mettre sérieusement. Les enfants ont décidé d’aller chez mes parents afin de m’aider…je pense surtout qu’ils évitent la corvée.Ma femme se sent trop fatiguée et ne voulant ni subir le bruit ni me gêner elle est partie en Bretagne.Je crois surtout que le mois d’août exfiltre massivement les habitants de la masure.Me voilà seul. J’enfile un vieux jean et un t-shirt troué et me voilà prêt.Je prépare le matériel et commence le travail.Au bout de 4h j’ai réussi à finir la première moitié du salon.Je m’avachis dans le canapé et prend une bière bien fraîche.Sans m’en rendre compte je m’endors paisiblement.Toc Toc Toc, la porte s’ouvre.J’ouvre lentement les yeux, met mes lunettes, et vois une femme.Je me lève, mon esprit sort de la brume des rêves.Tu es là, souriante, toi mon amante, la vraie femme de ma vie.Tu me sautes au cou toute heureuse.”bonjour mon amour, je viens t’aider, Tu as vu? je me suis faite toute belle”Tu es chaussée de basket, portes une petite jupe et un vieux t-shirt tacheté de peinture.”hummm en déesse des bricoleurs””je ne sais pas si c’est un compliment?””sortant de ma bouche je t’assure que si”Ne te laissant même pas le temps de répondre je prend tes lèvres fougueusement, mes mains glissent dans ton dos, surprise, tu n’as pas mis de soutiens gorge, elles descendent sur le creux de tes reins et tentent de passer plus bas.”MONSIEUR !!! on a du travail à faire”.je regarde tes yeux et n’y voit aucune crédibilité, mais tu as raison.On s’attelle à refaire les jointures en plâtre, à deux ça va nettement aller plus vite.Au bout d’une heure quasiment tout est finis, il ne reste plus qu’à refaire un peu d’enduit.On prépare les ingrédients, mais au moment de verser du plâtre tu m’en jettes sur la tête.”voilaaaa, comme ça tu est tout beau avec tes cheveux blancs”Il s’en suit évidemment une bataille de chiffonnier, et en moins de temps qu’il n’en faut nous sommes tout blanc.On se calme, puis on va sur la pelouse de derrière pour se débarrasser de cette poudre envahissante.On se frotte, on se secoue et on rigole beaucoup.Le chahut reprend sa place. Tu prends une bouteille d’eau et me mouille avec, je cours après toi pour te rendre la pareille.je réussis à t’att****r et verse de l’eau tiédie par le soleil sur ta tête.Tu att****s le bas de mon t-shirt de tes deux mains et le déchire d’un coup sec.”Voilà, là tu ressembles à un travailleur, avec ta poitrine à l’air.”Je te regarde, et tu vois que je vais faire une bêtise, tu cours te réfugier dans la maison.Je suis sur tes talons, arrivés dans le salon je te bloque sur le canapé.”Même pas peur” me dis-tu en riant fortement.Je prends une paire de ciseaux sur la table basse.”toujours pas”Je les approche de ton t-shirt, et découpe deux ronds au niveau de ta poitrine.”c’est pas juste, je l’aimais bien” me dis tu sans être convaincanteje te répond “je l’aime encore plus maintenant”Je t’aide à te redresser. Debout devant moi, tes seins sortant du tissus, je contemple mon œuvre. J’adore.Tu t’approches de moi, m’embrasses, et t’agenouille en baisant mon torse et mon ventre.Je crois deviner la suite…ça va me plaire.”ferme tes yeux mon chéri”je le fait, je sens tes mains caresser mon sexe par dessus mon pantalon.J’attends avec impatience que…Perdu, tu ne fais pas ce que je pensais, avec les ciseaux, tu viens de découper la toile autour de mon intimité.Je me retrouve debout, torse nu, avec un trou dévoilant mon sexe et mes bourses.”Si je suis la déesse des bricoleurs, tu commences presque à ressembler à un bricoleur”moi : “presque? que me manque-t-il?”toi: “de vrais outils de bricoleurs””Mais regarde autour de toi, j’en ai des outils….””oui c’est vrai, mais il te manque le casque de chantier”je réfléchis….”une minute je reviens”Je descend à la cave, je fouille et remonte te rejoindre.”et là?”Tu me regardes, ne sachant que dire ou faire à part rire.Je suis devant toi dans la tenue particulière que tu connais, mon vit en érection, avec sur ma tête un grand cône orange de chantier .”si là je n’ai pas LE casque de chantier!!! le plus grand, le plus beau et….le plus lourd”toi en riant: “c’est bon mon chérie tu peux le poser”Tu me rends un grand service car il est lourd le bougre, je le pose entre nous, il fait plus d’un mètre de haut….je regarde le plafond, j’ai fait des traces avec mon couvre chefTu me prends les mains, m’attires vers toi et dépose un petit bisous sur mon front et un autre sur mes lèvres.”C’est bien d’avoir du matériel, mais sais-tu seulement t’es servir?”Je regarde tes yeux. Un courant d’air souffle soudainement et me surprend, il est curieux d’avoir un vêtement et de sentir du froid. Sur toi cela se traduit par de jolis tétons qui se durcissent et pour moi un frisson qui me fait baisser les yeux vers mon entre-jambe.Tu penses que la réponse à ta question est la direction de mon regard, mais né ni…toi: “non, ça je sais que tu sais t’en servir”.moi: “heuuuu non ce n’est pas ma réponse”toi: alors? quelle est-t-elle?je pose mon index sur tes lèvres, puis me dirige vers le canapé. J’extirpe le grand miroir de plus de 2 mètres qui dort derrière. Je le prend et le pose contre la porte d’entrée.Tu veux me dire quelque chose mais je te fais chuuuuut du doigt.Je part dans la salle de bain et reviens avec une petite bouteille blanche en plastique que je pose sur la petite table prêt de toi.Tu regardes la bouteille, rien, l’étiquette a été enlevé.Je te prend par les épaules et te fais te tourner afin que tu sois en face du miroir.Je me place derrière toi, t’enlace….Bien que je sois dans ton dos, on se regarde via le miroir.Mes mains se promènent sur ton corps, ma bouche par de petits baiser prend possession de ton cou.Tu me regardes, acceptant ces caresses sans comprendre le lien avec les outils…un miroir n’est pas un outils non?Te laissant faire je continue à faire aller et venir mes mains, elles passent sur ton t-shirt, caressant ton ventre, tes hanches et bien évidemment tes seins si tentant et accessibles.Je colle mon corps contre le tiens je pose ma tête contre la tienne et plonge mes yeux dans les tiens pendant que mes mains pétrissent, empoignent, malaxent et caressent ces deux collines tant convoités et appréciées.Le miroir permet un point de vue nouveau et agréable, un côté voyeur mais intime non déplaisant.Tes bras partent légèrement en arrière, tes doigts s’agrippent aux passant de ceintures de mon pantalon et tu tires en avant, plaquant ainsi mon bassin sur ton corps. Mon sexe dressé est comprimé sur ta jupe et contre tes fesses.J’embrasse de nouveau ton cou, mes mains descendent sur ton ventre…j’essaye de passer sous le tissus mais tu prends mes mains et les plaquent sur ta poitrine. Tu les guides, leur expliques ce que tu veux…Ce petit jeu dure encore quelques minutes, puis je te fais te pencher en avant. Tu poses tes mains sur le coffre pour prendre appuis.Je suis debout derrière toi, je fais aller et venir mes mains sur ton dos, tes reins, tes hanches…Puis je glisse mes pouces de chaque côté de tes hanches, les fais passer sous la jupe et la culotte.Je m’accroupis et lentement fais descendre les tissus.Je contemple tes cuisses et ton postérieur.Tout en les caressant, je regarde de temps en temps le miroir, je te vois, tu me vois. On se sourit.Tes seins pendent et chantent la liberté retrouvée.Je te fais écarter les jambes.Doucement je passe une main et frôle puis frotte ta toison,…ne résistant plus ma langue glisse en toi dans tous les sens pendant que mes doigts jouent sur ton petit bouton d’or.je te goûte, j’aspire tes lèvres tout en stimulant les zones érogènes environnantes.Je recule ma tête et fais entrer deux doigts, ils vont et viennent…l’autre main caresse tes fesses.trois doigts jouent désormais en toi, j’embrasse tes cuisses et tes fesses.Tous en continuant les vas-et-viens, je récupère la bouteille blanche, j’appuie sur le bouchon et du gel lubrifiant en sort.Je n’hésite pas sur la dose que je dépose sur la main qui te prend.Elle glisse beaucoup plus facilement, ce qui me permet d’introduire un 4ème puis un 5ème doigt.En toi, ma main gauche tourne et va d’avant en arrière.J’embrasse toujours ta peau si douce, quand je décale mon regard, je te vois, les yeux fermés, les lèvres pincées et tes seins toujours aussi excitant.Ma main droite se pose sur tes lombaires, sans comprendre pourquoi je plonge ma tête entre tes fesses. Ma langue glisse dans cette fente et atteint le petit orifice.De la pointe je le contourne, le chatouille, le stimule…Je sens que ton buste essaye de se redresser, tu dois être surprise par ce que je fais.Je fais lentement sortir ma main gauche pour la ré-introduire tout aussi doucement et profondément.Tu te remets en place pour conserver ton équilibre, j’introduis ma langue dans ton fondement et fais de petits aller-retour.Afin de ne pas t’épuiser avec cette position je sort ma main et nous redresse.Je prend deux verres afyon escort remplis de jus de fruits et t’en tend un.On se désaltère tout en restant l’un derrière l’autre .Une fois finis je pose les verres et te dis “ça va?”« oui, parfois s’était curieux et déstabilisant mais …ça va. Chérie, un miroir n’est pas un outil »« Je sais, on y vient »Je prend le cône et le place derrière toi, je recouvre son extrémité d’un grosse quantité de gel.Je te fais écarter les jambes et l’avance jusqu’à la hauteur de ton intimité.J’écarte doucement tes lèvres afin de bien le positionner.Je me redresse, passe mes bras sous les tiens afin de caresser tes seins.Ma tête sur ton épaule appuie légèrement vers le bas.Ainsi tu plies légèrement les genoux, la tête du cône écarte tes lèvres et disparaît en toi.Je remonte mes bras ce qui te fait te relever légèrement puis j’appuie avec ma tête.Ces mouvements se répètent, on se regarde dans les yeux, tu me regardes prendre ta poitrine je regarde ton corps il y a tant à voir et ressentir…A chaque descente le cône entre toujours un peu plus, bien que je sois maître du mouvement, tu restes la seule à décider jusqu’où tu iras en profondeur et largeur.Je t’embrasse dans le cou puis je ne tiens plus, je te contourne et embrasse ta bouche.Je descend, prend tes seins et suce tes tétons, je les aspire et les tète.Tes mains se posent sur ma tête, tu appuies dessus afin de la faire descendre.Arrivé à hauteur de ton sexe, je le lèche, l’embrasse et aspire quand je peux ton clitoris.Mes mains massent tes cuisses de l’intérieur jusqu’à l’extérieur.Le plaisir monte en toi de plus en plus fortement jusqu’à ce que la jouissance explose et prenne entièrement possession de ton corps et de ton âme.Je me redresse, t’embrasse et t’aide à te défaire du cône.On s’allonge dans le canapé,« outil ou pas? »« outil, gros outil »et tu éclates de rire.tu te mets à califourchon sur moi et enfonce mon sexe en toi, après quelques vas-et-viens tu te lèves et prends la bouteille blanche. Tu me fais mettre mes main sous mes fesses.Tu mets du gel sur ma verge et sur ton anus.Tu te replaces sur moi et positionne mon gland sur la petite entrée. Ainsi positionné je ne peux plus bouger ni intervenir.Doucement tu t’empales dessus et reprends tes aller et retour. Tu fais ainsi jusqu’à ce que les sensations et le plaisir emplissent mon être et que je me mette à crier de plaisir et jouisse en toi.On se retrouve de nouveau l’un sur l’autre, vidé de toute force, riant et s’embrassant.Après cette journée mouvementée et productive, on a quand même bien avancé dans les travaux, on se pose.Je commande des pizzas.En attendant on s’installe sur la pelouse autour de la table de jardin.Le ciel prend des couleurs pastelles.Tranquillement assis on prend un apéro bien mérité.Le livreur est là, je le rejoins, une serviette autour de la taille afin de masquer ton œuvre.Je reviens à tes côtés, et on déguste cette pizza. Elle n’a rien de particulier ni de plus que les autres sauf qu’on la mange ensemble.On rigole et profite de ce moment calme et propice au bien être.Une fois ce repas terminé, je te propose de rester dormir,”se serait avec grand plaisir mais je n’ai pas d’affaires de rechange , il faut que je retourne chez moi pour faire une valise”Tu te lèves prends ton sac et commence à partir vers ta voiture.Je t’arrête, te retourne afin que tu me fasses front.Je te regarde de bas en haut et éclate de rire.Tu comprends que tu ne peux traverser la ville avec un t-shirt customisé pour montrer ta poitrine.Je file dans ma chambre et te prend un haut à moi.Tu enlèves le tiens, me le temps en me disant “tiens mon chéri, c’est pour toi, il ne faudrait pas que tu att****s froid”.Mon t-shirt enfilé, tu regagnes ta voiture et disparaît.Je vais profiter de ton absence pour préparer le canapé et le transformer en lit 2 places. Une fois fait, je prend une douche salvatrice.Deux heures passent et te revoilà de retour.Tu es toute propre, apparemment tu as pris toi aussi une douche. Une grosse valise t’accompagne.”tu en a pris des choses pour une nuit”” tes travaux durent une semaine non? je reste pour t’aider”.”mais c’est super ça mon amour”je vais pour m’approcher mais tu me devances, me pousses et m’allonges sur le lit-canapé.Tu en profite pour me voler un baiser fougueux et délicieux.Telle une panthère tu te relèves, prends ta valise et la pose sur la table.Tu fais le code pour l’ouvrir, “clac clac”.Tu disparais partiellement derrière le dessus de celle-ci.Je te vois farfouiller, tu prends quelque chose et le pose hors de ma vue.Clic Clic, la valise est refermée et verrouillée.”Tu te mets en caleçon mon amour, je vais me préparer et on se fait une séance cinéma”J’enlève mes habits et me cale dans le canapé pendant que tu disparais dans la salle de bain.J’allume la tv et zappe en t’attendant.La porte s’ouvre, mes yeux se détournent immédiatement de l’écran.D’un pas félin tu avances vers moi, silencieusement.Tu ne portes qu’une nuisette vaporeuse noire bordée de rubans de satin rouge.De petites fleurs rouges aussi , sont brodées de-ci de là.La tenue tombe juste en haut de tes cuisses, cachant de justesse ton intimité.Tes formes divines se dévoilent sensuellement.Tu grimpes sur notre lit, et à quatre pattes tu t’approches en prédatrice.”ce soir tu es à moi”Je te regarde avec grande envie. Le tissus ondule selon tes mouvements dévoilant ou cachant tes charmes…Le tissus glisse sur mon corps, je sens tes seins passer sur ma peau. Il ne m’en faut pas plus pour que mon corps réagisse.Tu es désormais au dessus de moi, la pointe de tes seins effleure ma poitrine, Le fin tissus, bien qu’entre nos peau, parait ne pas exister tant la sensation est délicieuse.Tu prends mes mains, les glissent sous mes fesses puis m’embrasses.Tu te mets debout, les pieds de chaque côtés de mes hanches, me tends les mains…je me redresse le tronc droit les jambes allongées.Ma tête entre tes jambes, tu prends celle-ci entre tes mains et la guide et la plaque contre ton corps.L’odeur de ton sexe m’affole, j’ai envie de toi. Je fais jouer ma langue mais tu appuies plus fortement, seul le contact est permis.Puis tu me pouces doucement, me retrouvant de nouveau allongé.”tu gardes tes mains où elle sont mon chérie, si tu as un problème tu tapes des pieds ou remues tes jambes”Je te regarde l’air énigmatique. De mon point de vue, tu me parais très grande, telle Diane la chasseresse avec sa proie. L’avantage est que d’où je suis, les lignes de ton corps m’apparaissent encore plus appétissantes, mais je comprend que je ne vais pas manger la proie…Tu te places au dessus de ma tête, douce vision qu’est la mienne. Tu t’accroupis, pieds et genoux posés sur le matelas.Ton intimité sur mon visage, tu ondules du bassin faisant frotter ton bas-corps sur moi.Tu es chaude et douce, ta toison, tes lèvres voyageant sur ma bouche et mon nez.Ma langue sort et profite de ces trajets pour te toucher.Tu joues sur la force, plus ou moins appuyée, tu guides les mouvement à la recherche du meilleur trajet pour tes sensations.Ma langue continue, j’aimerai pouvoir aspirer tes lèvres et bien d’autres choses encore mais ce n’est pas possible. Puis, les glissements se font faciles, je sens l’humidité de ton entre-jambe t’envahir.Tes lèvres s’écartent enfin, mon visage frotte contre ton petit bouton d’or, mon nez s’immisce, ma langue s’enfonce quand elle le peut…je comprends maintenant tes paroles, éviter l’incident.Ton bassin est actif, tu as l’air d’apprécier. De temps en temps tu prends appuis avec tes mains sur mes hanches, changeant la position et les contacts…mais point trop longtemps pour que je puisse respirer.Puis tu reprends ta position initiale et tes mouvements.Viens le moment où tu ne bouges plus, c’est à moi de prendre le relais.Ma langue se plie et se déplie le long de tes lèvres, puis s’enfonce en toi, elle cherche, elle te fouille et telle une anguille se moue activement dans tout les sens. Tu me laisses sortir mes mains que je cale sous tes fesses, ainsi je peux en poussant reprendre mon souffle si besoin.Je prend en bouche tes lèvres, je les aspire, les mordille, en variant l’intensité….Tes mains prennent possession de ma poitrine, tu la caresses doucement puis fermement…Tu décales légèrement ton bassin décidant ainsi de changer de zone de jeu.De ma langue agile je titille ton clitoris, petits ronds, de haut en bas, de gauche à droite, et tout simplement dessus….Et enfin je le coince entre mes lèvres et l’aspire doucement, je sens que tu appuies plus ou moins en fonction de ce que je fais, m’indiquant ce qui te donne plus de plaisir.Je le suce lentement puis le tète de plus en plus fort.Tes mains se crispent, je n’entend pas ta respiration… tu pinces mes tétons, c’est agréable.Je serre tes fesses pour que tu pinces plus fortement et ce jusqu’au point le plus fort et agréable.Sans éjaculation je jouis et aspire et goutte ton intimité, je te sens te cambrer et frissonner puis tu tombes en avant.Ma tête est de nouveau libre, je sens escort afyon ta mouillure sur mon visage.Tu enlèves mon caleçon et libère mon vit.Ta langue parcoure sa longueur, titille son extrémité et son petit orifice.De mon côté, je peux continuer à jouer, ma langue reprend et j’approche une main”non non, juste avec ta bouche, ce soir JE décide de ce qui entre et où, d’accord mon amour?””ok”je m’affaire sur ton intimité quand je sens mon gland disparaître, tu l’aspires tout en le titillant longtemps.Puis tes lèvres descendent et remontent lentement avec une légère succion.Je goutte ta mouillure et te fouille de ma langue…Je repose mes mains sur tes fesses, les serrant plus fermement pour te demander de me sucer plus fortement, tout comme tout à l’heure je le fais jusqu’à ce que cela me convienne.Ça y est, je sens mon plaisir monter plus fortement, je relève ma tête afin de prendre ton clitoris en bouche.Tu montes et descends lentement en aspirant fortement, j’allonge ma tête car je perds toute force et ma respiration se fait forte très forte, tu t’en rends compte et te relève, me fais face et t’empales sur moi à califourchon.Tu prends ma tête entre tes mains et m’embrasse sans bouger le bas.Puis tu te recules légèrement afin que l’on soit les yeux dans les yeux, je pose mes mains sur tes hanches, ton bassin monte et descend sans s’arrêter.On ne se quitte pas du regard.”ne ferme pas tes yeux je veux te voir prendre du plaisir”Je plonge dans le marrons de tes yeux, ton bassin vas-et-viens inlassablement jusqu’à ce que je perde mes moyens, je gémis de plaisir, tu me souris et t’active encore plus….mes gémissements s’intensifient, tu n’es pas en reste….je ne tiens plus et j’inonde ton intérieur dans un râle rauque.Tu te retires presque immédiatement et en profite pour prendre le chouchou de mes cheveux.Tu le mets de la base supérieur de mon sexe jusque sous mes bourses, ce qui maintiens une érection sans douleur.”ce n’est pas finis “Tu te remets accroupis comme tout à l’heure au dessus de ma tête, je te prend en bouche te goûte, nous goûte, te fouille avec ma langue.De ma main droite je titille ton petit bouton, et de mon pouce gauche je masse ton petit trou.Tes cuisses tremblent assez vite, j’intensifie mes petits jeux, mon pouce gauche entrant dans ton fondement et faisant des vas-et-viens.Ton bassin bouge légèrement, je te sens te cambrer et gémir de plaisir…tu te relèves et reviens t’asseoir sur mon sexe,Je passe mes mains sous la nuisette et les pose sur tes seins. Je les masse fermement et pince tes tétons.Tu est seule maîtresse du rythme, je t’accompagne seulement par mes caresses.”ne me quitte pas des yeux, moi aussi je veux te voir”De nouveau les yeux dans les yeux, je vois dans tes pupilles le désir monter et t’envahir jusqu’au submergement… de tes sens.Tu t’allonges à mes côtés, épuisée.On se caresse tendrement après ce combat amoureux où il n’y a pas de perdant.« j’ai une autre surprise pour toi mon chéri, mais pas pour maintenant, je suis hs »« on est deux dans ce cas ma chérie »on s’enlace et s’embrasse, puis dans les bras l’un de l’autre on regarde un film qui change radicalement l’ambiance “les gendarmes et les gendarmettes”Réveil tout en douceur, je te laisse dormir, prend ma douche et file à la boulangerie.Quand je reviens tu es déjà lavée et habillée.On s’installe dans le jardin pour prendre notre petit déjeuné agrémenté de viennoiseries.Il fait beau, on décide de faire relâche ce matin et de profiter de la douceur environnante.Allongés sur nos bains de soleil, main dans la main, c’est le farniente.Les heures défilent agréablement.”bon il est 13h, il va falloir s’y remettre mon chéri”J’acquiesce, on retourne dans le salon se changer. Tu remets ta jupe avec un petit haut léger, je délaisse le jean d’hier pour un bermuda et un nouveau t-shirt.J’installe l’escabeau afin que l’on puisse s’occuper du plafond pendant que tu prépares l’enduit.Quand tout est prêt, je monte les marches pendant que tu stabilises le tout pour éviter que je tombes.Au bout d’une demi-heure, je fais une pose car je commence à avoir mal aux bras.”on échange si tu veux”« pas de soucis”Ainsi les rôles sont redistribués.Tu montes tout en haut pendant que je maintiens fermement l’escabeau.Avec délicatesse tu appliques comme une professionnelle le plâtre.Je regarde ton œuvre et je dois admettre que tu es très douée.Mes yeux s’égarent sous ta jupe, il faut dire que je n’ai pas d’effort à faire, juste pencher légèrement ma tête.Sans savoir pourquoi, machinalement je monte sur le premier barreau, et pose ma joue sur ton fessier.Je sens quelque chose de flasque, froid et épais tomber sur mon dos, je redescend immédiatement et te regarde. La taloche à l’envers, un deuxième pâté tombe sur mes cheveux.”la sécurité en premier mon chéri””en même temps il faut me comprendre….« oui oui, je te connais »Et tu finis ton travail, impeccablement.”on fait quoi maintenant? “« ….. » (en souriant)« hummmmmmm, le travail avant tout”« “ok, il faut poser du placo à l’étage »On grimpe l’escalier, tout est vide, n’est présent que le matériel et les plaques.Heureusement que j’avais pris de l’avance en posant l’isolation car il fait plus de 30°C.On avance relativement vite mais la chaleur est étouffante. Rapidement on se retrouve en sous vêtements.La sueur coule sur nos peaux luisantes, je remarque tes petits regards en coin se poser sur moi, il faut dire que j’en fait de même.En fin de journée l’étage est terminée, le placo est posé ainsi que les cloisons.On redescend, tu vas prendre ta douche je te suis mais…tu me fermes la porte au nez.”je te laisse la place après mon chérie””tu fais exprès?””moi???meuuh non, qu’est-ce qui te fais dire ça…hahahaha””rien du tout”je prépare mes affaires pendant que je te sais sous la douche. peut-être même assise sur la chaise.La porte s’ouvre, “ça y est, tu peux y aller”” j’arrive, ce soir je t’invite au restaurant, c’est la moindre des choses”Je rentre dans la salle de bain, pose mes habits propres et me met tout nu. Juste avant de rentrer dans la cabine je vois que tu m’as laissé un message sur le miroir : tout vient à point à qui sait attendre”Je souris et prend une douche bien froide qui me fait un bien fou.Quand je ressort je te vois en robe d’été, avec de jolies chaussures qui laissent paraître tes pieds.”tu es magnifique”et je dépose un petit bisous, tu essayes de m’embrasser plus longtempsmoi en souriant: “tout vient à point à qui sait attendre”tu me souris, on sort de la maison direction ton petit restaurant préféré au bord de la Seine.Tu me guides car je ne connais pas le chemin pour s’y rendre.Une fois arrivé on nous installe à une petite table.On discute et rit beaucoup. On est bien et détendu, le serveur qui s’occupe de notre table est sympathique, il blague avec nous et nous offre le vin.En fin de repas il propose le pousse-café, que l’on accepte évidemment. En fait c’est le nouveau patron,un homme de 48 ans bien battis.Il s’invite à notre table et pose trois petit verres, il verse la liqueur.La discussion qui s’en suit est fort agréable et le courant passe très bien entre nous.Il est 23h30, le restaurant est quasiment vide.Patron: “si vous voulez on peut aller prendre un dernier verre chez moi?”on se regarde et …”merci mais on a d’autres projets”Il pose sa carte de visite sur la table “peut-être un autre jour, qui sait?….bonne route”on se lève et regagne la voiture.Sur le chemin de retour on en reparle et en rit.”tu as pris sa carte?””non, et toi?”« bin non »« mais au fait, tu as payé? »« zut, comme il nous a dit bonne route, on est parti …. »on éclate de rire, un peu gêné tout de même« c’est pas bien »« oui on n’a pas pris la carte »« je parlais de la note »toi en souriant: « je sais »L’air est doux et il fait nuit noire.Les phares des voitures qui passent nous éclairent furtivement ce qui me remémore notre séjour en Bretagne .Je te vois détendue, ta main sur ma cuisse.Arrivés à la maison on s’installe tranquillement dans le lit canapé, moi calé dans le coin et toi entre mes jambes ton dos contre ma poitrine.Je pose mes mains sur ton ventre rondement délicieux.je te susurre à l’oreille”tout vient à point à qui sait attendre”tu tournes ta tête et m’embrasses très tendrement.« huuuuum oui c’est vrai »Tu te lèves, te dirige vers la grande table et refais les codes de ta valise, CLAC CLAC, elle s’ouvre.Tu en sors un foulard en satin noir.En souriant tu t’approches de moi et me bandes les yeux en faisant deux tours…c’est certains je ne pourrai rien voir.Tu me prends les mains et m’invites à me lever. Je sens tes mains sur ma chemise qui parcourent mon torse.Lentement tu défais mes boutons…Je pensais que tu allais me câliner mais non, tu défais ma ceinture et rapidement je me retrouve en chaussette…pas super .Ah bin non, exit les chaussettes.toi: je vais t’aider à t’allonger« d’accord »tu me diriges avec grande attention, et me voilà allongé sur le ventre.Je t’entend marcher et ouvrir ta valise, tu farfouilles, brouhaha de tissus afyon escort bayan et babioles (certainement).Tu te rapproches, j’entends deux petits “ploc”.Tu t’assois sur mon postérieur, ta peau sur la mienne….hummmm tu es nue.Un liquide tiède et huileux se répand abondamment sur mon dos. Une odeur fruité s’en dégage. Tes mains agiles étalent le liquide puis tu m’offres un massage. Comme c’est agréable.Une fois le dos finis tu te relèves et fais couler de l’huile de mes fesses à mes chevilles. Tu écartes délicatement mes jambes et le massage reprend .« tu aimes? »« hummm oui c’est divin je pourrais presque m’endormir »« non non »et tu te relèves.Je sens que tu refais couler l’huile sur mon corps, et tu utilise autre chose.Plus rien, j’attends. finis le massage?tes mains se posent sur mes reins.« tu te souviens d’avant hier? »moi souriant: ouiiiiiitoi: tu connais le cône?moi: heuuu ouitoi: tu l’as déjà essayé?moi un peu honteux: oui (voix basse)toi: je m’en doutais, et bien non tu ne l’auras pas, je t’ai fait peur hein?moi: non nontes mains passent sur mes fesses, je sens un objet…. tu me l’introduis par petits vas-et-viens dans mon fondement. Ça s’enfonce, je sens mes sphincters s’écarter puis se resserrer. Je comprend tu as pris un plug.« ça va? »« oh oui »De petits pshit pshit résonnent dans la pièce, et je sens que ça gonfle en moi.ça s’arrête.il est bien calé en moi.Tu t’allonges sur mon corps et nos peaux glissent l’une sur l’autre, tes mains caressent mes flans, mon visage, tes doigts passent sur mes lèvres….tu me retournes, et j’ai le droit à une autre dose d’huile de massage.Tu te rallonges sur moi, je prend ta tête dans mes mains (il m’a fallût y aller à tatôn).Je l’approche et on s’embrasse.Nos lèvres se cherchent, nos langues se frôlent, puis c’est le tango de nos bouches.Tu en profites pour presser la petite pompe pshit pshit, ma bouche s’ouvre de plaisir mais pas assez longtemps, tu en prends possession immédiatement.Pendant nos embrassades tu fais glisser d’avant en arrière ton corps sur le miens.Tes seins sur ma poitrine passent et repassent… tu écartes tes cuisses et frotte ton sexe sur le miens déjà durcis.« ça va toujours? »« ho oui »Avec tes mouvements tu arrives à faire entrer mon membres en toi.Je sens tes muscles se contracter sur moi.Et lentement tu montes et descends.toi: et maintenant.moi: …. mmmmm aaaaarrr o oo ou ouiipshiit pshiiitpris par derrière, prix par devant, ton corps qui glisse sensuellement sur le miens s’est trop pour moi, tu le sais mais n’en a que faire, tu continues lentement et régulièrement tes vas et viens sur mon corps, sur mon vit, en m’embrassant et en pshiiit pshiiiit.Je ne peux plus et dans un orgasme fort et bruyant je jouis en toi. Tu n’en restes pas là et continues tes mouvements.moi: ce n’est pas le cône mais …..hoooooo (tu resserres tes muscles autour de moi et fais de petits vas-et-viens) c’est bon très booooontoi: mais ce n’est pas terminé mon chéri, ne sois pas égoïste! et puis je n’ai pas finis avec toi non plus (sourire)Tu te retires et me libère…mais laisse le bandeau.Tu t’allonges à mes côtés, je me retourne et te prend dans mes bras, te câline et t’embrasse follement et tendrement.Mes mains vagabondent sur ton corpsOn reste ainsi un long et agréable moment.Tu déposes un bisous sur mon front et un autre sur mes lèvres puis tu disparais à pas feutrés…CLAC CLAC, encore du brouhaha….Je t’entend bouger et bouger, mais que peux-tu bien faire?En fait tu as sorti un god ceinture particulier de ta valise. Particulier dans le fait que contrairement au god ceinture classique il possède un deuxième pénis pour le plaisir de la porteuse.Tu mets un peu de gel dessus et le fait entrer en toi, il est doux, ferme et flexible à la fois.La ceinture et les sangles fixées, tu regardes le nouveau membre en érection qui siège entre tes jambes….tu souris en trouvant cela bizarre et intéressant.Tu fais quelques pas…à chaque fois que tu bouges tes jambes ou ton bassin, le vit artificiel qui est en toi bouge et tes muscles se contractent dessus.La sensation est curieuse mais pas désagréable.Tu vas dans la cuisine, en essayant de respirer le plus naturellement possible et te sers un verre, tu bois tranquillement…en bougeant le bas du corps à la recherche de sensations.je suis allongé et j’ai soif.« je peux en avoir aussi? »toi en rigolant: de quoi?moi ne comprenant pas ton rire: un verre« je t’apporte ça mon chérie »Tu remplis un deuxième verre et me le donne, je me redresse et le porte aux lèvres…la fraîcheur qui descend dans ma gorge est tout simplement salvatrice.Je n’en suis qu’à la moitié quand je sens ta bouche sur mon sexe…ce qui occasionne une fausse route.« ça va mon amour? continue de boire ça ne me dérange pas »« Mais? mais? tu te moques de moi, c’est moi qui….haaaaaaa »doucement et sensuellement je suis entre tes lèvres, si douces et délicates….Tu ravives la flamme endormie et je reprend de la vigueur.Je te cherche de mes mains, étant en position assise je ne peine nullement.De ma main droite je caresse tes cheveux et de ma gauche je caresse ton dos. Mon esprit s’égare peux à peux, il est divisé entre le plaisir ressenti et le rattachement à la réalité.Ma main descend sur tes reins, je touche ce qui ressemble à une sangle ou une ceinture, je tente de comprendre à tâtons mais je reçois une petite tape de ta part et un petit coup de dent.ok j’ai compris, juste le dos.Ma main passe sur ton flan, ton ventre et je remonte vers ton seins gauche.Je pose ma paume dessus et l’enserre, ta peau…que je l’aime.Mes doigts voguent autours de ton téton, ils l’att****nt, le font tourner, le pincent et l’étirent….Ta main droite se pose sur mon ventre, elle remonte sur mon torse…puis tu le pousses et je me retrouve de nouveau allongé.Assise sur les genoux tu t’es placée entre mes jambes.Tu prends mes jambes, les fais se plier et les écartes.Tu approches l’extrémité de ton vit de mes fesses et d’un geste lent de ton bassin tu le fais légèrement entrer. Pendant que tu l’enfonces doucement, tu sens tes muscles intimes se contracter.Pendant que tu l’enfonces doucement, tu sens tes muscles intimes se refermer sur le deuxième sexe, il s’enfonce un peu plus en toi.Par de petits mouvements de vas-et-viens tu t’introduis toujours plus en moi jusqu’à enfin atteindre la garde.tu me regardes mais ne peux me voir, il est temps d’enlever mon foulard.La lumière entre en moi, je cligne des yeux et te vois, d’abord floue puis ton visage, ensuite ton corps. Ils reprennent la netteté naturelle qui leur est due.Je te souris, et fais effleurer mes doigts sur ton ventre.Ton bassin reprend ses vas-et-viens …plus activement.Je vois que tu y prends plaisir sans me douter qu’en toi une stimulation cachée prend possession de ton intérieur.Ce membre qui laboure les entrailles de mon fessier est vraiment agréable, j’empoigne tes seins et les masse en fonction de mon plaisir et de ton regard.J’att**** tes tétons et joue avec doucement et fermement jouant sur les variations de rythmes et l’intensité….À chaque aller-retour tu reçois en ton intimité la pénétration que tu me donnes, ce qui crée une symbiose plaisante.Tu plaques tes mains sur les miennes et guide mes gestes…puis tu me les enlèves et les poses sur mon torse.Tes mains expertes, sur tes seins font monter en toi le plaisir que je ne pouvais certainement pas te procurer.« caresse toi devant moi mon chéri, je veux te voir faire et …. »Tout en te regardant, vision sensuelle et très excitante je masse mes seins, prend mes petits tétons , les pinces fortement et tire dessus… je sens une chaleur monter monter monter….Tu fermes tes yeux quelques secondes et les rouvres lentement, en toi aussi il y a une monté croissante …Nos respirations se font fortes, tu prends ma main droite et la pose sur mon vit, puis tu reposes la tienne sur ta poitrine.Je fais glisser mes doigts sous mes testicules afin de récupérer un peu de gel, que je dépose sur mon gland et ma verge.Lentement je fais monter et descendre ma main, tout en te regardant…Je m’attarde sur mon gland gorgé de plaisir, en le plaçant dans ma paume et en faisant de petits cercles de celle-ci, hmmmmmmIl me faut le délaisser car, entre le spectacle de ton corps, celui de ton regard et mes caresse je ne vais pas tenir et je veux tenir pour jouir en même temps que toi.Je reprend en main ma verge et la fait le parcourir en serrant plus ou moins fort.Tes mains se crispent sur tes seins, et les mouvements de ton bassin se font plus fort…Je te vois perdre tes moyens ce qui me fait perdre les miens.Tu vas et viens en moi, ton vagin est pris par les spasmes musculaires, tes doigts pincent tes tétons, on respire rapidement et fortement, ma main glisse de bas en haut sur la partie supérieure de ma verge augmentant considérablement mon plaisir.Tout s’accélère jusqu’à ce que l’on ne soit plus maître de nos corps, on ne fait plus qu’un et on jouit de concert, toi immobile, raidie par l’intensité puissante qui persiste et moi tremblant, ma semence répandue sur mon ventre.Tu te retires et enlève l’attirail; libérée tu t’allonges sur moi et dans une embrassade amoureuse délivrée de toute envie sexuelle on s’unit dans la tendresse et la douceur du repos

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