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Leçons d’Amours

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Babes

Leçons d’AmoursLeçons d’AmoursChapitre I – KarineBonjour, je suis Marc. Marié à Eve, un enfant. Responsable de magasin, j’ai une vie rangée, ordonnée, comme une route droite, sans accroc dans mon couple…Eve est secrétaire, fonction interrompue quelques années pour profiter de notre petit Joël. Maintenant il est ado, Eve a repris son travail, il faut payer les études, il veut être ingénieur… Pour l’instant…Malgré ce tableau, je mentirais si je me disais heureux…Au fond de moi, le volcan gronde. A 45 ans, Eve n’a jamais dévié de sa logique de mère, de femme parfaite, ayant les mêmes goûts que moi, sauf en matière de sexe… J’aime les femmes, elle non…Elle ne m’a jamais dit non, accomplissant sa part de contrat de façon systématique, sans originalité, avec l’oubli de nos premières années et cette folie qui ne m’a pas quittée…Folie, originalité, variantes, progression, ouverture, créativité, si j’ai respecté aussi ma part sans coups de canif dans le document sacré, j’ai tout de même eu quelques occasions, et surtout, mes rêves et mes fantasmes s’accumulent, une véritable cocotte-minute…Faute d’être accomplis, mes fantasmes se sont enrichis, mon désir s’est muté, transformé, et de l’acte originel, je ne garde que la finalité. J’aime de plus en plus penser, organiser, regarder, voir le désir dans l’autre, entrevoir…. Une approche intellectuelle du plaisir, une mise en action plus érotique, le psychisme est titillé, le désir devient plus grand, plus beau et la femme peut se réaliser seule lorsque je la guide vers un autre univers que le sien…Oh, rien de bien original, mais juste une façon de faire naître des sensations nouvelles, pour elle, pour moi aussi…Aimer c’est aussi cela, prendre du plaisir à libérer l’autre de ses années de sevrage moral. Education, parents, que de dégâts… Certes certains sont passées outre et se sont libérées seule durant leur adolescence, repoussant barrières, interdits, pour franchir allègrement les portes du plaisir et de la sexualité.Je suis attiré par certaines femmes, justement, quelques-unes dans mon entourage, des amies d’Eve, sa cousine que l’on rencontre en vacances, nous sommes adeptes de l’océan, et adorons la douceur du bassin d’Arcachon. Nous y avons pris des habitudes, une location en Août, dans un petit village, une certaine liberté, faisant fi de notre vie quotidienne. Nous aimons aller chacun de notre côté, mais sans désir particulier que celui de ne plus avoir à justifier tel ou tel but… J’aime me promener, marcher, prendre des photos, elle c’est la plage et le soleil. J’aime discuter avec les pêcheurs tôt le matin, acheter du poisson frais au bateau, parfois partir avec eux relever les filets. Elle n’aime pas le monde, ni le bateau, préférant le shopping en ville avec quelques voisines, les boutiques de mode, les restaurants, la ville avec ses paillettes…Donc, pendant un mois, on vit ensemble en se partageant « le petit », pour qui le fin du fin sont les jeux près de la plage, un coin où se retrouve la jeunesse locale. Il dispose d’un vélo, comme nous, mis à disposition dans le gîte…Eve et moi, on échange nos idées le matin au petit déjeuner ou lorsque je reviens du Port, puis nous bâtissons notre journée, fonction du temps, avec une immuable promenade digestive pour ma part, entre le port et les sentiers côtiers… Bref, je ne retrouve pas cette semi-liberté hors de mes vacances. Mon métier m’astreint à des horaires, un planning de rendez-vous, fournisseurs, clients, administrations et gestion…J’aime alors m’accorder mes RTT, des heures de farniente, en dehors du magasin…Depuis quelques mois, je fantasme sur une personne, un peu plus jeune que moi, 35 ans environ, un physique différent de celui d’Eve, un intellect plus proche du mien, elle travaille dans une agence bancaire, la mienne… Nous avons eu des discussions à bâtons rompus lors de nos rendez-vous d’affaires, prêts matériel, prêts véhicules, et autres achats pour ma société, avec bilans et prévisions. L’affaire marche bien, et donc les rapports étaient assez agréables et glissaient vers la plaisanterie. Puis parfois vers des sujets plus personnels, enfants, conjoint, amour, le thème du bonheur conjugal…Je plaisantais en reluquant ses seins fermes, sa chevelure sombre, courte et son visage riant, ouvert, franc, avec une pointe d’ingéniosité qui perçait parfois avec certaines attitudes, comme provocantes…Je n’osais aller plus loin, j’avais trop besoin d’elle pour mettre en péril notre relation d’affaires… Elle m’accordait ce que je voulais sans trop ergoter, avec dans ses yeux, lors de la signature des contrats, ce petit brin de malice, témoin d’une confiance en moi…Puis elle partit vers d’autres fonctions, je perdis cette partenaire, la croisant quelquefois dans le couloir ou le hall de l’agence. Elle était devenue directrice, ne s’occupait plus des petits clients professionnels, de leurs soucis de prêts, de leurs impayés, etc…En ce printemps 2018, son visage revenait à mon esprit, je ressentais alors en moi un désir, un souffle… Elle me manquait… Son humour, sa grâce, ce feu que je sentais sous ses habits trop corrects pour être honnêtes… Je le lui dis un jour, elle avait ri de mon audace, l’avait souligné, d’un sourire….Je la croisais par hasard au marché, ce samedi d’avril…-Bonjour madame Baron…-Oh, monsieur Leroux…-Marc sera plus approprié hors de vos locaux… Mais il est vrai que vous avez d’autres charges…-Oui, moi c’est Karine, et je garde un bon souvenir de mes années de chargée de clientèle…-C’est gentil, merci pour nous, les petits…-Je pensais justement, il n’y a pas longtemps, à nos échanges verbaux, vous aviez l’art de me divertir, et rendre ma journée plus supportable, je n’en ai plus guère l’occasion… Je regardais votre compte, en riant à l’évocation de vos plaisanteries et constatant l’apurement de vos dettes… Vous étiez parfois coquin… Les hommes sont ainsi, libres dans leur tête, se fichent du protocole, même avec une femme…-Vous avez des soucis ?-Oh, ma vie est pleine d’inattendus, mais pas ceux que j’aimerais…Je la dévisage, elle n’a pas trop changé depuis 6 mois… Pantalon, chemisier laissant apparaître la naissance de sa gorge, elle a maigri un peu, on dirait. Sa voix est moins riante, moins enjouée et ses propos plus emprunts de tristesse, comme un regret. Son regard est fuyant…-Ça vous dirait de parler comme avant ? En tout bien tout honneur, en dehors du contexte travail ? J’ai toujours apprécié vos remarques, vous aimiez bien rétorquer avec finesse à mes piques…-J’aimais votre façon de m’agresser pour me faire sortir de mon train-train aseptisé… Vous avez même eu le culot de critiquer mes pantalons, je vous aurais bien giflé…Elle me sourit….-Pourquoi pas ? Vous proposez quoi ?-Une balade au bord du lac, la forêt, la nature, j’ai l’esprit bucolique avec ce printemps qui arrive…-J’adore les fleurs et la nature et mon mari déteste ça… Plongé dans sa télé !…-Ah, le mal vient donc de là…-Oh !… Oui… Nous traversons une période difficile… Notre fille qui évolue, qui grandit, qui demande notre attention… Peu de repos, des charges de travail, mais je ne veux pas vous importuner… Vous avez l’art de me faire parler…-C’est que vous en avez besoin…Ses yeux se dévoilent enfin, plongent dans les miens, son sourire s’estompe…-Sans doute, mais… Et puis tant pis, un peu de chaleur humaine et votre sourire, me font du bien… J’accepte… Cet après-midi je suis libre, c’est rare, il emmène les enfants chez belle maman…-Je passe vous prendre ?-Euh, non, les commères… J’irai vers la banque, me garer… 14 heures ça ira ?-Parfait, moi aussi j’ai besoin d’air…A 14H, je me gare devant l’établissement fermé, j’aperçois une portière qui s’ouvre, un clic qui illumine les feux et sa silhouette apparaît, comme un rêve…Jupe, chemisier blanc, presque transparent lorsqu’elle vérifie que c’est bien moi, en se penchant à ma portière, et là, ses seins qui se dévoilent innocemment… A moins que ce soit une mise en train…Elle fait le tour et s’installe, un large sourire, sa jupe remonte, découvrant des cuisses blanches, elle me tend une main aux ongles manucurés, je me penche pour lui faire la bise… C’est moi qui gagne ! Elle tend l’autre joue et son baiser claque… Pour la main j’ai le temps…-On se tutoie ? On s’embrasse comme deux copains ? J’aime le simplicité…-Je viens de m’en apercevoir, même si ce n’est ni mon éducation, ni mon principe premier.-Oh, je vais changer tout ça… Si tu es mal à l’aise avec toi-même, premier point à traiter en urgence…-Tu es psy aussi ? -Pas du tout, gérant de société, je fais du social sans cesse, et les remèdes sont les mêmes : trouver le mal, l’éradiquer, pour que la banque ne s’aperçoive de rien…-Oh, j’allais marcher… C’est bon de rire… Tu m’emmènes où ?-Au lac du Plan, à 20 km… Plat, on peut faire le tour, pas trop de monde en cette saison je pense. Quelques sportifs et promeneurs…-Bucolique… Oui, un peu de soleil fera du bien à mon teint. Tu viens souvent ?-Non, des restes de souvenirs, le petit aimait venir ici, en été, attiré par les jeux…-Tous les mêmes…-Maintenant il commence à regarder les poitrines gonflées par le désir de vivre…-Oh beau souvenir de vacances… Belle chanson… Tu… En fait je suis contente de t’avoir croisé ce matin… Je me sens bien, à l’aise, on peut discuter de ton prêt quand tu veux…-Mais je… Oh, coquine !… Bien joué… Attends que je sois libre de mes mouvements…Elle se détend vraiment, cela me fait plaisir, je ressens une envie de la prendre contre moi…Eve a fait la tête lorsque je lui ai dit qu’il me fallait me rendre chez un confrère pour l’aider à traiter un problème de sécurité, en fait vol dans la caisse…Nous arrivons au parking, elle a mis des chaussures sympas, colorées, rouges et blanches, et prend une veste dans un sac…Le chemin s’ouvre devant nous…-Alors tu me parles à cœur ouvert ? Dis-moi… Il te trompe ?-Euh… Je ne sais pas… Il est bizarre depuis quelques mois, en fait depuis que j’ai changé de poste. C’est vrai que j’ai des horaires impossibles, que le soir je suis crevée… On a perdu en relation… Enfin… Mais il ne demande rien alors qu’avant il restait un peu de passion… Je me sens délaissée physiquement et moralement je ne suis plus soutenue… J’ai atteint une situation enviable, plus haut que la sienne… Mais ne semble pas lui imposer quoi que ce soit…-Tu n’as pas d’amie ?-Oui, mais il les connaît…-Il te semble moins présent ?-Oui…-Tu as des doutes sur sa fidélité ?-Un peu, oui…-Et toi ?-Oh, moi, c’est la traversée du désert… Depuis que je suis mariée, je n’ai jamais regardé un autre homme que le mien…-Ce n’est pas vrai, tu me souriais parfois de façon à me faire des idées…-Non ? Je… Sale menteur de mec…Elle regarde le sol en réfléchissant, le lac est beau, quelques pêcheurs, on croise des mamans avec poussette, quelques personnes, mais il n’y a pas beaucoup de fréquentation.-Je n’aurais pas dû venir te parler…. Je me sens sotte… Etaler ma vie comme ça, mon couple… Je n’ai que ça… Mon mari et mes enfants… Ils grandissent, ne veulent plus sortir avec nous… Et moi, je doute de moi, de lui…-Reprends confiance en toi. Tu as réussi ton métier, ta situation, tu es belle, attirante, gaie. Tu as des amies, certes tu ne peux pas parler trop de toi… As-tu des envies ? De le tromper, de vivre ta vie. Tu as la sensation de passer à côté de quelque chose parfois, pour un regard, un silence ?-Depuis tout ce temps, je me sens laide… Je porte des pantalons pour cacher mes jambes maigres. Pour toi je me suis souvenue de ta réplique… Alors j’ai fait un effort, mais mes jupes et mes robes sont longues… Celle-ci est l’exception…-Elle me plait et toi aussi…-Charmeur… Tu sais j’en ai vu en 15 ans de banque, des dragueurs…-Justement, tu n’as pas envie de prendre ce qui vient ?-Non. Je suis comme ça… Si je pense…-Oui ?-Parfois j’ai besoin de me libérer… Enfin ma libido, je deviens agressive…-Alors ?-Je le prends… Le caresse, avec ma main, je lui fais l’amour avec la bouche, parfois il me prend… Simplement… Sans un mot… Je vais mieux pendant un temps…-Et toute seule ?-Oh, je n’ai pas… Non, je suis… Enfin…-Tu n’as jamais embrassé un autre homme, une femme ?-Jamais… Parfois j’en eu envie, mais non…Je lui parle longuement des relations sexuelles, de la liberté, des ados, de tout ça… Elle ne semble pas contre… Un jour il lui a demandé de le faire sur la plage, elle n’a pas voulu… Elle a accepté dans leur jardin en plein mois d’août, personne autour, puis dans la piscine, elle avait aimé…-Tu me parles sans problème et ouvertement, sans gêne…-Tu m’as mise à l’aise et j’avais besoin de me confier, tu es là, tu écoutes…-Tu ferais l’amour avec moi ?-Non…-Pour quelle raison ?-J’appartiens à mon mari…-Ce n’est pas pour divorcer, juste pour le plaisir…-Le plaisir ? Et si je tombe enceinte ou amoureuse ?-Oui, il y a du travail…-Tu vois je suis impossible, je suis coincée… Je n’aime pas le sexe… Ni le plaisir…Ses yeux pleurent, elle regarde loin vers l’autre rive… Elle est si nature… Elle a consacré sa vie à sa famille, à son métier, elle a gagné de l’argent, pour vivre mieux… Heureuse ? Non…Elle n’a pas laissé libre cours à sa sexualité, elle l’a dominée, enfouie, pour ne pas en être dépendante…-On peut être belle en faisant l’amour avec un autre partenaire que son conjoint, vivre des moments de plénitude sans le regretter, prendre et donner le plaisir au moment où on en a besoin ou envie, pour vivre ses fantasmes, découvrir d’autres principes, d’autres plaisirs sexuels, s’ouvrir au monde du sexe, sans que cela ne vienne perturber sa vie de tous les jours et surtout sans que cela ne transparaisse. Mieux, cela peut rendre meilleur, plus vif, plus fort, plus sûr de soi….Nous continuons à grimper et la pente devient plus raide. Elle passe devant pour franchir un amas de roches. Sa jupette se soulève devant mes yeux ébahis, sa culotte apparaît, blanche, en coton, elle écarte les jambes pour atteindre le sol dur, j’aperçois ses fesses par la culotte échancrée, un régal !… Deux lobes fermes, je réagis… Elle se tourne vers moi, ses yeux plongent dans les miens… Elle sourit…-On peut être belle en se montrant…Elle joue avec mes nerfs ? Elle en a envie autant que moi… Sa marchandise est parfaite…-Tu parles bien, on te croirait… Es-tu certain que cela marche avec tout le monde ? Comme avec moi, une petit bonne femme frigide, car c’est ce que je deviens, asséchée du vagin, à deux doigts de tirer un trait sur sa vie affective… Ne plus aimer, ne plus jouir comme avant quand il me prenait dans sa voiture avant le mariage, et puis nos premières années, partout dans la maison, tout le temps, je l’aimais comme une folle… Je rentrais pour ça le soir, on faisait l’amour avant toute chose, j’en criais de plaisir…-Et maintenant ?-Je ne ressens plus rien, que de la baise, sans extase…Je suis arrivée à sa hauteur…Sa bouche est devant moi… A deux centimètres… On se dévisage…-Tu peux refaire le chemin vers ce bonheur des sens, te sentir renaître, voir ton sexe couler de désir, avoir envie de te faire prendre par un sexe viril, de le sentir en toi, chaud, enivrant, te mener vers l’absolu, vers ce que tu dis ne plus atteindre, l’extase, jouir comme une folle, mais aussi participer à ton envolée, diriger les ébats, devenir femme fatale, maîtresse éprouvée… Donner du plaisir aux autres…-Oui… J’aimerais…Ses lèvres s’écrasent contre les miennes, je la prends dans mes bras, la serre fort… Face au lac embrassé de soleil…Je prolonge le baiser, sa langue avec la mienne, son ventre contre le mien, nos lèvres qui s’ouvrent encore et encore, je la sens s’abandonner dans mes bras…Je respire son parfum, cette féminité, mon sexe devient de bois, énorme, j’en ai presque honte… -Je ne veux pas faire l’amour avec toi ce soir… Tout ce que tu m’as dit me fait peur… J’aimerais rester contre toi, pourtant… Apprends-moi à revivre… Sans me posséder… Au moins au début, jusqu’à ce que je ressente l’irrésistible envie d’être à toi aussi…-L’appétit vient en mangeant…-Je suis trempée… C’est pour cela que j’ai peur… C’est trop facile… Trop rapide, trop intense…-Prends ton temps… On se reverra si tu le désires, si dans tes rêves tu penses à moi, à mon sexe qui attend son heure… Je vais rêver te prendre, t’entendre crier de plaisir, te faire découvrir des fantasmes oubliés, des caresses nouvelles, l’envie d’être toi, femme plénitude, sensuelle, adulée…Je la serre de nouveau, sa jupe doit se retrousser… C’est elle qui prend mes lèvres… Je ne peux plus lui cacher mon état…-Tu as tant envie de moi que ça ?-Et encore…-Je vais en rêver aussi alors ?-Sans doute, tu me diras…Son ventre ondule contre le mien, pour la première fois je passe mes mains sur ses fesses et l’attire contre moi…-La jupe va craquer, et puis on va me voir, je suis connue…-Viens…On s’enfonce dans la forêt, on monte légèrement dans un sentier, quelques mètres, puis on est seuls… Entièrement seuls, sans aucun bruit… Sans le clapot de l’eau, ni le vent, seuls…-Depuis des mois je n’avais plus autant ressenti de désir. Si on reste, je vais craquer pour toi… J’ai envie de toi… Oh, je suis folle, je devrais rentrer, prendre une douche froide…Je la regarde… Elle est magnifique… Sa jupe sage, courte, aux tons sombres, son chemisier en coton, entrouvert, laisse entrevoir un sein, enfin, un peu d’un sein… Ma main ne peut résister, et s’y pose, l’enveloppe délicatement, défait un bouton, puis un autre, libère l’intrus, tire sur le soutien-gorge qui obéit… Ils sont là, beaux, les aréoles marrons, les tétons rosés, mon doigt s’y frotte…Elle tressaille…-Oh, non… On peut nous surprendre… Je suis presque nue…-Qui ? Les oiseaux ? Ils font pareil… Les écureuils aussi, les lapins, les sangliers, etc…-On n’est pas des bêtes…-Un lit de feuilles sèches, le parfum de la mousse, Adam et Eve…Sa main tâte ma bosse…-Mon dieu…-Dieu n’y est pour rien, c’est toi…Elle essaie d’évaluer la chose, la soupèse… Je masse ses seins, les tétons pointent, durs et fiers… J’avance mes lèvres… Ma langue touche le plus proche… Elle se raidit, moi aussi, mais par réflexe… Je vais exploser tout seul… Sa main est toujours posée dessus sans bouger…Elle laisse échapper un gémissement….-Oh !… C’est bon…Ouh !…,Sa main serre un peu, je passe mon autre main entre ses cuisses remonte jusqu’à la lisière de la forêt, la culotte, gardienne du trésor, doux vêtement en coton blanc, bien frêle, ent****rçu en montant… Elle serre les cuisses… Je suis bloqué…Dépoitraillée, la jupe relevée, une main sur mon sexe depuis 10 minutes…Elle a une drôle de manière de dire non !…Sa culotte est littéralement trempée…J’ai pu envahir son espace intime… -On a assez flirté… J’ai peur… Je ne me sens pas en sécurité…-Tu en as envie autant que moi…-Je le sais… Oui… J’ai envie d’ouvrir mes cuisses d’y plonger ton sexe énorme, de le sentir me posséder, de jouir de lui ; sentir sa chaleur dans mon ventre, remplir mon vagin… Mais… je n’apprécierai pas…-Bon, on descend, je suis ton professeur, je pense que j’ai atteint un premier degré…-Oh, que oui… Je vais y repenser…Elle referme tout, et belle et pimpante, nous reprenons la direction du parking…-Ça m’a fait du bien…-Ah ?-De parler surtout… Mais pas que… Je sais que je réagis encore, que mon corps n’a pas oublié…-Le mien est déçu…-Ah ? J’aurais pu… Tu crois ?-Bien…-Arrête-toi dans un coin, je vais le faire, tu le mérites. Tu m’as fait un bien fou au moral, d’être désirée, courtisée, sentir ton désir, couler le mien…Je me gare sur un grand parking, loin de tout véhicule… Elle se penche sur moi, dézippe ma braguette, et sort mon engin encore demandeur…Il réagit sous ses doigts, devient impressionnant…-On peut dire que tu en as envie…Sa bouche se referme dessus, et comme pour son mari, sa tête dodeline en cadence… Le chemisier s’est ouvert sans rien faire et ma main se glisse pour prendre un sein…-MmmmmElle le fait bien, lentement, avec tendresse, sa langue parcourt ma hampe, qui gagne quelques centimètres… Elle accélère peu à peu, ses doigts l’aident, je perds un peu d’attention et me laisse aller…-Oh, oui… C’est bon !…Elle se redresse et écarte les cuisses, plaque ma main sur sa culotte qu’elle écarte….-Fais-moi jouir aussi…Je découvre un chemin de rêve, un abricot glabre, soigné… Elle est trempée, comment pouvait elle résister ?…Mes doigts glissent, tournent, elle rugit… Je pousse un doigt hésitant, elle crie « viens ! »…Je la masturbe avec application, tournant son clitoris, ses grandes lèvres serrées, et sa source ouverte par le désir… Elle a relevé ses cuisses sur le siège, je la pénètre avec deux doigts…Elle vibre, se tord, se soulève, gémit, se cambre, je la sens partir vers un orgasme… Elle ondule son bassin, mes doigts accélèrent…-Viens, oui… Plus vite, encore… Oui ! je viens !…Moi aussi… J’éjacule dans sa bouche et, comme ça fait un certain temps, je n’arrête pas de me vider entre ses lèvres…Quand elle se redresse, elle ouvre la portière et crache… En toute simplicité…-Pardon… Je ne voulais pas… Mais ça te suffit, non ?-Bien sûr que c’était bon… Tu as joui aussi ?-Oui, oh… Mon chéri j’ai adoré… La prochaine fois on va à l’hôtel, je veux être à toi, apprendre ce que tu me dis, vivre des nouveautés, me sentir femme…-Tu n’étais pas mal… Je suis content que tu aies bien réagi, que tu aies eu envie de me faire plaisir et que tu veuilles aussi jouir avec moi…-Ce n’était qu’un échantillon, comme un flirt d’un premier soir…Elle se remet du rouge, se recoiffe… Elle vérifie son soutien-gorge et les boutons de son chemisier…-Il faudrait que je boive un peu, c’était bon mais salé…-Mon dieu, vite, on va où ?Je la dépose finalement vers la banque après avoir échangé nos téléphones, et je file dans mon chez moi retrouver ma femme qui n’est pas encore rentrée, avec la promesse d’une suite torride…Chapitre II – Marc3 semaines se sont écoulées depuis notre première rencontre. Puis ce matin, enfin des nouvelles de Karine, au bureau comme promis, sur mon portable personnel…Elle va bien, elle veut me voir, en semaine si je peux.Bien c’est évident que c’est plus discret…Je passe sur le lieu de notre rendez-vous, un hôtel proche de l’aéroport.Elle n’a dit que ça, très vite, sans autre explication…Elle m’attend, une valise à la main…J’ouvre la portière…-Salut belle voyageuse.-Bonjour prince des bois. Qu’as-tu manigancé dans mon dos ? Une après-midi de charme, dans un hôtel de style ?-Presque, attends je t’explique. -Pas pu avant, d’un côté le travail, de l’autre, il me fallait digérer… J’ai pu garder cette journée pour moi… Et toi…-Ah…-Chambre 225, M. et Mme Hubert, de Reims…-Oh, pas mal…Nous montons, nous nous installons… La pièce est claire, spacieuse, je note le frigo, la salle de bains est impeccable, un petit balcon permet de prendre le petit-déjeuner sans descendre…Un premier baiser…-Attends, je vais raconter…-Vas-y…-Voilà… Après cette journée mémorable pour moi, je me suis laissée emportée par le tourbillon… Heureuse de ce premier flirt très poussé, j’ai passé des nuits magiques…-Ah, bon !-Non, pas ça ! Je dormais sans rêve et sans cachets… Je pensais à toi, revoyais notre périple, le bois surtout, puis la voiture… J’avais hâte de te revoir…-Enfin, la vérité…-J’ai pu fixer et conserver ce jour dans mon planning, j’avais décidé, oui, je veux vivre ton concept, cela m’a fait du bien, je suis reboostée… J’ai envie de toi, j’ai eu mes règles entre temps, il fallait que je te le dise aussi… Mais surtout à force de penser à notre prochaine rencontre, je suis devenue plus terre à terre et j’ai vu, senti, recherché et j’ai trouvé ! Il me trompe !… Mon âge environ, moins cinq ou six ans, blonde cheveux longs, belle, très vamp… Sans doute entretenue par d’autres gogos…-Comment ????-Ah, cher ami, une femme trompée est redoutable, alors j’ai fouillé… Son portable, ses vestons, ses pantalons et surtout sa voiture, chère voiture chérie… Autre téléphone à carte et un seul numéro, Charlène et sa photo… J’ai appelé d’un autre portable, elle a répondu d’une voix claire… Elle a avoué me connaître… Je lui ai raconté que je le lui laissais, et elle a marché…Elle sait tout de moi, il lui a tout dit, tout décrit, elle m’a crié son plaisir avec lui, qu’il jouit comme jamais, car je suis bien trop coincée, bien trop arriérée dans les jeux du sexe, qu’elle est en train de me le piquer lentement mais sûrement et qu’il va ne plus pouvoir se passer d’elle très bientôt…Elle se met à pleurer…-Voilà… C’est fini… Mon amour est mort, il va partir vers une autre… Je veux l’humilier avant. J’ai décidé, j’accepte ta proposition. Je veux évoluer, connaître le sexe, apprendre à le maîtriser, vivre enfin une libido débridée, sans ces principes qui me retiennent, je veux connaître le bien, le mal, mais pas souffrir… Je veux être capable de le mettre à genoux devant moi et qu’il me demande grâce… J’ai une idée, je te la dirai quand ce sera temps, mais avant je veux être tienne…Du temps elle est déshabillée complétement, et se tient devant moi comme par défi, prête à se donner par rage, pour se venger aussi…Ses grands yeux verts plongés dans les miens, son visage crispé par le chagrin, cette langue sur ses lèvres roses qui trahit son impatience…Les seins hauts, arrogants, les hanches parfaitement galbées, son pubis rasé, ses cuisses un peu maigres certes, mais nerveuses…Elle défait ma ceinture, baisse mon pantalon, retire mon sweat, se colle contre ma poitrine en embrassant mes tétons…. Elle se fait liane, ses lèvres se collent aux miennes et son parfum fait le reste, agit, je deviens son maître…-Fais de moi ce que tu veux, je te veux, j’ai envie de toi, de jouir enfin… Je suis mariée, je vais le tromper à mon tour, et de belle manière… Il va apprendre pour sa poule, il va savoir que je sais, je ne sais comment il va réagir… Partir de chez nous ? Demander pardon ? Cela ne changera rien pour nous deux, avec toi, je passe un contrat, je deviens ton élève, formation sexuelle second degré… Viens, prends-moi dans tes bras, fais-moi oublier ma vie…-C’est clair au moins entre vous… Quoi qu’il fasse, tu as bien manœuvré, tu l’as coincé. En ce qui nous concerne, je suis fier de t’avoir et c’est avec respect que j’accepte de t’emmener sur les sentiers de la jouissance, et d’autres. Je te propose une soumission complète pendant cette phase, regarde, obéit, tu vas souffrir moralement car tu vas à l’encontre de ta morale, je vais la piétiner, c’est cela qui te grandira…-Oh, oui… Apprends-moi l’amour, comme si j’étais vierge…Elle n’a aucun mal à comprendre ce que je veux, et mes doigts découvrent son corps de rêve, ses recoins cachés, ses trésors intimes, et ma langue la transporte aux quatre coins du lit, puis sur l’épais tapis où se déroule notre premier 69…Je tente alors un doigt sur son anus, aidé par ma langue… Elle réagit immédiatement, mais elle se détend, accepte l’intrusion, jusqu’à ce que mon doigt puisse glisser lentement créant une réaction inattendue…-Oh, oui… Tu es doux… Je suis ta Sodome, mon corps est à toi… Ma langue vient inonder ses chairs et mon doigt devient son maître, lui arrachant des gémissements de plaisir…-Je ne pensais pas que c’était si bon… Fais-le moi… Tu seras le premier…Sa chatte est trempée, je la pousse au paroxysme du désir, la plaquant au sol, elle subit mes caresses, son clitoris rougi, érigé, ses tétons, ses seins, et ma langue qui continue à exciter, elle se tord sous moi, et maintenant sous mes doigts qui effleurent toute son intimité, elle finit par jouir intensément, écartelée, offerte… Elle se calme doucement… Je l’embrasse tendrement puis mon pénis distendu par tant de désir vient contre sa porte arrière, ce jardin tenu secret jusqu’ici,…Elle se contracte lorsque mon gland pénètre sa porte, lentement, je la calme…-Détends-toi… Laisse faire ton corps, ouvre-toi, tu ne sentiras rien…Je suis entré, je la sens se détendre, elle bafouille, se libère doucement… Mes va-et-vient lui font découvrir ces nouvelles sensations, cette possession anale, tant décriée, mal décrite, car immorale pour certaines cultures.Elle arrive à gémir au fur et à mesure, puis après quelques minutes de douces pénétrations, elle devient active….-Oh, oui… Je te sens… Oui… Ici tu peux jouir en moi… Fais-le pour cette première fois….-Je ne t’ai pas donné l’autorisation de parler, ni de jouir, ni de commenter…-Oui, pardon….-Oui qui ?-Oui, maître, pardon maître…Alors j’explose à mon tour, changeant de position, écartelant ses petites fesses rebondies, provocant un nouvel orgasme, par un pilonnage en règle… Elle se répand en larmes de plaisir, les bras en croix, elle se donne jusqu’au bout, s’offre encore sous mes coups de boutoir, jouit jusqu’à ressentir ma semence l’envahir …. Elle ne peut que crier cet instant, ce pic de plaisir, étalée sur le ventre, terriblement sensuelle avec sa chevelure noire encadrant ce visage d’ange, terrassée par mon dernier assaut…Pas besoin de parler, elle me sourit, partage cette plénitude après un acte intense, elle cherche mes lèvres, je lui accorde cette récompense…Nous faisons une pause, buvons un verre de vin… Mais j’ai envie de café…-Tu pourrais commander du café ? Tu désires autre chose ? On peut commander à la réception ou au service d’étage si ça marche…-Bien sûr, je le fais tout de suite, maître…-Tu auras une nouvelle épreuve. -Oui ?-Ouvrir la porte complétement nue, et faire entrer l’employé, homme ou femme, prendre le plateau, refermer la porte en le remerciant du regard…Elle me regarde, sourit…-J’ai dit que je t’obéirai aveuglément…Elle appelle la réception, commande un double café et un thé, quelques biscuits…Elle se prépare, fait le vide dans son esprit, chasse les démons qui lui disent de passer un vêtement, regarde le sol…Elle est très volontaire, elle n’a pas eu sa place sans lutter à l’agence…Toc, toc…Elle se lève et va ouvrir…Elle tire la porte, laissant ses mains devant ses seins…C’est un jeune homme vêtu en noir et chemise blanche, surpris, mais digne, il avance, me regarde, pose le plateau sur la table, se tourne…Il est maintenant face à elle… Il ne peut que mater…-Merci, c’est parfait, vous aurez eu la joie de me voir nue… C’était un pari avec mon mari…-Je… Oui… Merci…Elle referme la porte à clé et se met à rire…-On peut faire n’importe quoi avec les gens… Mais je me sens grandie… Je me suis montrée nue à quelqu’un d’autre… A 36 ans bientôt, c’est la première fois qu’un inconnu me mate de bas en haut… A part mon mari et mon médecin, et puis toi…Et puis tu m’as donné une leçon… Depuis bien longtemps la sodomie était taboue. Mon mari a voulu une fois, je l’ai remis à sa place… J’étais courge de ne pas découvrir cela par moi-même et de faire confiance aux autres, celles qui disaient que cela faisait mal, qu’on saignait… Au contraire, je viens de découvrir une autre façon de jouir, de faire l’amour, de prendre et donner un plaisir nouveau, dans l’intimité d’une chambre, entre deux amants, tendresse et volupté… Je t’aime et tu as raison et merci pour ces premières leçons…-Tu peux rester jusqu’à quelle heure ?-Mon dieu, il est déjà 17 heures… Non… Il va falloir que j’y aille… Je veux me remettre de tout ça… Tu sais, c’est intense ce que je ressens pour toi… Tu chamboules ma vie, mon esprit, que tu occupes en permanence. Il faut que je t’en chasse… Je dois résister désormais…-Tu es forte, très pugnace, tu vas le dominer, tu vas gagner…-Je vais être malheureuse, me retrouver seule chez moi, sans but pour les week-ends…-Je serai là parfois…-Tu veux m’épouser ?-Ne me tente pas…-Tu ne m’as pas encore sautée mon chéri… Je n’aurais pas dit non aujourd’hui…-Je me suis trompé de côté ?-Salaud, vicieux, pervers… J’ai hâte de découvrir d’autres choses, jusqu’à ce que je jouisse de toi, j’en rêve et vais en rêver…-Jusqu’à quand ? 3 semaines ?-Je te le dirai…Le retour est triste, je lui avoue que je n’avais pas prévu sa situation et la voyais coincée entre mari et enfant… Mais que je compatissais vraiment, et que si je pouvais l’aider en quoique ce soit… Elle m’a répondu quelque chose de beau :-Ton aide, je l’ai en moi maintenant. Je ressens ta force, je ressens ton amitié, je me sens grandie, je te l’ai dit, dans tous les sens du terme. Tu fais de moi que ce que je n’ai jamais osé faire, briser mes chaînes, m’envoler… D’ailleurs, s’il ne part pas, c’est moi qui partirai. Demain je parle à ma mère…Quelques jours plus tard, un premier message de sa part, lu et supprimé…Karine a parlé à sa mère qui la soutient avec force, s’occupant de son fils à temps plein s’il le faut, prétexte de travail…D’autre part, son mari lui a parlé le soir même. Son amie l’a appelé immédiatement, elle ne comprenait pas pourquoi, ni comment Karine était arrivée jusqu’à elle, pour lui arracher la vérité…Il n’en n’a pas été surpris sachant son obstination pour arriver à ses fins… Il regrette bien entendu, mais cela arrive à tous les couples… On revient en arrière et on repart. La faute ? Le sexe qui taraude les hommes, qui en veulent toujours plus, en voyant la vieillesse arriver… Ils ont besoin de plus, plus de rêves, de sensations, de fantasmes à assouvir, d’opportunités, de variantes, d’exotisme, d’érotisme…Il ne peut plus avancer avec sa femme, rigide, coincée, pudibonde, alors que ces jeunes femmes acceptent tout, n’ont peur de rien, qu’elles connaissent toute la panoplie des plaisirs, de la sexualité, jusqu’au vice parfois… Il lui a proposé de s’en aller, lui laissant la maison avec son fils, pendant quelques semaines, pour lui donner le temps de lui pardonner… Il aimerait ensuite qu’ils voient un conseiller, pour stimuler leur libido en déroute, pour s’ouvrir comme avec sa pute à toutes les folies… Elle a dit OK à tout…. Il a pris ses affaires le lendemain soir, il est allé sans doute s’installer chez elle quelques temps…Elle va prendre quelques jours pour réfléchir, elle veut bien qu’on se voit dès qu’elle aura laissé son fils à ses parents pour les vacances… Une semaine à attendre…Elle a besoin de ne penser à rien, de reprendre un rythme, laissant le temps décider de la suite de son mariage sans présumer quoi que ce soit, mais en tous cas elle continue plus que jamais sa formation avec moi… Et sa séparation momentanée lui laisse tout loisir pour se plonger à son tour dans un adultère thé****utique…Le lundi suivant elle me laisse un message de la rappeler…Ca y est, son fils sera chez ses parents dès ce week-end, elle sera seule pour la semaine. Elle a réagi très vite et ne veut pas les imaginer ensemble, à s’embrasser sans cesse, et à les imaginer baiser à tour de bras…Elle veut faire pareil…Je donne une raison externe au bureau, et Eve apprécie le fait que mon voyage soit assez court, une petite semaine… A Paris ! Belle capitale qu’elle ne connaît pas… ce sera pour une autre fois, merci…Les progrès de la science, une formation sur des produits de pointe que je commercialise… Mais c’est loin de la capitale, dans la vallée de Mickey…Ma valise à la main, je prends la direction du parking de l’entreprise, puis m’arrête à deux pas de la banque. Je dépose quelques chèques, puis ressors… Son coup de klaxon me surprend, je la suis…Nous arrivons dans le même hôtel…Elle descend et se précipite dans ma voiture…-Chéri, je suis tienne jusqu’à dimanche soir…C’est la première fois que je trompe ma femme tant de temps, nuits comprises, comme un voyage au pays du plaisir…Nous déjeunons à l’hôtel, avec en apéro juste un petit baiser et une longue conversation. Karine préfère la solution hôtel, on ne sait jamais… Elle se sent en sécurité ici.Son mari est parti dès le mercredi soir, elle est allée chez ses parents le vendredi soir, avec son fils, et y est restée tout le week-end, pour leur expliquer avec forces détails la trahison de leur gendre…-Tu sais j’ai redormi dans mon lit de jeune fille… J’ai rêvé que j’étais amoureuse, il te ressemblait, il m’a fait l’amour toute la nuit, il paraît que j’ai crié… C’est mon fils qui me l’a dit, il était dans la chambre attenante…-Bien dis-donc, ça te travaille…-Depuis toi, depuis le bois joli au bord du lac, je n’arrête pas d’avoir envie… et depuis l’autre jour, j’ai doublement envie…-Comment ?-Par devant et par derrière !-Oh… Mais tu vas devenir nymphomane !-Si tu m’y pousses…Le repas terminé, je fais un point avec moi-même pendant qu’elle défait sa valise et suspend ses vêtements… C’est bien joli, mais que faire ? J’ai envie de la prendre, c’est vrai, mais il faut qu’elle avance… Sur un bout de papier, je note des idées…-La caresser au restau sous la table, devant le serveur-Lui apprendre à me masturber aussi dans la lancée-Sortir demain matin sur la plage et se déshabiller dans les dunes seule-Trouver une jeune femme pour lui apprendre à devenir lesbienne. -Faire l’amour en public, seule avec moi, avec un autre ? Une femme ?-Inviter un couple, se laisser prendre par l’homme, me regarder faire jouir une autre femme…-Monter avec un chauffeur poids-lourd, habillée en banquière, robe longue, maquillée, décolletée et se faire payer.-Attirer des hommes pour un gang-band.-Prendre un mec en stop et s’offrir sur la banquette arrière pendant que je conduis-Sucer un vendeur (se) dans une cabine d’essayage…Je me dirige avec ma liste vers le patron, Boss, tandis qu’elle est marmaris escort remontée dans notre chambre.Je lui demande s’il connaît un établissement coquin pour adulte près d’ici, pas trop bas de gamme. Ensuite un bar où trouver des lesbiennes ?Les coins chauds entre adultes ?Il me dresse un tableau simple, une zone près de l’autoroute, une autre en sortie de ville, avec des voitures garées dans la journée. Pour les filles c’est le Dominion, un gentil bar non réservé mais fortement connu pour ses rencontres lesbiennes…Il me ratt**** en me disant que pour la lesbienne, il en connaît une, jeune, bien, qui ne demande que ça… Il a compris pour ma compagne, elle est belle et veut bien participer, le serveur lui a rapporté son entrée dans la chambre…Pour la fille aujourd’hui à 14h, elle se présentera directement à la chambre. Pour sa propre participation à nos ébats, je verrai, mais il n’est pas mal, doux et à l’air convenable.Chapitre III – Plongée en eaux troublesJe fais monter Karine en voiture avec moi, habillée d’un tailleur assez strict, chemisier blanc, chaussures de ville noires.Nous nous rendons vers la première zone qu’il m’a indiqué… Quelques voitures en effet, des hommes surtout. Je ne vois pas de prostituée. Des gais ?Je laisse la voiture en vue et lui demande de m’attendre…Je m’approche d’un gars dans son véhicule, je lui demande s’il aime les femmes… Il me dit non… Je suis fixé… « Ici c’est pédés et compagnie, drogues douces, parfois quelques couples en soirée… Les femmes c’est vers l’autoroute, putes, drague, des couples pendant la journée entre les dunes côté plage… » Il me fait un sourire…Je remonte dans la voiture, mais j’aperçois un jeune homme qui semble chercher… Je m’arrête et vais vers lui… Il a peur de mes gestes… je le rassure, je cherche à distraire ma compagne… Pour une pipe sur la banquette arrière à l’abri des regards…-Je me fais faire une pipe par votre amie ?-Oui, c’est tout et tu décampes après…-On aura tout vu… Elle a l’air canon…-Tu ne la touches pas, tu te laisses faire…-OK, boss… J’ai capté…-Tu es propre au moins ?-Heu… -Va te nettoyer et revient, la portière arrière sera ouverte…-Vous restez devant ?-Oui, rassures-toi, je ne suis pas un tueur, on s’amuse avec ma copine…Je retourne à la voiture…-Bon, va derrière, installe-toi, tu vas avoir un peu de travail…-Bien maître…Le gamin revient, monte à côté de Karine…Il ouvre sa braguette, se tourne légèrement vers elle, s’accoude au dossier, monte un peu son bassin…-Quitte ton futal, ce sera plus pratique…Il le fait…Sa bite pend, petite chose abandonnée, sans vie…Karine me regarde dans le rétroviseur central, se saisit du sexe, le caresse…Pas de réaction… Elle se penche vers lui et lui parle à l’oreille…Elle relève sa jupe, ouvre légèrement ses cuisses…La réaction est immédiate… L’objet s’anime dans sa main, grossit, arrivant à une taille honnête pour un jeune plein de vie…Il ferme les yeux, lorsque la bouche se referme sur sa bite…La tête de Karine commence un va-et-vient lent, profond… Je vois une main s’attarder sur un sein…La fellation est parfaite, et me rappelle celle qu’elle m’a prodigué à notre premier jour…Ses cuisses s’écartent, la jupe remonte encore, je vois sa culotte, par le petit rétro que j’ai fixé à cet effet aux places arrière…Le jeune homme se laisse emporter par la caresse, aperçoit les cuisses ouvertes, passe sa main, elle sursaute, continue son travail…Il lui dit quelque chose…-Si tu veux…La main s’active dans l’intimité maintenant dégagée, la culotte mise à mal… Elle le laisse faire, puis en s’aidant de sa main, et craignant que cela dégénère, elle le fait jouir dans sa bouche… Il explose, à regret sans doute…-Merci jeune homme… On peut te trouver où, si on a besoin de toi ?-0923456797…-Tu as mérité tes trente euros… Il se rajuste et descend de voiture, tandis qu’elle ouvre la portière et crache, puis s’installe à l’avant…-Je ne t’ai pas invitée à me rejoindre, retourne derrière, à ta place de banquière qui s’offre des petits jeunes en apéritif… Moi je ne suis qu’un chauffeur passif…-Bien maître… Mais ai-je été à la hauteur de ma tâche ?-Le but a été atteint. C’est toi qui dois me dire si tu as avancé. Te sens-tu plus forte d’avoir osé prendre ce plaisir, léger certes, mais agréable…-Oui, maître, j’ai eu du plaisir à me servir de son sexe, à lui donner du plaisir, ressentir sa main entre mes cuisses, dans mon intimité…-Bien, nous pouvons continuer alors… As-tu connu une femme, as-tu été attirée par un corps féminin, même sans avoir franchi le pas ?-Oui, j’ai ressenti un certain attrait pour une de mes amies, il y a longtemps, avant mon mariage, depuis, je n’ai pas eu l’occasion de me retrouver dans la même situation, seule dans un lit…-Tu vas connaître les plaisirs féminins aujourd’hui. Ce que l’on appelle gouine ou lesbienne. Tu t’attacheras à bien lui donner du plaisir, après l’avoir ressenti toi-même. Et tout ce qu’elle te fera, tu lui rendras, avec intérêts, tu dois pouvoir le faire, avec ton imagination, c’est ton métier les intérêts ?Nous retournons à l’hôtel, elle prend une douche et se change, tandis que je me détends sur le balcon en imaginant la scène qui va arriver… Je prends la décision de laisser faire les événements…Nous descendons à la salle vers midi. Apéritif, elle parle d’elle, de cette femme qui l’avait émoustillée… C’était sa tante, avec laquelle elle avait dormi une nuit faute de place, chez ses parents, il y a longtemps… Elle l’avait aperçue nue se glisser entre les draps… Elles avaient parlé de choses et d’autres, comme on parle entre femmes, elle avait senti son regard se poser sur ses formes, lui avait dit qu’elle était belle… Il faisait chaud, le drap avait glissé, ses cuisses ouvertes dévoilaient son intimité, elle ne portait pas de culotte la nuit, elle percevait sa chaleur, elle bougea légèrement, Karine détourna son regard… La lumière éteinte, elle pouvait deviner ses yeux ouverts tournés vers elle… Un peu plus tard, elle avait senti une main prendre la sienne… L’entraîner sous le drap, sur son ventre chaud. Elle s’était refermée sur un sein, et l’avait caressé. Karine se laissait faire, elle sentit ses seins gonfler sous les doigts, perçu les soupirs de sa tante…Pour la première fois de sa vie son corps avait réagi à une caresse… Elle avait eu peur… Plus tard dans la nuit, elle avait regardé sa tante… Elle avait bougé… Elle avait avancé sa main et l’avait plaquée sur un mamelon. Sa tante s’était serrée contre elle, une cuisse passée sur son ventre, comme une amante… Elle parlait en dormant, sa bouche à quelques centimètres de la sienne… Elle eut la pensée d’y déposer un baiser… Elle s’endormit comme une enfant dans les bras grands ouverts…Le lendemain, sa tante était rentrée chez elle, un sourire complice avait accompagné son baiser d’au revoir…Assis l’un à côté de l’autre elle se penchait vers moi, pour parfois glisser un mot à mon oreille, comme un secret, un aveu…-Tu ne l’as jamais touchée ?-Si, plus tard dans la nuit. Elle avait les cuisses ouvertes et se caressait, ma main avait glissé peu à peu, poussée par la sienne, et mes doigts ont senti sa moiteur intime, ils ont trempé dans son calice, dans le secret de cette nuit d’été, sous le drap… J’ai eu envie de lui dire de me le faire en même temps, mais j’ai eu peur, on me parlait de sang dans la défloration, de douleur… Qu’il fallait le faire avec son mari, le soir des noces…Je l’ai entendue parler, ou plutôt feuler, j’ai ressenti les ondulations de son corps, puis les soubresauts de son bassin, et elle s’est endormie sereine et tranquille… Mes doigts sentaient son parfum, sa féminité, je me suis touchée, prenant grand soin de ne pas pénétrer ma grotte. Tout mon ventre me faisait mal de désir, ma vulve était trempée… J’ai eu honte…Seule expérience de ce monde, tu vois maître, j’ai sans doute beaucoup à apprendre…-Tu en as eu des regrets ?-Oui, je l’avoue… J’y ai pensé presque chaque jour, elle aurait pu m’apprendre à ne pas avoir peur des réactions naturelles de mes organes génitaux…-C’est ton mari qui…-Oui, le soir de mes noces… J’étais si crispée que je n’ai rien senti… Le lendemain ce fut mieux, il m’a mise enceinte sur la lancée pendant notre voyage de noces, en Corse…J’avais passé ma main entre ses cuisses et avait suivi la courbe, puis glissé peu à peu vers son intimité… Elle s’était collée contre moi, et tout en parlant revivait cette expérience, ce premier contact avec une femme… Elle était trempée de désir et lorsque le garçon, le même que l’autrefois, nous apporta les entrées, elle me regarda, tandis que mon doigt plongeait dans ce puits de tendresse… Elle bredouilla quelque chose pour le remercier de nous avoir servi…Il la vit toute chose, mais pas la jupe retroussée et mes doigts qui s’attardaient dans son calice…-Oh, oui, maître, j’ai envie de vous… je dois aller remettre de l’ordre dans ma tenue…Le serveur revint apporter le vin, je surpris son regard amusé…-Vous avez vu ma femme toute nue, l’autre jour…-Oui, sans le vouloir… Elle est très belle…-Je ne t’en veux pas, nous jouons… Et là ?-Euh !… Oui, sans doute une caresse…-Tu en as envie ?-Oh, pardon… Je ne peux pas, c’est interdit…-Je peux t’amener à prendre part à nos jeux… En dehors du service évidement…-Je ne détesterai pas…-Tu connais les femmes d’ici ?-Oui, je sais que vous prévoyez une séance cet aprem…-Ah, tu es au courant… Tu connais la fille ?-Oui, jeune et belle, 25 ans environ, pas froide du tout…-Tu l’as eue ?-C’est ma coloc, on partage le petit studio mis à notre disposition par la direction…-Tu as essayé alors ?-Ben…. Ouais… Mais c’est coton…-Si je te la prends tu serais jaloux ?-Elle ne m’appartient pas et si c’est pour un jeu entre adultes…-Merci, je ne sais pas… Je peux te joindre dans l’après-midi ? Tu as un repos jusqu’à quelle heure ?-Oh, j’ai ma journée et ma nuit, le restaurant est fermé ce soir, lundi, mardi, mercredi, jusqu’en saison…-Bon, merci pour ces précieuses infos…J’ai enregistré tout ce que m’a confié Chris, et cela m’a conforté d’organiser quelque chose avec lui, et sans doute sa coloc…A 14 heures un toc-toc contre la porte… Karine est prête, elle vient de me le dire, elle n’a pas peur de faire ce pas, elle serait même plutôt séduite, si la jeune femme lui plaît.Elle ouvre la porte, et entre une belle blonde, yeux bleus, bronzée, assez jolie, un sourire plutôt sympa, elle offre quelques chocolats à Karine qui bafouille de gêne…-Merci pour cette attention, ton prénom ?-Aline. 25 ans, serveuse, employée d’hôtel, je fais aussi les chambres, les hommes et les femmes. -Nous avons rencontré par hasard ton coloc, je n’ai pas noté son prénom…-Chris… Oui, il m’a dit à midi que vous aviez parlé.-Voilà Karine, nous ne sommes pas amants, je suis son précepteur. Nous installons une relation de soumission, elle consent à apprendre certains chemins de la sexualité qu’elle a raté… Voilà qui explique ma demande. Tu as compris ?-Oui, je vais agir en conséquence, j’aime faire une première approche, on ira plus loin si l’on s’entend bien…-Je veux qu’elle t’obéisse aveuglément et qu’elle échange avec toi ce que tu lui apprends. Je serai là sans l’être, je ne me mêle pas de vos ébats, je reste juste pour diriger si besoin… Il est possible que je sorte un instant, ne vous dérangez surtout pas. Si tu as besoin d’un conseil, de quoi que ce soit, appelle-moi. Voilà, vous pouvez faire connaissance…Karine semble ravie de ce challenge, elle me sourit lorsque je passe sur le balcon avec mon ordinateur…Assises sur le lit, elles discutent un long moment, puis Aline se lève, et l’invite à danser sur une musique douce et tendre qui sort de son portable…Elles entament un slow très lent, Aline se met pieds nus, au bout de quelques minutes, Karine semble charmée par la jeune femme, et se laisse séduire… Premier long baiser…Je m’occupe de mon courrier, Wi-Fi fonctionne très bien, je n’ai aucun mal à commenter mon voyage à Eve…La musique a cessé, elles sont allongées sur le lit, caresses, flirt, baisers passionnés… Aline se dévêtit et aide Karine à en faire autant…Aline est magnifique, sensuelle, équilibrée, un pubis sourire, quelques poils laissés en forme de cœur…Elle entame une revue du corps de Karine, ses mains agiles volent çà et là, caresses tendresse, mise en bouche très fine, Karine doit adorer…J’ai des difficultés à me concentrer, je cherche des adresses dans la région… Bars, rencontres, clubs, etc…Karine glousse et feule à la fois, sous la langue agile qui vient sublimer son intimité… Aline est dans le vif du sujet et ne fais pas semblant… Ses mains caressent les seins parfaits, tandis que sa langue attise le désir de ma soumise…Aline lui parle, elle obéit, se tourne, soulève ses fesses… Aline caresse, et sa langue vient saliver ses trésors… Les seins de la jeune femme, petites pommes pleines et dures, semblent attirer Karine… Un rappel de ce dont elle me parlait, sa tante ?C’est à son tour de donner du plaisir à sa complice, écartelée, offerte… La tête dodeline, la langue goûte, salive, ses doigts vont et viennent dans son intimité, découvrant un pubis proéminent, un anneau perçant ses lèvres intimes, une grotte adorablement rosée…Elle lèche avec application, comme elle le fait avec un phallus, se donnant entièrement à sa caresse, écoutant sa partenaire, ses premiers délires, ses plaintes de femme excitée par le désir de sexe…J’ai pu noter deux ou trois adresses que je me ferai confirmer par mon jeune serveur préféré…-Oh, oui… Viens, prends ma chatte, glisse ton doigt, j’ai envie de te sentir en moi…Aline se donne, écartelée, son corps magnifique ondule, s’ouvre, revient, Karine lui donne ce qu’elle cherchait, une première pénétration vaginale, soft, très tendre… Elles échangent alors, prenant tout le lit, des caresses et des baisers sur tout leurs corps, venant, se dressant, jouissant, échangeant, Karine a un bel orgasme, qu’elle rend immédiatement. Entrelacées, enchevêtrées, elles jouissent à tour de rôle et se subliment, ajoutant du piment, un doigt dans le derrière, pour varier les plaisirs…Elles font une pause, boivent un jus de fruit, se frottant mutuellement les cuisses, puis retombant dans les bras l’une de l’autre…Karine est séduite, Aline ne s’attendait pas à tant de passion…Je les entends discuter un instant, Aline sort un objet démesuré, un gode nature…Le bruit sourd du jouet retentit, et les premiers râles de Karine emplissent la chambre…Masturbée par devant, fistée, gode en action dans son jardin secret, elle découvre une facette inconnue… Jouets intimes se succèdent entre les deux filles, elles se les échangent, restent jouissent chacune leur tour, sans la moindre honte… Karine est concentrée et se prête à toutes les situations, rendant coup pour coup, caresse par caresse, orgasme pour orgasme…Elles s’entendent, s’aiment ainsi pendant deux heures… Je profite d’un répit pour aller les voir…Karine est épuisée, elles sont assouvies, dormant l’une contre l’autre enlacées tendrement…Aline ressent ma présence, elle se lève… Vient sur le canapé à mon côté…-Elle est magique cette jeune femme… Je n’ai pas eu beaucoup de travail, elle a le sexe dans le sang, réactive, sensuelle, toujours à chercher mieux, plus fort, plus loin, autant pour elle que pour sa partenaire… Elle aime les femmes, elle aime l’amour, elle est tendre, docile, liane, inventive, elle m’a bluffé et j’ai joui sans arrêt… Elle aussi. Sans tricher, acceptant tout de moi, même le plus coquin. Elle a aimé les jouets, on n’a pas eu le temps de tout tester, mais les plus représentatifs de la gente féminine, du simple canard jusqu’au gode, les boules de geisha, le vibromasseur Rabbit dont elle a apprécié la double stimulation… Je n’ai pas pu tester un gode ceinture et la pénétrer avec… Elle a joui, vous étiez descendu je crois, par deux jouets ensemble, crispée, à s’en éclater… Elle est adorable et si aimante… J’ai craqué… J’aimerais la revoir dans d’autres situations, avec des partenaires…-Pourquoi pas, je suis ouvert à tout, du moment qu’elle se libère, qu’elle se désinhibe.-Frank pourrait m’aider… Il me drague depuis longtemps, mais je prenais mes distances, j’aime aussi les hommes, même les hommes mûrs…-Merci… Je déciderai ce soir ou demain. Mais aujourd’hui, elle a eu son compte de plaisir ?-Oh, on n’en a jamais assez…-Ce soir je vais l’abaisser, l’avilir, la contraindre, faire d’elle un objet sexuel…-Oh, ça me tente… Où ?-Voilà… J’ai peur que la situation ne m’échappe, vers l’autoroute…-Ah, oui, c’est glauque… Je connais un couple de libertins qui organise des parties fines, dans tous les genres… Femmes, hommes, sélectionnés, de bonnes conditions, sécurisé, j’ai apprécié. On peut téléphoner…-Vas-y… Pour demain soir….-C’est bon pour aujourd’hui, tu peux t’en aller… Tu as été superbe. Je te tiens au courant et tu m’appelles pour demain soir.-D’accord, Marc, merci. Je peux ?Je me lève. En un instant, elle est contre moi, ses lèvres s’écrasent sur les miennes sans prévenir, sa nudité ajoute au plaisir de sa langue qui vient réveiller mes ardeurs, mes bras se referment autour de son corps… En un instant je suis bandé comme un âne… Ses lèvres me prouvent qu’elle aime les animaux… Ses seins pleins me charment, sa tête dodeline, une main dans sa chatte parfait le tableau… Je me laisse aller un instant vers les délices de la fellation, l’extase d’une caresse millénaire…Je jouis dans sa bouche, elle jouit de sa main, poussant de petits cris…Je mets fin, à regret, à cet assaut plein de fougue, elle se rhabille, tandis que Karine dort à poings fermés.Je lui glisse un billet de 50 euros lorsqu’elle ouvre la porte, elle me donne un smack, rapide, et sautille dans le couloir…Je reprends mes esprits, range mon ordi, Karine soupire doucement… Je la recouvre de peur qu’elle ait froid, je souris, elle a passé un très bon moment de plaisirs nouveaux, 20 ans qu’elle a attendu pour goûter aux plaisirs lesbiens…-Maître ?-Oui Karine ?-Ma maîtresse est partie ?-Oui…-Dommage…-Tu as apprécié son contact ?-Oh oui maître, ce fut un moment agréable. Je m’en veux de ne pas avoir osé avec ma tante… Aline m’a tout appris d’un coup… Que c’est bon de se donner ainsi juste pour le partage d’un moment intense. Je ressens de l’amour, bien plus de tendresse qu’avec un homme, le désir est diffus, différent, profond… J’ai joui très vite, j’ai compris aussi et elle semble avoir aimé…-Tu peux en être certaine, elle a apprécié, elle est ravie, et moi aussi, et elle est prête à revenir…-Oh, j’aimerais aussi…Elle s’étire, nue, offerte à mon regard… Elle n’a plus honte de sa nudité, de son corps… Je vais tester à la plage, il n’est que 17 heures, le soleil a dû réchauffer le sable…En effet, Karine se dore allongée sur une grande serviette avec moi. Son maillot est une pièce, elle l’a voulu…J’ai apporté de quoi nous protéger, enfin de la crème solaire… Je lui en passe dans le dos, elle baisse son maillot sur ses hanches, j’effleure ses seins, elle se cambre…Un couple passe à côté, elle remet rapidement ses bretelles…-Tu vas tout enlever, maintenant !-Bien maître… Elle obéit, son corps apparaît, elle jette un œil au couple qui s’est assis un peu plus loin… Mais il n’y a pas de monde, juste quelques curieux, des voyeurs sans doute…En voilà un qui passe devant le couple, lentement, traînant la patte, matant sans complexe la jeune femme qui s’est allongée et que je ne vois plus… Je pense qu’ils sont comme nous… Nus…Il arrive et passe aussi, proche, fier, regarde, se tourne, son short montre une bosse. Karine se tourne vers moi, lui montrant ses fesses, elle se love contre moi…-Maître il me regarde….-Oui, il te savoure du regard même…-C’est indécent, non ?-C’est public et toléré… Tu ressens de la fierté de provoquer son état ?-Un peu, mais j’ai peur…-Il ne violera pas, il a simplement envie de toi… Tu aimerais te laisser caresser ? Te laisser prendre devant moi par cet inconnu ? Tu as fait des choses hier à un jeune garçon… Là tu peux aller plus loin…-Comme vous voulez, maître. Si je suis ici devant cet homme qui regarde mon intimité, qui a envie de moi… Mais vous maître ? Quand me le ferez-vous ? Dois-je être prise avant par d’autres hommes ? Est-ce ma punition ? Apprendre à dominer, diriger, m’abaisser ? Dois-je subir des outrages ?-Tu es désirée, lorgnée, tu peux le satisfaire comme tu le veux, tu peux choisir… Il est beau, fort, bronzé, ce n’est pas une punition…-Vous voulez que ce soit moi qui décide… Que je le veuille, que je le désire… Il est loin… Caressez-moi les seins, je le fixe…-J’obéis, elle est finaude…Le gars me voit, mes mains enserrent les globes, il sort sa bite et se caresse…Karine fait alors quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas, elle passe sa main entre ses cuisses, en le fixant dans les yeux…Puis elle tourne la tête vers moi, et me donne un baiser langoureux, puis le regarde de nouveau, le provocant encore et pour finir, lui fait un signe…L’homme s’approche…-Cela vous plaît de nous mater ?-J’adore… Vous êtes magnifique, et vous êtes ici pour vous montrer, sinon, vous seriez à l’hôtel…Je me retourne lorsqu’il dit ça, je reconnais le patron, Boss, auquel j’ai parlé hier… Il nous a suivis…Je ne dis rien, la laisse faire…-Vous voulez participer ?-Oui, j’aimerais…-Viens bel inconnu, allonge-toi dans mon dos, quitte ton short…Karine lui fait une place, la bite n’a pas diminué d’un iota pendant la discussion…Elle ramène une main de son partenaire, et la plaque sur ses seins…Elle me fixe… La main masse ses globes, caresse ses tétons… Elle a un soubresaut, elle a dû le sentir contre ses fesses…J’avance une main entre ses cuisses, et la force à s’ouvrir un peu, sa chatte est trempée comme je le pensais…Je plaque ma main, glisse un doigt sur son clitoris, tourne, excite… Elle s’avance vers moi, je lui fais de gros yeux, elle attend, passe une main dans son dos, elle a compris, elle a choisi… Elle coule de désir maintenant, un point de non-retour… Je la laisse faire… Elle bouge, se frotte contre lui… Elle soupire, passe sa langue sur ses lèvres… Elle se cambre lui offrant ses fesses…Son bassin ondule, sa bouche est à quelques centimètres de la mienne, je lui donne un baiser… L’homme la prend lentement, elle lui a offert son intimité, elle commence à jouir…Elle me regarde, me sourit, sa respiration est saccadée…Je pensais qu’il allait la sodomiser, mais non, il la lutine tendrement…Elle se laisse emporter par la vague douce qui la submerge et jouit son orgasme doucement, appréciant cette intimité partagée…Elle continue à me fixer, comme un jeu, voulant me percer, savoir ma jalousie ?Elle me tend sa main, prend la mienne et la serre, voulant me donner le rythme de sa jouissance…Oui, il va jouir en elle, elle me griffe, sa bouche s’est ouverte et elle se donne à lui, tapant ses fesses, elle doit être trempée, j’entends un bruit caractéristique, elle l’accompagne jusqu’au bout, ondulant son bassin avec force, le prenant avec ardeur. Elle le reçoit, lâche ma main, se pince les seins jouissant avec force, et gémissant son plaisir entre nous…-Oh, oui… Maître, j’ai été prise…L’homme retrouve ses esprits, remet son short, se lève et s’en va sans un regard…-Oh, oui, maître j’ai joui, lui aussi ! Il a déchargé en moi, je me suis laissé prendre… J’avais tant envie d’un sexe, maître…-Les jouets d’Aline ne t’ont pas suffi ?-Ce n’est pas pareil, le virtuel, le plastique, même high-tech, ne remplace pas un membre viril, chaud, qui éjacule sa semence avec la passion d’un rut…-C’est bien d’avoir choisi…-Je… Oui… je l’ai fait… L’amour dans les dunes avec un inconnu… Devant mon maître qui m’a regardée me donner et jouir sous le joug de cet amant de rencontre… Autre accroc à mon mariage… Je viens de le déchirer… Deux hommes contre moi… Une femme quelques minutes plus tôt, une pipe à un jeune éphèbe ce matin… Je grandis et me libère à vue d’œil… Pourtant je n’ai pas honte de l’avoir fait presque en public, je me sens belle… Merci Marc… Merci mon maître de me faire oser… Je suis pleine de sa semence…-Va dans l’eau…-Elle est glacée, non ?-On y va ensemble ?-Chiche !…On court vers la plage, au moment ou l’autre couple fait de même… Nous nous retrouvons presque côte à côte… Je la vois faire une toilette intime rapide et discrète, il se caresse le sexe aussi, pour enlever les fluides… Je fais pareil, j’ai bandé réellement comme un salaud… J’avais tant envie de la prendre…Elle regarde l’homme, un bel athlète, allemand sans doute dans la cinquantaine, elle la quarantaine, blonde de partout, à l’aise dans sa nudité…-On a vu l’homme avec vous…-Oui… -C’était bon ? L’amour avec un passant ?-Karine, monsieur veut savoir si tu as joui de cet inconnu…-Oui… C’était délicieux, il était parfait, doux, puissant, j’ai joui…-On n’a pas osé lui dire de venir… On l’a fait seuls… Magrit aime se partager, se montrer ici… Mais c’est risqué… On peut vous inviter sur notre couche ?-Bien sûr, Karine tu aimerais ?-Oui, maître, je ferai selon vos désirs…-Alors prends nos affaires et vient…Nous laissons les femmes s’allonger, puis les encadrons, moi derrière Karine et lui derrière sa femme… Magrit semble apprécier les charmes de ma soumise…-Vous jouez ?-Oui…-Tu aimes les caresses des femmes ?-Oui…-Tu veux bien être à moi ?-Oui, maîtresse…Leur premier baiser est torride et me permet d’apprécier les charmes de notre hôtesse… Magrit pure allemande aux formes arrondies, pas grasse, mais ses rondeurs apportent un charme particulier…Elle se caressent les seins, se lèchent, se sucent, puis Karine s’ouvre la première, appelant son amante à venir honorer son intimité… La langue tourne, les doigts volent, tournent, plongent… Karine jouit rapidement, se donne, puis elles se rapprochent et Karine plonge entre les cuisses offertes, nous laissant apprécier ses fesses rebondies et délicieuses…Magrit se met à vociférer, jouissant de la langue de ma complice, puis de ses doigts, qu’elle a appris si rapidement à conduire aux endroits les plus érogènes…Elles nous honorent d’un 69, en parfait accord, Hans me regarde, et regarde le petit cul offert et luisant de ma soumise…Je lui fais signe…Il se positionne et plonge une bite énorme entre les fesses de Karine…Abondamment préparée par sa femme, Hans prend précaution avant de sodomiser Karine…Il la pénètre lentement, son dard entame une progression lente… Karine se laisse prendre, sans crier, et le sexe pénètre doucement jusqu’au bout… C’est lorsqu’il ressort et la reprend franchement qu’elle explose d’un orgasme puissant… je me suis déplacé vers Magrit et caresses les seins opulents, les suce, les malaxe, elle se saisi de ma bite et la masturbe…Puis elle se libère du couple et vient me prendre dans sa bouche, m’offrant son arrière-train, écartelée… je me délecte, savourant ces formes magiques, tandis qu’elle coulisse ses lèvres sur ma hampe et que Karine se met à jouir pleinement, il vient de la sodomiser avec force, écartelée, pilonnée, les seins rougis… Elle est droite maintenant assise sur son sexe, et elle se fait pénétrer par ce sexe démesuré… Elle jouit encore, et encore… Magrit la copie, m’allonge sur le dos et s’accroupit sur le mien, et je me retrouve dans une cathédrale de soie, un espace doux, détrempé, un fourreau d’amour que j’honore avec respect……Elle sait faire la bougresse et s’empale en cadence, jouissant sans vergogne, avec force, avec passion, elle adore ça, se prendre, se donner… Ses seins tressautent en se balançant en tous sens… Puis elle se met face contre terre et relève ses fesses pour que je la prenne comme une chienne…-Ya, good, encore, vite, fort !… Oh !… Jouis, ya !…Elle se tord de plaisir, Karine est dans la même posture et assouvit les désirs de Hans, aux anges de voir sa femme offerte et pilonnée par un autre…Je change d’orifice et elle se met à vociférer de plus belle, pas besoin de préparation, elle est trempée, large, un autre fourreau de plaisir… Je la prends avec fougue déclenchant un torrent de paroles incompréhensibles…Elle semble au bout et je porte une estocade, me surpassant pour la voir écarter ses fesses, puis enfoncer une main entière dans sa chatte, un fisting de première classe…Nos deux belles retombent quasiment ensemble, épuisées par ce concert à huit mains….L’homme nous regarde, sans bouger, du haut de sa dune, en se masturbant à outrance…Je lui fais signe, et il demande la permission à Hans, qui fait Ya !Il se place devant Magrit, cuisses écartées, offerte immédiatement à ce bel inconnu qui s’enfonce dans son vagin détrempé… Karine embrasse Hans, le remerciant de nous offrir ce petit complément, voir une femme jouir d’un inconnu en plein soleil, à tous vents, offerte aux regards vicieux des hommes qui maintenant se délectent du spectacle…Elle jouit, il explose aussi en même temps, et se retire, en nous saluant…Magrit est aux anges, elle embrasse son mari, ils nous invitent à les rejoindre dans l’eau…Nous disons aurevoir à nos partenaires, puis regagnons notre hôtel, l’esprit embrumé…-Maître ?-Oui ?-Je peux te dire que je change à vue d’œil. Ceci vient au-delà de ce que j’espérais… D’abord un homme qui me viole, enfin presque, puis un couple… L’homme seul a été le premier à me prendre que c’était bon !… Ensuite la femme Magrit est une déesse de l’amour, elle m’a emmenée plus loin qu’Aline ne l’a fait… Elle a tout pris de moi, j’ai joui sans complexe, lui m’a sodomisée en même temps, puis m’a baisée comme un forcené… J’ai mal de partout… Ah, il faut que j’aille chez moi, je n’ai plus rien de propre.-OK, tu pourras te rendre chez toi demain dans la journée, à moins que tu ne veuilles y aller maintenant il n’est que dix-huit heures. Tu dois avoir faim et l’hôtel est fermé le soir.-Vas-y maintenant, tu as le temps on ira dîner après…Elle saute dans sa voiture en redescendant de la chambre avec une valise de linge…-A tout à l’heure maître, je suis heureuse d’avoir connu tout ça grâce à vous… J’ai hâte de continuer…Je remonte dans notre chambre qui semble vide… Je fais un point sur les leçons…Ces deux jours ont été productifs, elle mérite une journée de repos, demain je verrai à lui faire plaisir, à l’emmener faire les boutiques…Ensuite il reste le plus hard… La pousser encore dans d’autres bras, faire la pute réellement, se donner sans vergogne, il faut qu’elle trouve une nouvelle limite… Je veux voir comment elle se comporte quand elle a bu… Je demanderai à Aline de m’aider à la surveiller pour certains trucs… Ah, elle ne m’a pas répondu pour demain soir, une partouse…Elle m’envoie un texto, tout va bien chez elle, elle a lancé une machine de linge, elle refait sa valise et revient, elle est dans un autre monde…Je me suis endormi… Lorsqu’un toc-toc discret me réveille.Elle est là, sa valise à la main…-Je meurs de faim…-Viens, on y va…Je prends la direction du centre, mais peu de restaurants sont ouverts. Vers le port, on trouve une pizzeria… Elle saute de joie… Oh, oui… Je vais dévorer…Nous commandons du rosé de Provence, et choisissons dans la carte des pizzas au feu de bois…Elle boit en me parlant de son mari, elle a trouvé une lettre, il regrette… Elle non !…-Jamais je n’aurais connu ça… Il a fait ça au bon moment pour moi, pour nous… Tu aurais sans doute pu m’entraîner, mais pas si loin et pas trop consentante… Là, mes scrupules se sont envolés… Vive la vie !… Chéri je vais me saouler, tu ne m’en voudras pas ? Mais tu sais tu peux en profiter, je ne crierai pas si tu me violes…Manger nous fait du bien, boire un peu moins, et la bouteille est vidée avant la fin…Elle reprend une autre pizza au saumon… Si on partage…Elle dévore, parle plus fort… Un couple nous regarde, des gens d’ici, deux amoureux…Ils s’embrassent de temps en temps, j’en profite pour caresser ses cuisses…-Oh oui Maître ! J’ai pensé à toi… Et tu sais, à un feu rouge, je me suis caressée en pensant à toi… Un mec derrière m’a klaxonnée… J’étais inondée… J’ai envie de faire l’amour maintenant, c’est bête…Je la prends contre moi et la serre en l’embrassant…Le couple nous regarde et ils font pareil, je vois la main de la dame, passer sous la table…Je fais pareil, prends la main de Karine et la pose sur mon pantalon… Elle a compris mon jeu en suivant mon regard…-Tu crois qu’ils cherchent de la compagnie ?-On va le savoir, viens !Je l’entraîne vers les toilettes, ouvre un WC et entre avec Karine, je plaque ma main au moment où elle allait parler…La porte s’ouvre, je les entends parler… J’ouvre le WC, je vois la femme qui me sourit… Je lui fais signe…-Mon mari et moi, cherchons de la compagnie… On aime faire l’amour avec d’autres couples, ça vous dit ?-Viens me donner un exemple…Elle s’enferme avec nous dans le WC étroit pour trois… Elle prend Karine dans ses bras et l’embrasse tout en cherchant à la caresser… Sur la lancée, elle me donne un long baiser et serre mon sexe à travers le pantalon…-J’ai envie de vous… De vous deux, elle est belle, j’adore son corps, je veux lui faire l’amour et la partager avec mon mari, il adore ce genre de femmes… Moi, c’est Maud. Mon mari Luc.Nous sortons en nous rajustant… Et nous rejoignons le mari…-Vous allez où pour être tranquille ?-Chez nous parfois, plus souvent dans un club bien fréquenté et pas trop cher. L’avantage c’est plus de mixité, plus de choix, plus de possibilités…Je réfléchis, mais je n’ai pas la réponse d’Aline et ne voudrais pas interférer. Ce couple n’est pas nécessaire pour Karine, sauf s’il permet d’autres options…-Vous connaissez un endroit où faire des rencontres ?-Oui, vers l’autoroute, il y a de tout. C’est une jungle glauque. On n’y va plus. On en connaît certains, ils y sont sans doute maintenant…J’accepte qu’ils nous servent de guide, nous irons au club plus tard ou un autre jour…En chemin, je reçois un SMS d’Aline, rendez-vous après-demain vendredi à 23h00 au club le Château, sur la route du Lac…Nous les suivons, ils se garent vers l’entrée de la zone, dans un coin discret…Nous nous garons à côté d’eux…-Montez avec nous, sinon, personne n’osera venir. 2 véhicules ça veut dire que nous sommes pris…Nous montons derrière eux, la voiture est spacieuse, confortable… Il avance un peu plus loin, passe devant d’autres véhicules arrêtés…-Bonsoir les amis. Vous vous amusez ?-Oh, pas beaucoup de monde, c’est calme ce soir… Ah, mais vous avez des amis ?-Oui, nous faisions un tour dans les parages pour leur montrer…-Ils cherchent quoi ? Un couple, des hommes, des femmes, des lesbiennes, des gais ?-Karine aimerait un routier, elle adore monter dans les camions…-Pas de camion de ce côté, faut aller sur le parking des transporteurs sur l’autoroute, on peut entrer à pied. C’est par le fond, vous verrez les camions alignés… Oh, ma femme peut l’accompagner si vous le souhaitez, elle adore les routiers…-Ce n’est pas dangereux, Luc ?-Non, ils sont cool en principe, ils cherchent juste à se distraire. Et il y a pas mal de femmes qui viennent arrondir leurs fins de mois, pas que des putes…Il avance un peu dans la direction…-Sa femme, elle est bien ?-Maud ne l’aime pas, elle fait pute et ça m‘amuse qu’il en parle…-Vous les connaissez bien ?-On a fait deux ou trois échanges, moi elle me plait, elle est rigolote et nature, mais ne vole pas haut… C’est un bon coup, elle suce bien. -Lui est aussi bas de gamme je dirai. Mais il me baise bien, c’est pour ça qu’on est revenu avec eux…-Merci, ça veut dire que nous sommes à votre goût ? -Karine est très belle, plus que moi… Je connais un routier qui l’apprécierait si il est là…-Karine, tu vas suivre Maud. Nous on reste ici. Je veux que tu apprennes à monnayer tes faveurs, tu en es capable.-Bien maître, je le ferai…Maud se passe du rouge foncé, défait son décolleté, sa jupe étroite avec ses bas noirs sont aguicheurs, mais pas trop vulgaire. Par contre la robe longue de la banquière, Karine, son collier strict, son décolleté de mère de famille, et ses escarpins rouges, la classe…Elles nous quittent en discutant, je les suis du regard, Luc m’invite à descendre et je le suis…-Elles vont vers la queue, le coin le plus éloigné des commodités. Parfois les habituées vont dans les douches, il y a de la place. Nous rentrons sur le parking, il me dirige le long de la clôture. Nous pouvons les voir discuter avec un chauffeur…-C’est combien la passe ?-Bien 50 à 60 euros, plus si elles sont deux…Elles contournent le tracteur de la semi-remorque et montent dans la cabine, retroussant robe et jupe pour le plaisir des voyeurs…Cela dure un grand moment, je vois d’autres filles descendre des camions, ou passer devant, entrer dans les toilettes, des jeunes et des plus âgées…Au bout de près d’une demi-heure, je vois Maud descendre, puis Karine quelques longues secondes plus tard…Elles reviennent vers la zone, elles ne nous ont pas vus… Elles remontent alors vers le parking, du côté des toilettes. Elles parlent à un routier qui fumait au pied de son monstre…Il va vers un camion et parle au chauffeur, puis suit les filles dans le bâtiment.Je me dirige vers les WC, personne, mais j’entends du bruit dans les douches. Elles sont fermées de l’intérieur. Je vais aux toilettes, puis ressort. Un chauffeur se lave les mains au lavabo, puis se dirige vers les douches, un sac à la main.-Pardon, c’est escort marmaris réservé aux routiers ?-Non, pas du tout, mais nous nous en servons car elles sont chauffées, on est plus à l’aise que dans nos machines. Et les cabines sont communes ?-Non, elles sont vastes, mais pas publiques. Il faut payer ou avoir une carte pour ouvrir… Vous voulez entrer ?-Non, je fais un reportage sur la vie des routiers, je découvre seulement ces aménagements. Merci pour vos éclaircissements.-Oh, de rien, parfois il y a des femmes qui viennent se doucher aussi, des professionnelles, route ou putes qui se toilettent, on est entre pros alors c’est discret et on est plus à l’aise…-Oh, oui, je vois…Il remonte dans son camion, je reste un moment, puis retourne dans la voiture où Luc attend…-Elle m’a envoyé un SMS, elles sont avec quatre jeunes camionneurs allemands, Maud parle allemand, en bonne alsacienne…Bon, je pense qu’elles en ont pour un moment, je sors mon portable et regarde mes messages…Trois-quarts d’heure et revoilà nos princesses…Elles se dirigent vers nous…-Karine a fait fort ! Elle a battu mes records, on a fait deux passes, le premier nous a donné cent balles, ont était 2, Karine lui a dit 50 une 100 les deux, et ensemble aussi…-Puis quand on est descendues, il nous a dit d’aller dans les douches, des amis nous attendent… Cela tombait bien, des allemands et je le parle. Elle m’a dit de demander 200 et 300 si on se caresse ensemble aussi…On a eu 300… et on a fait l’amour toutes les deux devant eux sans qu’ils nous touchent… Puis deux chacune, ils nous ont tout fait… Ils nous ont déchirées…-Voilà maître, mes deux cents euros…-C’est bien ma soumise, tu apprends vite et bien… Tu es fatiguée ? Tu as eu une longue journée de sexe…-Oui, maître, je suis fatiguée. Je veux rentrer si vous le permettez…Nous disons aurevoir à nos comparses, échangeons nos portables et rentrons à l’hôtel. Il est près de deux heures.La nuit est douce, elle dort contre moi d’un sommeil profond…Au matin, je commande le petit déjeuner, et notre serveur arrive, chargé d’un magnifique plateau, avec des fleurs et des viennoiseries, des jus de fruit, du café, lait et thé.-Tu vas bien Chris ? Mon amie dort encore…-Oh, parfait, oui tout va bien…Il regarde du côté du lit…-Je n’ai pas le droit de commenter les clients… Mais elle est belle comme ça…-Tu aimerais t’allonger près d’elle, sentir sa chaleur, frôler sa peau ? Tu sais qu’Aline est venue, et qu’elle l’a appréciée…-Je sais elle m’en a parlé, pas en détail, elle était enchantée, presque un coup de foudre…-Déshabille-toi, je dirai que j’ai eu besoin de toi.-D’accord…Il se glisse sous les draps, nu, déjà bien membré dans l’idée de la prendre…Karine ouvre un œil, elle sent que quelque chose a changé, se redresse et reconnaît Chris…Elle se tourne et me voit assis à la table, avec mon ordinateur…-Karine, voici un cadeau, c’est Chris… Il t’a apporté des fleurs et du bon café… Tu peux le remercier…-Bien, maître. Je le fais…Il n’ose bouger, allongé sur le dos, elle s’est tournée vers lui, accoudée, ses seins dévoilés. Elle se penche sur lui et lui donne un baiser sur la bouche, rapide…-Merci Chris… Ces fleurs sont belles et sentent bon… Je suis heureuse de ce plateau, j’ai faim…-Merci madame…-Je suis Karine, tu le sais et tu peux me tutoyer. Je suis surprise de te trouver dans mon lit, nu… Oh, mais tu me désires… Tu es très tendu dis-moi… Je dois agir…-Oh !…Karine a passé sa main et saisi le sexe sous les draps. Elle le caresse… Il se détend… Elle se penche sur lui et le prend dans sa bouche… -Une bonne fellation du matin, ne peut que nous mettre en appétit…Elle monte sur lui, allongée, embrasse Chris de nouveau, ondule son bassin sur le sien… Elle semble aimer cela, il ouvre les yeux… La fixe…-C’est bon…-Prends-moi…Elle bouge, ondule, se tortille… Je vois sa langue sur ses lèvres, elle ferme les yeux…-Oui… viens !…Elle caresse ses cheveux, son visage, elle se pénètre lentement… Elle se tient à ses épaules pour mieux glisser sur lui et ouvrir ses cuisses pour le recevoir en elle, ses seins écrasés contre la poitrine glabre du jeune homme…-Oh, oui… Viens… Oui, comme ça… Aide-le… Oui, là… J’aime ton sexe qui arrive doucement dans le mien… Je suis à toi…Son bassin se relève et redescend, de plus en plus vite…-C’est bon… Tu aimes ?-Oh, oui… Mais trop, je vais jouir…-Non, attends…Elle s’arrête, se tourne sur le dos… Elle lui donne un long baiser, se sert un peu de café, et un biscuit, le mange devant lui. Puis elle boit un grand verre de jus d’oranges.Elle retire le drap, écarte ses cuisses et l’attire sur elle…Le jeune homme plonge dans son intimité, et il la possède avec ardeur, la portant à jouir…-Oh, oui… Oh !… Ouh !… Oui !… Prends-moi en levrette maintenant…Elle s’agenouille et relève ses fesses, la verge dressée disparaît rapidement, comme aspirée…-Oh, tu es gros, délicieux… Donne-moi du plaisir, viens…Je vois le sexe s’enfoncer, plonger au fond de son vagin… Elle délire son plaisir lorsqu’il accélère et la prend en cadence… Il la saisit par les hanches, la possédant à fond, rageur et possessif, la malmenant, elle se met à jouir intensément…-Oh, oui, tiens, ouvre-moi ton cul…Elle obéit… Se préparant rapidement…Il le fait et change d’orifice, pénétrant sa rondelle…Il y plonge son dard lentement, puis à fond, la faisant délirer de nouveau, jusqu’à un orgasme profond, avec des râles de louve…-Oui, je suis tienne, je suis ta chienne, je suis ta pute… Viens baise-moi, éclate-moi…Il accélère, et la perfore, avec de grands coups de reins rageurs… Il la fourre, la démonte, emportée par sa fougue et sa jeunesse… Il termine en prenant ses seins, elle s’écroule de plaisir, de sentir un nouvel orgasme l’emporter, s’offrant à lui, cuisses ouvertes. Il termine par un pilonnage en règle, elle gémit encore et encore, jusqu’à ce qu’il se tourne vers elle et lui tend sa bite, qui termine dans la bouche, en recueillant sa semence…-Oh que c’était bon Chris…-Tu es une trop belle femme pour moi… J’ai peur de devenir trop exigeant maintenant…-C’est gentil, mais tu es si jeune, prends ton temps, profite, tu vas en faire jouir d’autres aussi belles, plus jeunes, qui aimeront ton sexe autant que je viens d’en jouir…-Merci, je dois redescendre… A regrets…Il se rhabille en quelques secondes, me fait signe et s’enfuit…-Merci, maître pour ce beau cadeau, un jeune et gentil garçon, plein de sève… Ai-je été à la hauteur de ma tâche ?-Oui, tu l’as été… Tu deviens joueuse, tu commences à aimer le sexe pour le sexe, te donner, prendre, jouir dans l’instant, sans calcul… Tu deviens une femme, une vraie… Jeune et belle femme avec ses rêves, ses peurs, sa folie. Tu as été parfaite et tu as atteint ce que je voulais te faire découvrir… On ira plus loin demain. Aujourd’hui, nous serons en vacances tous les deux, je vais te câliner, shopping, détente, soins du corps, tu as besoin de calme et régénérer ce corps si parfait…-Merci maître…-Plus de maître aujourd’hui, je suis Marc, ton ami, et je t’emmène en thalasso ce matin on a rendez-vous vers 10h. Après-midi, shopping après une courte sieste. Ce soir tu choisiras…-Oh, tu me gâtes Marc… J’adore tes attentions… Comment j’ai pu croire que tous les hommes ressemblaient au mien ? Je ne regardais pas autour de moi, ignorais cette vie de plaisirs sensuels… J’ai raté sans doute plein d’occasions… Comme ma tante déjà… J’aimerais lui parler, savoir ce qu’elle voulait, si elle me désirait…-Appelle-la…-Je ne l’ai pas revue… Elle doit avoir dans les cinquante…Elle regarde son téléphone, le prend en main…-Allo ? C’est moi, Karine, bonjour… Oui, je vais bien, je voulais te parler… Non, ça va… Ah, oui, merci… Oui, il va bien… Ah, c’est compliqué, il… Oui… Depuis 1 semaine, oui, c’est tout frais… Non, on n’habite plus ensemble… Je ne sais pas encore, je n’ai pas fait de démarche… Oui, en fait je repensais à mon enfance, mon adolescence. Ma mère et mon père m’ont trop montré le droit chemin… Tu le sais sans doute, j’étais vierge… Je n’ai jamais évolué… L’autre jour j’ai repensé à toi, à une nuit surtout… Ah, tu t’en souviens aussi… J’aurais dû apprendre avec toi… Quelle nunuche j’ai été… Ah, tu attendais un signe… Tu vois… Oui, maintenant j’ai mûri… Oui, j’aime ça… Non pour l’instant je suis seule, mon fils est chez mes parents… Oh, je passe la semaine en vacances, dans un hôtel de la côte, je me repose, drague, me fais plaisir, pleins de plaisir pour l’oublier… Oui, surprise, oui, je l’ai faite parler, elle était si surprisse de mon appel, elle n’a su que dire la vérité… Ah, il te plaisait, bien il est libre… Et toi, ça va ? Ah aussi ! Passe me voir si tu veux, oui, ce dimanche d’accord…J’ai saisi l’essentiel… Sa tante avait fantasmé… Elle est en train de divorcer aussi, et justement elle s’ennuie un peu, et les distractions sont rares dans son trou (sans jeu de mots…), petit village dans les montagnes de Lozère, ça lui fera du bien de s’éclater avec moi…Dimanche sera la dernière étape de mon initiation…-Elle vient samedi, on passera le week-end avec toi, j’aimerais que tu la juges… Et si tu veux, comme elle est de ton âge et est bien foutue, Kdo pour mon maître… -C’est gentil de penser à moi… Allez, viens on va se faire dorloter…La matinée est délicieuse, Karine se régale, SPA, bains, massages, douches…Je reste à la piscine, juste un massage du dos avec un homme des îles… J’ai pensé qu’il pourrait… Mais je suis en stand-by aujourd’hui… Dan sera libre demain…Nous dînons d’une salade sur le port, puis je la conduis en ville. Elle m’entraîne en riant vers les boutiques, 3 heures de marche, juste un demi en l’attendant pour un choix crucial, un nouveau maillot de bain…Elle ressort au bout d’une demi-heure… Il est rikiki… Osé, encore plus que les précédents. Elle a trouvé un short craquant aussi, des tops pour l’été, « see, sex and sun »…-Je veux m’éclater cet été. Faire bander les mecs que je croise et qui regardent mes seins à travers le tissu ou dans mon décolleté. Certains à l’agence ne se gênent pas… Je n’ai jamais accordé la moindre attention à ces malades…-Pourtant, ils ne font que regarder la marchandise, elle est belle et ils l’apprécient…-Je préfère être appréciée pour mon esprit, mon talent de négociatrice, mon intelligence. A la limite, ma robe, ou mes yeux ravageurs…Elle est belle, elle est heureuse… Qu’est-ce qu’elle a changé depuis quelques jours… Je la sens sûre d’elle, plus femelle, sensuelle, craquante et le sachant maintenant…Nous rentrons les bras chargés de paquets, elle rayonne…Pendant qu’elle range, je fais un point.Demain soir au club, nous serons vendredi et nous terminerons par une immersion dans le monde de l’échange, de la pluralité, de la soumission, et plus si elle le veux.Samedi sa tante sera là, elle la recevra sans doute chez elle, je resterai ici, seul… Je vais lui demander si elle veut revoir un point particulier, revivre une sensation, choisir elle-même.Lovée contre moi, elle me remercie pour cette journée merveilleuse, avec Chris, puis la détente, les soins de la peau, une mise en forme, elle s’est sentie régénérée…Puis ce tour en ville, parfait, avec des surprises… Je lui donne un petit paquet… Elle a les larmes aux yeux, lorsqu’elle l’ouvre…Un petit bijou corporel qu’elle peut fixer où bon lui semble, à commencer par un pendentif. -Je sais où je le mettrai lorsque tu retourneras avec ta femme, et que tu m’oublieras…-Tu crois que je peux t’oublier ?-Oui… Tu es si généreux, je ne suis qu’une passade, une femme en divorce, nunuche, que tu aides à se sortir seule des griffes de sa future solitude, et des tourments de sa libido en lui donnant les clés du sexe… -Je serai toujours là pour toi Karine, tu le sais.-Je faisais le point justement sur les trois jours qui nous restent. Ce soir on peut rester tranquilles ou refaire quelque chose que tu as aimé.-Demain, le club libertin, immersion en eaux troubles. Sexe à gogo. Samedi tu reçois ta tante, chez toi ? Samedi soir ?-Bon pour tout, mais non, pas chez moi… Oh juste pour dormir, tu as raison. Samedi soir seules ? Tu pourrais nous accompagner en boîte, lui montrer ce que je sais faire…Je me vois la recevoir chez moi, puis aller au resto avec toi… L’emmener à l’hôtel avec nous…-Je prends une chambre ?-Ou on change pour une plus grande, avec deux grands lits ?-Je demande, OK… On fait comme ça. Je vous invite au restau le soir, tu l’auras reçue dans l’après-midi, 21 heures pour le repas que je retiens, au Casino, tiens !…-Oh, quel bonheur de te connaître… Tu es si attentionné… C’est parfait… Et nous irons danser avant une nuit de folies dans notre grande chambre…Je descends et demande la meilleure solution, une personne non prévue, de passage pour une nuit… Il me conseille en ayant jeté un œil au registre. Je vous propose d’agrandir la vôtre. Pas de déménagement, deux chambres attenantes… C’est magique !…-Nous sommes magiques… Elle a apprécié notre personnel ?-Parfait, un trésor… Gardez-le ce jeune, il mérite… Quant à Aline, elle a connu ses premières pulsions lesbiennes…Il me sourit, aurait sans doute bien voulu savoir qui allait se joindre à nous… Homme ? Femme ? Couple ?Je remonte… Je la trouve presque en pleurs…-Il a insisté, il veut notre fils pour la seconde partie des vacances… Il le prendra chez nous dimanche soir… Tu seras reparti, ma tante aussi, je serai seule… Il faudra que j’aille le récupérer l’après-midi… Le revoir ne m’enchante pas…-Cela veut dire que tu es libre toute la semaine prochaine ?-Heu… Non, je n’ai pris qu’une semaine… Pourquoi tu me veux encore ?-Je peux si je veux… je vais prendre la température au bureau. Chez moi aussi…-Rentre dimanche soir, ça lui fera plaisir. Reviens que mardi, j’aurai lundi à moi comme cela… Je vais aussi dire que je ne suis pas bien, voir un médecin pour me mettre en arrêt de travail… Super ! Oui… Chéri on va s’aimer alors toute une grande semaine ? Terminée la phase de formation, je passe à l’action avec toi ? Tu me feras l’amour enfin ?-Je… Si tu es prête, si tu m’obéis et si tes amants et amantes sont contents… D’ailleurs je voulais te dire… Est-ce que tu aimerais refaire un des exercices ? Améliorer, ou essayer un fantasme que tu aurais ? Vivre une nouvelle aventure, un autre contexte ? -Je ne sais pas, mais je pense à plusieurs choses. Demain soir je vais rencontrer des hommes et des femmes dans un contexte spécial. D’autres plaisirs m’attendent, d’autres choix, des rapports entre gens différents… Je verrai après… D’abord je vais essayer mon petit cadeau, sur moi… Dans des endroits secrets, pour que je puisse l’emporter et penser à toi tout le temps…-Tu ne m’as rien raconté de ta nuit avec les routiers… C’était trop… Maud est une douce salope qui baise tout ce qui bouge… Elle a commencé par moi, son copain nous a regardé, il a pris des photos en plans serrés pour ne pas nous reconnaître, on les a visionnées ensuite. Il nous a baisé l’une après l’autre, car la couchette est petite dans son machin… Ensuite ce fut les 4 allemands dans les douches… Facile, une récréation de se laisser caresser, de se caresser devant eux, puis de leur offrir nos chattes… Ils se sont branlé, masturbé à outrance, tandis que deux nous prenaient sur une chaise… Nous caressions les deux autres, jusqu’à changer de partenaires… Maud en a eu quatre sur elle, deux dans ses mains, et deux en même temps, un derrière et un devant… Elle jouissait comme une bête, dégoulinait de sperme… Ils ont fait pareil avec moi… Elle les a aidés à me prendre en continuant avec les deux autres… C’était dément, un jeu sans saveur, mais intense dans les pénétrations. Bof, je n’ai pas aimé… J’aime la sensualité… J’aime quand Chris me pénètre, m’ouvre, se glisse tendrement en moi, me fait jouir tendrement, me possède entièrement, je sens son émoi, il sent mon plaisir, et je me donne à lui… On partage, je suis en accord parfait, comme je veux l’être avec toi…-Et Maud, tu aimerais les revoir ?-Je n’ai pas eu Luc… Mais elle vaut le détour, tu aimerais, elle est particulière comme femme… Directe et elle aime se faire baiser… Ah, et elle est très sonore !… Pour moi, elle a été nature, comme il faut, caresses, échanges, 69, sexe contre sexe, j’ai joui comme avec Aline… Elle suce bien, elle lèche tout…Nous passons une soirée tranquille, sur le port, repas simple, et promenade digestive. Assis sur un banc face au port, nous refaisons un point. Elle préfère rentrer dormir ce soir, demain matin, elle propose encore des soins, elle a adoré se laisser peloter par une jeune métisse…J’appelle Aline et lui demande de venir demain matin nous apporter le petit déjeuner à la place de Chris…Karine est aux anges, même bouquet et même cadeau au réveil… Elles font l’amour tendrement, Aline me sourit souvent, Karine est de plus en plus entreprenante, n’a plus de retenue et la conduit au plaisir, orgasme magique, la jeune femme s’écroule, ivre de caresses…-Marc, Karine n’a plus rien d’une débutante… Elle m’a vidée… Quelle passion, quel délire, elle est parfaite… J’aimerais être sa coloc…-Pourquoi pas, elle va être seule dans quelques jours…Karine a entendu…-Oh, oui… Je suis bien avec toi, Aline, on se comprend, oui, viens chez moi, un week-end, je t’appelle dès que je suis tranquille et de plus, je pourrai garder mon fils avec moi, si cela ne te gène pas…-Non, pas du tout, il a quel âge ?-11 ans…Nous nous retrouvons au club Thalasso, je reprends un massage, et tombe avec mon copain…Il me torture une demi-heure, je sors et retourne à l’accueil. Karine est en traitement de nettoyage de la peau, encore pour 1 heure… Bof, je sors et vais sur la jetée regarder rentrer les pêcheurs…-Oh, patron… -Rebonjour, Dan, tu fais quoi, j’attends mon amie Karine ?-Oh, je vais chez moi manger un peu, je ne travaille que vers 17 heures et encore…-Vient manger avec nous, je t’invite…-Oh, je…-Viens je te dis, j’ai besoin de toi… On ira à notre hôtel, je te donnerai le numéro de la chambre. Tu remercieras Karine pour ce repas, je dirai que tu nous a invité…-Vous voulez que je le fasse avec votre amie ?-Oui, c’est un jeu, je veux lui faire connaître un beau sexe… Et j’ai vu que tu n’étais pas mal…-Oh, côté bambou, oui… Je suis bien… Et ça ne vous fait rien ?-Non, je serai sur le balcon, si cela ne va pas, mais elle est en formation et ce n’est pas la première fois que je lui offre un homme ou une femme…-Tu devrais venir vivre au pays…-Appelle-moi Marc… Bon d’accord ? Tu es marié ?-Je l’étais, mais tu sais, nous ça va et ça vient les maris, les femmes… Bah…-Tu aimes le sexe…-Demande-moi si j’aime l’alcool, les voitures, les filles… Marc allons !…-Je vais lui faire découvrir un sexe de couleur !… Tu vas l’entendre crier de plaisir, je vais prendre du bois-bandé !-Donnes m’en aussi, j’en aurai besoin…Le repas est super, poisson, glace, café, Karine est aux anges de voir un nouveau copain… Elle doit se douter de ce qui va arriver, elle me regarde souvent…On se sépare comme convenu, et nous rentrons à l’hôtel…Elle se jette sur le lit !-Mon dieu, j’ai bien mangé, ce restaurant est super et pas trop cher, bon, et ton copain n’a pas arrêté de me regarder…-Il te plait ?-Il est super, j’adore leur mentalité, calme, tranquille, rien ne les dérange et ils aiment tout, la musique, la vie, la nature, les gens…-Ils aiment l’amour aussi, ils ont de quoi souvent…-Oh, Marc, je vais rougir…J’entends un toc-toc discret…-Oh, Dan… Entre, oui… Ah tu m’a apporté ce que je t’ai demandé… Karine est dans la salle de bains…-Karine c’est Dan, je lui ai commandé une poudre de son pays, le Cameroun…-J’arrive !La voilà, elle a passé une robe courte, et est restée pieds nus…-Karine, je voulais que tu obéisses à cet ordre… Dan est pour toi… Il faut le remercier pour le repas et ce cadeau de son pays…. Je te laisse le faire…-Bien maître je vais le remercier à la hauteur de son geste….Je me retire discrètement sur le balcon, mon ordinateur attend… La caméra que j’ai couplée fonctionne et je vois bien lorsqu’elle se love contre sa poitrine et se lève sur la pointe des pieds pour lui donner un baiser…-Merci, Dan, tu es gentil…-Toi tu es belle…-Tu me veux ?-Oui… Tu me plais beaucoup…Elle se love contre lui et relève sa tête, il est grand et large… Elle lui donne un long baiser, moins guindé que le premier… Il la serre contre sa poitrine…Puis lui rend le baiser, la dévore, la serre dans ses bras, plaque ses mains sur les seins… Elle devient plume…Elle dégrafe sa robe qui tombe à terre, il découvre le corps doré par les soins de ses collègues, en culotte et soutien-gorge…-Oh, oui… Tu aimes…Elle retire tout, et glisse une main vers le pantalon… Il l’aide, le pantalon s’affale… La chemisette le suit…Le slip est distendu… Ses mains massent les seins, elle bombe le torse, il goûte les tétons, elle est montée sur le lit pour les lui offrir… Le slip descend… Karine regarde…-Dieu !-Dieu m’a gâté… Tu vas aimer…Elle se baisse et prend le membre dans sa main… Puis elle le met dans sa bouche, et glisse ses lèvres… Elle l’enfonce à fond… Il n’est que à moitié entré… Alors elle y met ses deux mains, et le suce, le lèche, le salive, se l’enfonce dans la gorge, revient le sucer… Elle a ouvert ses cuisses et il la caresse avec délicatesse, lentement, d’une main ferme…Les deux mains noires glissent sur la peau blanche, elle a abandonné la chose pour profiter de ses caresses, se cambre en arrière, s’ouvre… Les mains reviennent sur les seins, il lui suce les tétons, les savoure, les titille, son membre est énorme, un bâton, il continue à caresser sa chatte, salivant les râles qui commencent à poindre…Il la soulève et l’empale…-Oh ! Ouiiiiii !…..Il l’allonge au milieu du lit, ouvre ses cuisses et découvre l’intimité merveilleuse de Karine…Il s’en délecte, léchant abondement avec une langue démesurée, puis glissant ses doigts, tournoyant sur son clitoris détrempé de désir, énorme, elle se donne… l’attire sur elle, le veut, elle est folle !…-Viens, prends-moi…Il écarte les cuisses, ouvre les genoux, dégage son intimité, salive de désir ce nid douillet…Elle se soulève, il vient à sa porte…-Oh, oui… Viens !Le gland avance lentement, passe, s’enfonce… Le membre glisse, elle ne bouge plus, respire fort…-Oh, oui… Encore…Ses lèvres sont distendues autour du pénis qui entre toujours millimètre par millimètre, i est doux, tendre, il la berce, l’accompagne, veille à ce qu’elle ne souffre pas…-Ca va ?-Oh, oui… Tu peux encore… J’ai eu un enfant… Là… Oui…Il s’écrase sur elle, la prenant pleinement… Il reste à la posséder sans bouger la laissant se détendre…C’est quand il bouge de nouveau, sort et rentre, qu’elle explose son orgasme, tétanisée…-Oh, oui !… Oh… Ah…. Oui !…Ecartelée sous le joug de son amant, elle monte vers le 7ème ciel, il la possède doucement, jouissant de cette magnifique jeune femme, la portant vers des orgasmes divins où elle s’exprime avec force et véhémence… Il la caresse, caresse ses seins, tout en continuant ses efforts…Puis il la tourne et plonge son dard dans sa chatte béante, ouverte, dégoulinante de mouille…Elle s’écartèle, se donne avec passion, il la baise avec force, la lutinant sans arrêt, bourrant son sexe, pour d’autres orgasmes puissants…Elle sue de tout son être, de peur, de se donner, de se contorsionner, elle le chevauche maintenant, les cuisses ouvertes, se délectant du membre qu’elle aspire en elle…Elle allait changer de place, se laisser reprendre…-Attends, prends-moi sauvage…-Sodo ?-Oui, essaie, je veux te sentir en moi…Il la prépare, la salive, ouvre son anus doucement, lentement, glisse ses doigts… Puis son sexe se positionne, elle se contracte, puis s’ouvre, attendant le moment. Le gland avance, encore, il pousse, le gland est passé… Le sexe glisse, elle est trempée… Il la prend lentement, s’arrête et repart… Jusqu’au bout…-Oh, oui… c’est du costaud… Mais tu es doux, tendre… Allez, prends mon cul, baise-moi… Défonce mon derrière… Je veux jouir, la sentir me remplir…Elle se prépare écartant ses fesses, il la défonce… De grands élans de bassin, des chocs fesses contre fesses, parfois ses testicules arrivent aux portes de ses fesses…Elle délire, jouit, se déchaîne, s’offre, ouvre ses cuisses, il fulmine et continue à la voir se tordre pour le recevoir… Il va au bout, la retenant par les hanches, la griffant… Elle se laisse emporter enfin, criant son délire, épuisée, à bout, il se lâche en elle, un rictus aux lèvres, sa façon de jouir…Ils retombent tous les deux, dans les bras l’un de l’autre, repus de caresse… Il se lève et vient me voir, déjà rhabillé…-Merci, elle est sublime… ; garde-la, ou je te la vole… Elle a adoré… je crois… Elle a bien sucé… Oui, c’est une femme comme je les aime, de la volonté, elle s’offre, elle prend sans rechigner à l’ouvrage… Elle une classe de folie… Qu’est-ce qu’elle est belle… Merci patron… Elle aime faire le sexe, tu dois te régaler…-On risque de revenir la semaine prochaine, tu seras là ?-Ben ouais… Sans souci, je peux t’aider encore…Il referme la porte, après avoir noté son numéro. Je vais la voir, elle dort… Il est 17 heures…Nous nous habillons vers 19 heures, elle a dormi, reposée, belle avec de nouvelles étoiles dans les yeux…Le port nous accueille, nous retournons à la pizzeria, elle en a envie…Nos amis d’un soir ne sont pas là, Luc et Maud…La pizza est délicieuse, copieuse et le feu de bois sublime les saveurs de ce plat de terroir…Nous nous promenons sur les quais, l’air est plus doux, le printemps s’installe enfin.Elle parle de sa tante, encore un jour et elle la retrouvera. Elle le désire mais a peur de la retrouver, le temps a passé, les souvenirs envolés, les passions aussi…-Marc ?-Oui ?-Tu resteras mon ami quoique je décide pour mon avenir conjugal ?-Oh, tu l’étais dans mes rêves, je suis allée te chercher sur ce marché de printemps. Lorsque je t’ai vue, j’ai eu envie de toi….-Mais alors, fais-moi l’amour maintenant, je ne pense qu’à ça, qu’à toi… Nous sommes pratiquement amants, je t’ai fait jouir, tu me regardes jouir, tu m‘as caressée, embrassée…-Tu sauras lorsque je serais prêt, je veux que cet instant soit magique pour toi et pour moi. Il te faut encore quelques leçons, celle-ci en est une. Patienter, attendre, désirer. Nous avons flirté oui, été très proches, très tendres, intimes. Il manque la cerise sur le gâteau, oui, je sais… Attends, elle va arriver… Mais c’est bien tu vois. Maintenant tu désires un homme autre que ton mari, pour la première fois de ta vie de femme, le sexe prend une importance pour toi… A en rêver… Avec tout ce que tu as vécu ces jours, ta féminité s’exprime, te taraude, car maintenant tu connais l’après, tu n’as plus peur des démons, tu sais jouir, te faire jouir, et faire jouir, homme ou femme… Le plaisir est partout, à chaque instant il peut venir de titiller, te donner envie de le cueillir à peines dent… Tu es si jeune encore… Mors dans la pomme… Des larmes coulent sur sa joue…-J’ai perdu mon innocence alors ? Je ramène tout au sexe maintenant ?-Non, tu vis avec, parfois seulement il viendra comme te charmer… Tu auras envie, besoin d’un rapport sexuel pour le calmer… Il n’aura de cesse de s’imposer jusqu’à ce que tu craques… Tu feras l’amour, dans des conditions saugrenues, dans l’urgence, dans la complicité, parfois juste debout contre un arbre, un mur… Tu vivras en femme libre, sans aucune contrainte, sans morale, ou du moins sans question sur la morale de ce que tu feras… Oui, tu auras une ligne rouge, oui, tu penseras… Personne ne te jugera, ni n’aura le droit de te juger…. Infidèle, lesbienne, vicieuse, experte, cougar, nymphomane, obsédée, tu seras libre d’aimer, tout, sans complexe…-Ca me fait du bien ce que tu me dis… J’enfouis, j’explose ce qui me minait… Cette morale de catholique, ces principes archaïques, mon moi qui m’empêchait de regarder les hommes en dessous de la ceinture, comme ils le font eux, sur nos fesses, dans notre décolleté, et bien pire parfois… Mais j’aime me montrer à toi, j’aime quand tu me regardes jouir avec telle ou tel partenaire… Je sais que ça te fait mal d’un côté, mais que c’est pour moi… Quand j’aurais été à toi, quand tu m’auras fait l’amour, je serai délivrée complétement, je n’aurais plus de limite ce jour-là…-Avec Dan tu as joui particulièrement, tu as dépassé bien des choses…-Oui… Dan m’a ouverte au propre et au figuré… Il fait le sexe naturellement, c’est sa religion, il est paré pour le faire, et n’a que peu de limites avec les femmes, il les utilise pour son plaisir…. Je n’aime pas tout en lui, je prends cette jouissance atteinte, non comme une référence, car le ressenti est moral, mais comme une étape. J’ai apprécié la tendresse d’Aline, la douceur de Chris, la verdeur des routiers, la décontraction de Maud, sa générosité, et Luc, son cerbère et mes premiers pas dans les dunes avec Hans et Magrit libertins et voyeurs, Jean, notre hôtelier butineur…Aline doit nous attendre dans sa voiture devant le club…Nous entrons ensemble, elle nous guide dans les possibilités offertes par ce club select et réputé près du Cap d’Agde, haut lieu de la mixité, du naturisme, des délires…La première étape, se mêler aux badauds, une salle immense de danse, avec des tables, des espaces plus discrets, une estrade, de la musique, des couples qui se font et se défont, puis se refonds ailleurs, dans des pièces dédiées aux échanges à 2 couples, ou plus, au choix. Puis des salles obscures qui donnent par d’immenses baies, sur les espaces privés, où l’on peut rêver devant des corps enchevêtrés, des couples en actions, femmes et hommes, enlacés, se sachant observés, se mettant à nu devant des salles de voyeurs… On peut trouver son maître, son esclave, se faire fesser, humilier, attacher, et plus…Vestiaire, on reste habillés simplement, il fait chaud… Aline se glisse sur la piste, parle à deux copines, on aperçoit Chris, s’agitant sur la piste… Un autre jeune homme lui parle, ils rient, se détendent, Karine n’en perd pas une miette et ses yeux scrutent l’obscurité. Aline danse devant moi, ses deux amies nous ont rejoint, Chris nous aperçoit…Ce n’est pas trop ma tasse de thé, je dis à Karine d’être sage pour l’instant de se mettre dans l’ambiance, de me donner de ses nouvelles si elle change de pièce…Je commande un whisky, puis cherche un coin calme…Je croise Maud qui me reconnaît… Elle danse avec Gaby, le responsable de l’hôtel, celui des dunes…Je continue, il fait plus sombre vers les canapés, où des formes se mélanges, s’abandonnent, couples mixtes ou couples homo, il y a de tout…J’aperçois Magrit, elle est belle habillée, enfin à la limite car son partenaire l’embrasse et la caresse à outrance… Je m’assieds, pas très loin, et suis rejoint par Maud… Excessive en tout…Ses amies sont assises près de moi… Elle m’y invite…-Tu es seul ?-Non, avec deux amies, Karine et Aline…-Oh, il faut les faire venir, on va entrer dans les studios…-Je te présente Mireille et Cindy, deux copines…Je les salue, elles m’invitent à danser et par correction je les suis… Maud danse avec Cindy, Mireille se met face à moi, s’agite, agite ses seins, elle doit avoir dans les quarante ans… Encore belle, grande, blonde, svelte, pas d’alliance, je pense qu’ici, ce n’est pas de mise, quoique… Des couples cherchent des couples…Au bout d’un moment, un morceau tendre, doux… Mireille vient contre moi, je suis électrifié.Elle est douce, sa voix est cristalline, elle se présente… Femme simple, mariée puis divorcée, des enfants qui ont grandi, elle vit seule avec parfois un amant qui reste le temps d’une saison… Elle aime cette vie, elle sort avec Maud et Luc, les suit dans leurs délires, elle aime la vie, la pimente par des aventures… Elle est serveuse, appréciée et fait des extras souvent pour les mariages, les communions, etc… Elle aimerait monter un camion, food-truck pour faire les plages l’été. Elle cherche un prince arabe pour le financement… Elle est gaie, riante, ressemble un peu à Maud… Elle écrase ses seins contre moi, j’ai dit trois mots, mais Maud lui avait dit le reste…-Ton amie soumise n’est pas là ?-Elle ouvre ses ailes, j’ai terminé son accompagnement sur les rives de la sexualité…-Elle était si naïve ?-Assez, à l’ancienne, mariée, enfant, travail, responsabilité, pas de temps pour autre chose que son travail et son foyer, et puis le vide, divorce annoncé, il est allé voir si l’herbe est plus verte ailleurs …-Et la gazon mieux tondu… je connais…Ses lèvres ne tardent pas à chercher les miennes et ses mains à tâter sous ma ceinture…-Caresse-moi, j’aime flirter avant… Debout en dansant ça m’excite…Ses reins, ses fesses, ses épaules, puis mes mains se perdent sur la poitrine… Elle est fournie, apaisante, douce… Elle se love contre moi. Elle mordille, son ventre contre le mien demande plus de contacts…-Je ne te plais pas ?-Si, mais je suis à l’ancienne, un vrai diesel…-Suis-moi, on va s’isoler…Elle m’entraîne au fond, il fait très sombre… Deux places, elle se penche vers une des 2 filles très dénudées qui occupent la banquette entière… -On peut venir, je suis avec lui… pour l’instant…-Oui, venez, plus on est de fous…Elles s’écartent et nous laissent de quoi nous poser…Sa bouche revient, ses mains aussi, elle ouvre son chemisier et m’offre ses rondeurs…-Oh oui… Prends-les, j’aime, ils sont sensibles, j’en jouis très vite…Elle monte sur moi, se frotte contre moi, me mains passent sous la jupe, elle n’a rien…-C’est plus vite parfois, entre deux portes ou dans les WC…Je sens sa moiteur, elle commence à couler et mes mains vont et viennent entre sa poitrine et sa chatte ouverte et béante qui traduit son désir…-Oh, oui… caresse-moi… Fais-moi jouir lentement…Elle a sorti mon dard, dardé outre mesure… Sa main s’agite, un peu trop vite à mon goût…-Du calme ma belle, je suis chaud, il me faut prendre ma vitesse de croisière et ne pas risquer un accident…-Excuse, je jouissais, tu sais y faire coquin… Oui !… Oh… Ses seins sont libres et basculent en rythme, elle a ouvert ses cuisses sans pudeur, sa robe retroussée sur ses hanches… Ma main s’emploie à découvrir sa féminité et mes doigts à l’honorer…-Je le sens se donner, s’ouvrir, geindre…Les femmes à côté en sont au même point, se masturbant en commun… Elles s’embrassent à pleine bouche, j’aperçois deux seins magnifiques qui se soulèvent trahissant une jouissance contenue…Mireille en profite pour gémir de plus belle, mon doigt est entré dans sa grotte…Elle ondule son ventre…Mon alter-ego femelle me sourit et ferme mes eux de plaisir en s’abandonnant à son amante…J’ai trouvé le point G… Elle délire des mots tendres, des onomatopées, se caresse les seins vivement, s’ouvrant encore plus….-Prends-moi… je jouis…Elle se redresse s’assied à califourchon sur moi, en se pénétrant vivement… Fièrement dressée, se tenant au dossier dans mon dos, elle se balance en cadence, profitant de ma verge qui la pourfend…-Oh, oui, chéri, c’est bon… Encore…Les femmes nous regardent en se tournant vers nous, en offrant une vue magique de leurs intimités…-S’il en reste, on est preneuses…-Venez avec nous dans un salon, c’est plus intime… ca y est j’ai joui… le coquin a des ressources… Je vous le prête… Je vais demander un salon pour six…Elles viennent m’encadrer, la première se penche sur moi, et sa bouche devient vorace… La seconde m’embrasse tendrement, m’offre ses seins, que je masse, puis pince les bouts déjà fortement érigés…-Et doucement, pas tout pour toi…Sa copine lui laisse la place, et sa bouche vient engouffrer mon vit…Ses lèvres douces glissent, ma hampe est dégoulinante de mouille, et de salive, préparée pour un assaut imminent…Les deux seins de son amie, viennent à ma hauteur et je peux lécher à loisir, titiller, pincer…La blonde ouvre ses cuisses, monte sur moi comme Maud et s’empale…Elle pousse un petit cri lorsqu’elle se sent pénétrée jusqu’au bout…-Oh… Oui… Laisse-moi y goûter à ta bite, doucement, je veux jouir…L’autre se masturbe, écartelée devant moi, impatiente, elle caresse son amie, et me fait goûter ses doigts…-Elle est bonne tu sais…J’avance ma main et investit sa chatte, elle la prend, mes doigts s’enfoncent, elle crie…Je la masturbe, connaissant son point G, et elle s’envole dans des gémissements aériens…Elles jouissent toutes les deux, la première s’empale en cadence, puis change d’orifice, en se tournant…-Oh, oui… Tu es magique toi… ta bite est si longue, mon cul s’affole… Elle ouvre sa chatte et son amie entre sa main entière dans son vagin… Elle a un orgasme dément, bouge en tous sens, elle gicle de plaisir, expulsant sa fontaine…-Son amie cherche à goûter le liquide en se masturbant à outrance avec ma main dans son anus…Maud est devant nous, interdite devant le tableau, elle s’agenouille et vient parfaire l’état des deux princesses, en train de jouir et c’est un feu d’artifice, nous terminons les deux filles chatte contre chatte, en ciseau, sur le canapé, et nous, Maud, sodomisée par mon dard, se balançant, accrochée et criant son plaisir quand les deux filles viennent l’encadrer et la conduire à l’extase finale, multipliant les caresses, les sucions et les baisers… Le silence revient, elles se sont calmées… Je n’ai pas joui… Le bois bandé de Dan est extraordinaire…Maud parle avec nos voisines…-Elles veulent marmaris escort bayan nous revoir, enfin surtout toi, j’ai l’impression…-Dis-leur dans une heure et demie… Ici… Je dois retourner avec mes amies…Je cherche Karine et Aline… Mais ce fatras de corps, sur la piste et assis, enfin allongés plutôt car la nuit allant, les choses se précisent…Je rencontre Dan !… -Ca alors, mon copain africain !…-Oh, ta chérie m’a émoustillé, je suis venu tâter de la chatte… Karine est par là ?-Je pense, avec une fille de l’hôtel, Aline.-Oh, Aline vient parfois se détendre. Elle aime les filles. Tiens, il y a son copain Chris, là-bas… Oh, mais il est avec ton amie…Je m’approche et effectivement, le trouve Aline et Karine, avec Luc et Chris…-Luc, je viens de voir ta femme… Maud…-Oh, oui, elle papillonne ici… J’ai rencontré ces demoiselles…-Tu as bien fait… Ici on est là pour se faire du bien… C’est la liberté sexuelle…-Oh, oui…Karine me regarde…-Tu n’es pas fâché ?-Pas du tout, tu es libre maintenant…-J’ai aimé… J’ai rencontré Chris, on a dansé et quand on est allé s’asseoir, il y avait Luc avec une fille. Il m’a reconnue… On a décidé de rester tous les 4, avec Aline, dans un studio…-Cela t’a plu ?-Oh, oui, être prise en sandwich… Ils étaient tous les trois sur moi, j’ai joui de partout. Luc est bien membré tu sais, pas comme Dan, mais presque…-Au fait, Dan est ici aussi…-Non ? Oh… Pourquoi pas ?…-Aline, tu connais Dan ? Il travaille à la Thalasso.-Un grand black ?-Oui…-De visu, je suis allée me faire masser, c’est souvent lui l’hiver…-Tu n’as fait que ça ?-Heu… Non… J’ai essayé la boue…-Non, je disais avec lui…-Oh, tu es curieuse. Pas encore, tu sais que je préfère les filles…-Et si on se le faisait toutes les deux ? Bon, je le cherche, vas-y toi aussi.-On a rendez-vous dans une heure maintenant avec deux jeunes femmes bien sous tous rapports, des amies de Maud, des buveuses de sang…-Lesbiennes ?-Pas que, oui…-Miam-miam…Nous buvons du champagne, offert par Luc… Maud réapparaît…-Oh tes copines m’ont éreintée… Qu’est-ce que cela va être en salon…-On va avoir du choix, un grand salon, Toi, Karine, Aline, les deux filles, Dan, Luc, Chris et moi…-Les filles, amenez Dan avec nous tout à l’heure, il aura de quoi…Aline m’entraîne sur la piste…-Karine a assuré… Elle a voulu qu’on aille en studio avec nos deux mecs… Super héros… Chris je le connais, on baise parfois, mais l’autre, un tank et sa femme il paraît qu’elle assure… Oui, Karine s’est éclatée, libérée, seule avec moi, puis ils sont venus nous prendre chacune, puis ils se sont rués sur elle, lui ont tout fait, devant, derrière, ensemble, elle suffoquait, je la surveillais et l’aidais… Chris est très gentil, il m’a présentée une femme, superbe, elle est sortie téléphoner, mais elle revient… Il l’a connue à l’hôtel, arrivée cet aprem, elle voulait s’éclater…-Amène-la avec nous…-Oh oui…Elle se serre contre moi, me caresse, m’embrasse, m’entraîne…On est dans un petit salon, il y a de la place, on prend un canapé libre… Dans la pénombre elle retire son T-Shirt, sa jupe… Et elle vient défaire mon pantalon…-J’en ai envie depuis… J’en ai rêvé…-Tu ne veux pas Karine aussi ?-Non, c’est toi seul maintenant que je veux…A côté ça gémit, ça grogne, ça se tord, ça parle doucement, ça jouit…Elle me suce avec application et douceur, je me laisse persuader…Elle se tourne et m’offre son intimité, nous entamons un 69 discret, mais efficace, elle gémit, moi aussi…Elle est trempée, je caresse, la pénètre d’un doigt… Je trouve son point G, elle s’envole…-Oh, tu es coquin Marc… J’aime ça qu’on me propulse…Elle se glisse sur moi et se pénètre… Pas besoin de préliminaires, elle est trempée, ça rentre et sort direct, elle sait y faire et se déchaîne, s’explose le sexe sur ma bite, jouit d’un coup…-Oh, que tu es bon… je m’en doutais… Pourquoi tu ne l’as pas encore baisée ?-J’attends le bon moment…-Tu es marié ?-Oui… -Ah… Elle le sait ?-Oui, elle a accepté cette mise en pratique, ce coaching… Elle m’a obéi et a accompli des progrès et je vois que ça continue…-Tu peux en être fier… Une furie avec moi… Elle les a anéantis…-J’aimerais être là quand tu vas la prendre…-Oh, je ne sais pas quand encore…-Tu veux me prendre moi ?-Non, j’aimerais mais faut que j’en garde pour le studio… 5 femmes…-Six si je retrouve ma copine, Sylvie je crois… On a bu un pot avec deux mecs… Elle assure la quarantaine, jolie comme un cœur…-Et tu l’as laissée ?-Elle est partie aux toilettes, puis voulait téléphoner…Aline me caresse et se glisse sur moi, tendrement, elle me fait l’amour… et se pénètre en ciseau, elle aime cette position, l’homme a accès à tous les charmes de la femme, je reprends ses seins dans mes mains et je lui procure un orgasme mammaire, long, sensuel en la sentant apprécier notre coït…-Tu es un expert de la femme… J’ai joui profondément… Comme ça c’est rare…-Merci…-Baise-moi tout à l’heure, j’aime ce que tu me fais… J’aimerais jouir encore de toi et sentir sa semence… Fais-moi un bébé… Karine le sait, je t’aime… Elle m’a dit qu’elle aimerait que tu nous le fasses ensemble, un soir, que l’on s’endorme avec ton sperme, enlacés tous les trois…-Je te le promets ça, je vais y penser… Tu lui plais, tu as la tête sur les épaules, et j’ai confiance en toi…On reste un moment pour se détendre, l’un contre l’autre, je la reprends plusieurs fois lentement, elle jouit chaque fois… Je n’ai toujours pas joui…Il est bientôt l’heure et nous allons au rendez-vous…Dans l’obscurité de cette petite salle, il y a tout le monde, Karine discute avec Maud et Luc, Dan, les deux amazones, Chris qui vient vers nous, Aline est allée chercher un badge, nous entrons…Nous sommes vérifiés, ticket, bracelet, la salle est pour dix, nous sommes neuf…-Il manque Sylvie ou je ne sais pas… Elle était avec deux gars, on avait fini avec eux, pas intéressants. Elle est sortie mais ça fait longtemps…La jeune nous dit que si elle arrive, elle la fera entrer…Elle nous enferme, maintenant on ne peut entrer sortir que par badge…Le salon est ouvert, donc on peut nous voir dans la grande salle… Nous nous mettons nus, c’est la règle… Aline et Karine avec Dan, une des deux amazones vient s’allonger près de Luc, Maud avec Chris, l’autre amazone me choisit…Les couples sont formés, nous entamons la soirée, nous avons droit à 30 minutes…Premiers soupirs, des râles, des visages, des sourires, Dan prend Aline sur lui et la baise devant Karine.Luc est ravi de sa compagne, qui le suce tendrement, elle se frotte contre lui, entame un 69…Maud s’ouvre au jeune Chris, qui le fait grimper aux rideaux par une fellation magique dont elle a le secret…Maguy me séduit, me veut, me suce, me reveux, je la baise, elle s’évade en grandes envolées lyriques…La porte s’ouvre, la femme porte un loup. Elle se met nue… S’allonge avec Maud et Chris…Les couples se défont, se refont, s’échangent… Me voilà avec la belle inconnue…-Sylvie, on ne se connaît pas ?-Pas encore, mais quand tu m’auras vue, tu ne m’oublieras plus…Elle appelle Dan…-Viens mon beau brun, viens ensuite avec nous… J’ai besoin de deux hommes ce soir…Elle me caresse, me suce, se donne, ouvre ses cuisses, je la prends lentement, elle se laisse caresser, Dan nous rejoint… Il s’allonge, la caresse, elle se penche sur lui et le suce longuement… Elle nous offre ses fesses…-Viens prenez-moi ensemble…Elle se tourne et il la sodomise avec sa douceur, avec sa tendresse et elle jouit au fur et à mesure… Lorsqu’il est en elle, dans son dos, tournée vers lui pour un long baiser, je la prends doucement, son vagin est détrempé, très large, elle a dû avoir d’autres amants ce soir. Je m‘aligne sur le rythme de Dan pour la posséder, j’ai du mal voir son visage, entre l’obscurité et le fait qu’elle se tourne sans arrêt vers lui, en gémissant de plaisir…-Oh, oui… venez… Faites-moi un enfant… Baisez-moi a en tomber de fatigue, je veux vous sentir vous délivrer…Elle jouit de tout son être, sa voix s’élève, il me semble la connaître, les cheveux coupés… Les pommettes… Je prends ses seins, les malaxe, puis on la pilonne ensemble, elle le veut, nous supplie…-Venez mes chéris, allez-y, videz vos couilles…Elle atteint le plafond, tremble, se donne, orgasme sur orgasme, Dan l’explose…Elle est anéantie, défaite, en sueur, trempée de sperme…-Merci à tous les deux, merci Dan de m’avoir reprise, je ne peux me passer de toi plus d’un an… Merci Marc, je jouis toujours avec toi malgré tes trahisons…Elle enlève son masque, c’est Eve… Je m’écroule…Chapitre IV – Le début de la finElle est rhabillée, accoudée au comptoir du bar de l’hôtel désert, un verre d’eau volé, à la main, chancelante, élocution à peine audible, les yeux dans le vague… Karine est montée en larmes avec Chris…-Je t’ai tracé… Ton portable, je voulais savoir… Je vous ai vus à l’hôtel, j’ai décidé de rester, ce soir vous êtes sortis, avez rejoint Aline que j’avais séduite à l’hôtel, puis je suis sortie vous guetter, vous écouter… Je t’ai vu baiser, rebaiser, jouir… J’ai décidé de faire pareil, de m’éclater aussi, j’y ai droit…J’ai dit à Aline que j’aimerais rester avec votre groupe… Voilà…Tu fais quoi ici ? Je suis seule et je m’ennuie, toi tu baises à droite, à gauche…-En fait, je travaille, j’ai monté une structure de coaching et apprends aux gens à se faire plaisir. J’ai commencé il y a deux mois, c’est mon second séminaire…Je ne t’ai rien dit car tu es au-delà du sexe. Tu ne comprendrais pas ma démarche, mais le fric rentre. Aucune mise de fond, que du temps… Ce sont mes élèves, mes soumises, elles m’obéissent… Elles sont mariées, mères de famille, ou divorcées, cadres cherchant à se valoriser, mieux se comporter, oublier leurs principes rigides et moraux…-C’est ce que tu dis, mais dans ta chambre il y a une créature que j’ai reconnu, ta banquière, conseillère, notre argent…-Karine n’est qu’une amie, oui, elle dort avec moi, elle vient de trouver son mari avec une autre femme…-Tiens, comique… Un retour de bâton dans tes dents, moi je viens de te trouver avec cinq créatures complétement nues… -Un exercice, je n’ai pas eu de rapport intime avec Karine…-Je m’en fiche, baise-la, baise-les, je vais me mettre au diapason, et n’ai pas besoin de leçons pour m’envoyer en l’air, crois-moi… Et puis ça fait longtemps que tes voyages me laissent le temps de m’entraîner… Tu me prends pour une idiote…-Non, je désire simplement, si tu es d’accord, que l’on partage tout ça… J’ai fini mon coaching, je rentre dimanche soir… cette soirée était une soirée d’adieu, le dernier maillon de jeux sexuels que j’enseigne…-Je m’en vais, je te laisse, je rentre ce matin, j’ai compris. Tu peux rester. Je te donne un mois pour te reprendre.-J’aimerais te présenter Karine, elle a besoin d’aide. Ce que je lui ai apporté ne suffit pas dans le temps. Elle était dans un monde de bisounours côté sexe, il faut l’accompagner dans une nouvelle vie, elle ne peut rester seule et n’a pas la lucidité pour affronter une vie plus libertine… Elle aura besoin de sexe, donc d’être drivée, contrôlée, dirigée, aimée…-Tu comptes sur moi pour faire l’infirmière ? Je n’aime pas les femmes, moi ce sont les bites, les mecs, les noirs, comme ce Dan, il est dément… Tu n’es pas jaloux de lui, il m’a prise hier soir, rien que moi, il m’a défoncée comme jamais… Tu vois, je veux te faire comprendre que j’ai fait ma vie dans ton dos, depuis trois ans, je m’éclate quand tu t’en vas, j’ai trouvé une jeune fille qui vient garder notre fils… Je rentre au matin, épuisée de mes nuits d’orgie. Il faut que ça sorte, que je m’éclate, que je fasse ce que tu dois faire… J’aime me faire sauter par des jeunes, j’aime qu’ils bavent quand j’ouvre mes cuisses dans un bar, ou que je sorte avec un couple et que je baise toute la nuit, l’homme, puis la femme… Je m’y suis forcée…-Tu es des nôtres alors, le prochain séminaire on le fait tous les deux ?-Je réfléchirai… A dimanche soir… je vais dormir un peu.Elle se lève, prends sa clé, et monte dans sa chambre…Karine est endormie, je me glisse contre elle et nous dormons jusqu’au matin…Nous sommes samedi, sa cousine va venir, elle va me laisser pour l’accueillir… Il faut que je réserve au Casino…Elle a aimé sans doute cette soirée, cette nuit de folie, je l’ai vue avec Aline, Dan, Maud, les deux femmes, Chris, Luc… Elle a eu des moments très chauds avec d’autres hommes, un autre couple, elle est revenue à temps pour le rendez-vous… Elle me racontait sa soirée, lorsque Eve est arrivée…Au matin, nous parlons…-Tu as dû être surpris, et la voir nue avec tous ces gens, comme nous, ta femme !…-Oui, un choc. Mais finalement, c’est mieux. Elle savait depuis longtemps que mes escapades professionnelles n’étaient pas toutes laborieuses… Elle se doutait et avait raison, mais par amour… Elle m’a avoué ce matin, qu’elle avait pris le mors aux dents et se livrait à une débauche effrénée de son côté à chaque absence… Elle venait jusqu’ici parfois, ce club ayant bonne réputation, et cet hôtel était un des seuls ouvert en hiver dans sa catégorie.-Qu’as-tu décidé ? Tu me quittes ?-Oh, non, mon ange, je ne peux pas… Eve s’en va ce matin, elle m’a fait son numéro, je verrai plus tard… Pour quoi pas me rendre libre… Pour toi ?..-Ne plaisante pas, tu suis… Peinée par ce qui est arrivé et j’ai senti ma propre trahison revenir… Femme adultère après avoir été trompée… Je me sens comme Eve, trahie… Elle a réagi avant, t’a trompé et elle vient te montrer combien elle t’aime et qu’elle est prête à pardonner, surtout qu’elle est apte à partager tes passions, tes dérives, ton amour de la vie…-Tu risques d’être surprise par sa réaction et sa décision. Je la connais, elle est capable d’intégrer bien des paramètres, pour vivre des expériences, elle l’a prouvé, on est pareils, j’avais un peu oublié… C’est une lionne, elle aime le sexe aussi, l’amour, l’amitié, tout ce qui fait vivre des moments de tendresse, de sexualité… Elle a ton âge, se sent libre…-Tu me dis que tu lui as demandé de ne pas me juger, au contraire de m’accepter ?-Oui, mais elle n’a pas répondu… Enfin, bon la vie continue et pour nous cela ne change rien, lundi je réglerai ces problèmes qui n’en sont pas, on est à égalité, trompée / trompé. J’aurais dû lui parler depuis longtemps de mes pulsions, mais surtout de toi qui m’attirait… Je vais rentrer chez moi, faire un peu de lessive et de ménage.-Tu restes dîner ?-Non, Aline veut m’accompagner jusqu’à ce que ma cousine arrive. Elle a été perturbée pas ce qui s’est passé, a eu peur pour moi, de ma réaction. Elle m’a raccompagnée ici avec Chris, ils m’ont laissée endormie… Ils sont chou ces deux-là… Ils me manqueront… -On les invitera…-Je… je ne sais pas si je reviens ce soir… Je pense à Eve, combien elle souffre… Et moi je ne pense qu’à me faire sauter par son mari qu’elle adore…-Karine, je ne suis pas là par hasard. J’ai plus que de l’amitié pour toi, et je suis prêt à faire ce que tu es en train de faire toi-même, on pourrait envisager un avenir serein, libres tous les deux…-Tu es en train de me dire que tu m’aimes au point de divorcer aussi ?-Maintenant que tu partages ma façon de voir la vie, je ne suis pas contre…-C’est le plus beau compliment, la plus chose, le plus merveilleux des aveux… Je t’aime et tu l’as vu, je t’aime et je te veux comme amant, ce soir, quand ma tante dormira dans sa chambre, je deviendrai tienne. Je peux oublier tout ça, en fait cela ne me regarde pas. Si tu décides de me faire l’amour ce soir, cette nuit, ce sera comme si je devenais ta femme et que l’on pourra envisager un avenir ensemble. Cela sous-entend que l’on divorce tous les deux, pour se marier ensemble un jour ? Tu en es conscient ?-J’en suis conscient. Je te donne du plaisir, un peu de bonheur, j’aimerais t’apporter plus qu’une épaule et un sexe…-Oh, tu es merveilleux, je t’obéirai, tu sais… Si tu veux je ferai tout ce que tu désires pour t’avoir et te garder. On pourra avoir des enfants, je suis encore assez jeune, on pourra avoir toute sorte de plaisirs ensemble, s’éclater… J’ai appris le partage, l’échange, il faut s’aimer pour cela, par des liens si intenses, je l’ai senti dans Luc qui regardait sa femme se faire prendre, jouir avec vous, avec les filles, elle était si belle, que je me suis donnée à lui sans réserve…-Tu as bien fait et c’est comme cela que je te veux, libre et heureuse… On sera pareils… Partager… Elle part quelques minutes plus tard, je prends mon portable pour appeler Eve…-Allo ?-Tu es où ?-Sur la route, en direction de notre logis conjugal.-Tu penses quoi ?-Que je suis conne. Je devais aller voir mon copain avocat.-Tant que ça de rancœur ?-Pire, je me sens trahie et aussi nos 15 ans de mariage piétinés. Je savais sans savoir et les sorties punitives me redonnaient le moral, je me sentais femme, je luttais à armes égales contre toi, mais tu ne savais rien de ce que je ressentais quand je jouissais d’un autre… Au matin, épuisée, je me sentais coupable, avilie, salie par un autre que toi. Tu étais mon modèle. J’ai eu des amants, mais aucun plus d’une nuit. J’ai essayé une femme, j’ai aimé être serrée dans ses bras. J’étais vraiment comme toi, j’en jouissais, je la prenais, elle jouissait de mes caresses, comme si tu étais là, à ma place. Alors j’allais au bout, j’ai acheté un objet de ceinture pour la voir se tordre et jouir encore plus.Je rentrais le soir chez nous, seule, vidée et me lançais le lendemain dans mon travail jusqu’au week-end suivant…-Ce matin j’ai mal de toi. Tu me demandes de partager, de devenir un couple échangiste, entrer dans un monde libertin, comme hier soir… Faire des rencontres à risque, j’aurais toujours peur car pas moi… Tu me demandes de partager le sort de Karine, l’aider, lui donner un peu d’amour, toi tu donneras ton sexe, et j’en suis certaine, ton amour que tu me voleras en partie… Alors ma réponse est non.Je ne suis pas prête pour assumer en même temps, ce constat entre nous et n’ai pas la force morale d’aider qui que ce soit à t’arracher à moi… Si tu la revois, je saurai qu’elle prime sur moi, on se séparera, à moins que ce ne soit que passager, car tu en es ébloui, c’est toi qui l’a changée en princesse de l’amour. Ne reviens pas demain soir, reste, habite dans le bateau, je ne veux pas te revoir. Donne-moi des nouvelles. Consume-toi auprès d’elle, termine cette aventure, sors-la de ta tête si tu peux, fais tout ce qu’il faut, et ensuite reviens et nous verrons, mais je ne veux pas de contact pour l’instant, ni avec toi, ni avec elle. Notre fils va bien, je le protège de nous, de notre désamour…Seul dans ma chambre, je repense à Eve… Elle va rentrer, se déshabiller et se donner à moi, comme hier soir… Karine a raison… J’ai brûlé mes ailes avec elle, elle m’a attirée avec son visage d’ange, ses jupes strictes, ses chemisiers fermés, d’où l’on devinait des trésors…Puis lorsqu’elle me raconta la trahison de son mari, j’ai eu le coup de grâce et suis tombé en amour, comme on dit au Canada…Maintenant je suis entre deux feux, Eve que j’oubliais est revenue me dire combien elle m’aime. Karine est encore fraîche, délicate, même si elle a évolué, mûri, grâce à moi.Je me suis mis à l’aimer plus que ma femme. Eve a raison, il faut que je finisse ce cycle passionnel, que j’aille au bout pour ne pas avoir de regrets, c’est important, mais elle risque de se méprendre et d’en souffrir, à moins d’avoir le temps de consumer notre passion…Pendant encore une semaine, je peux lui faire découvrir d’autres possibilités que moi. Ouvrir un champ d’amour, la faire douter d’elle-même et de ses sentiments pour moi…Sa tante est bien arrivée, elles sont sur le port, en train de manger de la salade… Je lui manque, elle aimerait savoir pour Eve…« Eve me lâche la bride, j’habiterai sur mon bateau quelques temps, ce seront comme des vacances pour moi. Je sors de sa vie pour l’instant, elle sort de la mienne, regrette d’être venue au lieu d’appeler un avocat… Elle protège notre fils, ne veut pas de vague, ne veut pas me croiser de quelques semaines. Elle souhaite que je finisse ce cycle non vertueux si j’en ai le courage et l’envie… Elle nous donne du temps, que l’été finisse. »« J’ai eu peur. Je pensais te perdre d’un coup. Tante Marianne est ravie d’être là. Nous avons longuement discuté de ce que tu sais. Je ne m’étais pas trompée, a 25 ans, ses hormones la taraudaient, ses premiers flirts avaient éveillé sa libido, elle avait découvert les plaisirs du sexe, le sien et celui des autres et l’inaction devenait insupportable, alors elle se soignait…J’ai parlé de toi, de nous, sans entrer dans le détail, tu es un ami, intime, libre et libertin. Elle en a frétillé, car elle se sent en jachère depuis sa séparation et les occasions sont très rares. Elle m’en a donné la preuve, elle est à point, très excitée de faire ta connaissance, avec mon aval… PS : je ne suis pas arrivée à la calmer, malgré tes cours…A 20 heures, je me rends au restaurant du Casino, en costume léger, très Golf…Elles sirotent un Américano, se lèvent ensemble.Tante est parfaite, ses yeux se dilatent lorsque je prends sa main… Tailleur léger, jaune très clair, chemisier noir, fleuri de toutes les couleurs, jupe ample, mocassins noirs. Ses cheveux blonds encadrent un visage avenant, bronzé, ses yeux sont marrons, expressifs, elle est manucurée, sa peau blanche sur les cuisses dénote, mais donne envie de découvrir plus avant…Elle est très directe, se raconte simplement, mariage, enfant, divorce, remontée dans sa Lozère natale, pour cause de dépression, et de budget. Elle trouve du travail à l’hôtel restaurant d’une amie d’enfance. Mais elle est seule, les clients ne viennent que l’été surtout, elle espère que la mairie lancera un projet de remontées mécaniques… Elle aime son pays, même si l’hiver est triste.-Je lui ai proposé de venir quelques semaines en hiver, maintenant que je suis seule, et même si je ne le reste pas…Nous dînons au restaurant, digne de cet établissement.Le jeu les excite et je prends des jetons pour tout le monde, de quoi tenir une bonne heure…Karine gagne plusieurs fois, mais reperd petit à petit et recommence.J’arrive à décrocher une quinte au poker. Puis frise la flush…Je perds une partie de mes gains, en bon gestionnaire je garde ma mise au frais…Puis je peux mettre de côté celle de mes partenaires de jeu (sans vulgarité).Je gagne un carré, un autre, puis grâce à des mises plus fortes, la machine me délivre encore une quinte flush, mais pas à l’as. Je gagne de quoi leur offrir une entrée à la discothèque du Casino.Mais au moment de partir, sur le dernier tirage, Karine tire un gros lot. Je ne comprends rien à sa machine, et les pièces tintent dans le réceptacle… 3.000 euros…Une jeune femme arrive, lui demande ce qu’elle veut en faire, elle donne sa carte bleue…Elle a le sourire aux lèvres, Marianne saute de joie…-Il est loin ton bateau ?-Au port de Sète, une place pas trop chère…-Il est grand ? -Voilier, 8 mètres, 2 cabines, WC, un carré sympa, douche, cambuse, frigo à gaz, chauffage sur le moteur, mais je mets un soufflant au port lorsque je suis branché. Dehors la place pour un bain de soleil, à l’avant et derrière un carré 8 places en se serrant…-Il accueillerait une jeune femme en instance de se séparer de son mari, amoureuse de la mer et d’un beau marin ?-Dis, tu oublies l’équipage, je fais la cuisine, les chambres, je sais servir même de nuit, et suis friande de pompons… Quant à la navigation je sais tenir fermement une barre. Je sais astiquer les cuivres, le pont s’il le faut, et pas mal d’autres choses dont je suis en manque…-Oh, tu recrutes ?Je réfléchis un moment…-Tu as dit quand ?-Mardi ?-Tu es libre Marianne, tu peux revenir ?-Qui a dit que je pars ?Je réfléchis encore…-Demain après-midi, tu vas récupérer ton fils chez tes parents avec Marianne, puis tu le confies à ton mari, le soir, pour la semaine. Moi, je devais rentrer. Je peux donc me rendre au bateau dès dimanche soir et vous pourriez me rejoindre lundi soir… Je ferai les courses pour quelques jours, on décidera ensemble pour la suite. Marianne tu peux venir avec nous, si tu aimes la voile prie pour un temps agréable. Le bateau c’est bien quand il fait beau, mais autrement on s’y ennuie vite…-Je sais, en montagne c’est pareil. Mais je connais un moyen universel pour passer le temps…-Marianne, tu exagères. C’est indécent et déplacé, il vient juste d’avoir une déception sentimentale et moi aussi, et tu parles de sexe…-Les marins adorent ça… Ils aiment expliquer la navigation aux passagères, le compas, le gouvernail, ariser, targuer, accoster, jeter l’ancre, empanner, je ne me souviens plus du reste, je ne suis pas restée assez longtemps avec lui et m’intéressais à bien d’autres choses dans la cabine, en mettant mon maillot… J’ai eu le tort d’enlever le haut quelques instants plus tard pour prendre la barre… On a heurté un autre bateau, j’ai eu une bosse pendant 1 semaine, la sienne avait vite disparu à mon réveil… Il m’a virée…Nous rentrons à l’hôtel, j’allais dire les poches pleines. Il est tard, déjà dimanche…Je leur laisse le grand lit et passe dans la chambre attenante.Karine me regarde…-On fait comme ça ?-Vous avez tant à vous dire, ratt****r tout ce temps…-Tu es un gentleman…-Nous pourrions nous serrer…Elle reçoit un grand coup de coude de sa nièce…J’ai du mal à trouver le sommeil, elles discutent longuement… Puis plus rien. Le vent s’est levé, je vois les étoiles… J’entends des soupirs, elle ronfle !…Je sens un corps se glisser contre moi…-Chut, elle dort… On ne t’a pas trop dérangé ?-Non, juste que j’ai du mal, tout tourne dans ma tête…-Tu veux dormir ?-Avec toi ?Notre baiser est sans fin, elle est nue, offerte, se frotte contre ma peau, sa main prend mon sexe, le cajole… Ses seins sur ma poitrine m’emportent dans un rêve, elle m’enjambe… Nous nous enlaçons, je sens son désir, ses seins qui pointent, je les caresse à pleines mains, elle embrasse mes pectoraux, glisse, elle prend mon sexe dans sa bouche, tendrement, glisse ses lèvres le long de la tige, aspire, revient sur le gland, salive, redescend… Un nirvana…Je n’arrive pas à la saisir, fuyante, elle est entre mes cuisses, agenouillée… Loin de mes mains. Le silence…Je la vois glisser une main entre ses cuisses, elle me fixe, se masturbe en me pompant…-Je veux que tu me demandes grâce…Elle le fait bien, longtemps, j’ai eu le réflexe de prendre la poudre de Dan, avec un verre d’eau…-Je vais te montrer ce que tu risques à jouer avec les allumettes…-J’ai peur…Je la laisse reprendre son souffle, elle caresse mes testicules, les prend, les soupèse, continue sa fellation délicieuse, un bijou de professionnelle, rien à redire…D’un coup, je saute sur elle, la plaque sur le lit, elle est tombée sur le ventre, les fesses en l’air… Un petit cri de surprise, mais elle a fermé la porte en entrant.Son fessier me tend les bras, elle est inerte, plaquée de toutes mes forces…J’ai coincé ses bras, elle ne peut se relever… je fouille dans ma valise, trouve les liens de soie, je les passe dans ses poignets et l’attache aux barreaux du lit…-Tu avais prévu… Tu es dément, pervers, tu veux me violer…Elle sent mon dard dans ses fesses, je me redresse, caresse ses seins, elle roucoule…Je passe une main entre ses cuisses, elle est trempée…La garce a mouillé tandis qu’elle me pompait le dard et qu’elle se caressait à outrance, je suis certain qu’elle a joui… A moins qu’elles ne se soient excitées, avec Marianne, se goussant tendrement pour revenir aux sources… Elles ont dû le faire avant de venir, tout l’après-midi en rentrant du port…Elle soulève ses fesses, ma bite est prête à la démonter… je m’approche et mouille son petit trou, sa chatte, toute son intimité et ma langue retrouve ce goût de fleurs, cette senteur enivrante, je me délecte de son jus qui suinte de son abricot… Les lèvres rosées finement découpées, sont agrandies par ce désir…Elle gémit doucement… Elle ondule…Ma langue plonge, revient, glisse, revient sur le clitoris, tendu comme un minuscule sexe érigé… Elle frémit, se tort, couine…-Oh… Oui… Souviens-toi, si tu me prends, je suis à toi, tu me choisis. Ta semence viendra sceller notre amour naissant…Je glisse un doigt dans son anus… Elle délire…-Oh, sadique, tu vas me sodomiser… je ne peux pas me défendre, je suis entravée, prisonnière de tes perversités…Le doigt tourne, les chairs se relâchent…Elle ne s’attend pas à ce que je vais lui faire…Je glisse ma main sur sa vulve, titille, ouvre, excite au plus haut point, qu’elle gémit et qu’elle qu’un orgasme survient, j’en profite pour la prendre de toutes mes forces, la violant comme elle est offerte, ouverte, pleurant…-Aïe, tu fais mal… Aïe, que c’est bon…Je la défonce sans ménagement, son vagin explose sous mes coups de bite rageurs, elle est ouverte comme jamais, elle aimerait se tourner que je la prenne à la papa maman, missionnaire…Non, je suis en elle, au fond, contre son utérus et je la baise comme un malpropre, comme un soudard, elle crie encore, se soulève, en redemande…Je me retire et elle gémit…-Non, encore…La seconde salve est traîtresse, soudaine comme la première, mais pleine d’ardeur sauvage, elle est défoncée par un arbre de vie, un monstre de chair qui la pourfend, qui ouvre son intimité secrète, ses chairs roses, sa rondelle étroite a volé en éclats, en ressortant, je contemple un trou béant, luisant…Elle s’y attendait, elle pleure… Elle a juste crié, puis a eu un instant comme une absence, puis elle a senti le plaisir arriver, effacer la douleur soudaine de cette intrusion, mon phallus planté entre ses fesses, dans son superbe fessier si rond et si ferme…Je glisse lentement en elle, dans un grand silence, imprimant un rythme lent, langoureux.Elle jouit sans rien dire, sans le montrer…Je ressors, puis reprends ma place première, glissant dans la fourrure de sa chatte détrempée, ouverte par ma première insertion rapide…Elle se met à gémir, ses bras en croix me cherchent essaient de m’att****r…Je m’allonge sur elle, ma verge la couvre, la domine, je coupe ses bracelets…-Oh, viens, tu as eu raison de me punir… Je suis une mauvaise fille… je t’ai trompé hier au soir, je me suis donnée à d’autres, homme et femmes, sans compter j’ai joui sans penser à toi, juste joui… J’avais commencé par ma tante dans l’après-midi… On s’est embrassées dans le salon, écartelées sur la moquette, elle était en transes. On a échangé nos caresses lesbiennes, tendres, puissantes dans nos puits d’amour, sans réserve, avec passion… On jouissait comme des folles, criant, hurlant notre plaisir… Je l’ai introduite avec une petite bouteille, elle voulait être sodomisée… Elle est si ouverte, si large, de partout, elle a entré ma main entière dans son vagin, la canette dans son derrière, elle a hurlé en sautillant, j’en ai eu la chair de poule, je pensais l’avoir blessée… Mais non elle jouissait en se dilatant l’anus, encore et encore…-C’est pour cela que je n’ai pas insisté tout à l’heure pour qu’elle vienne… Son mari la donnait à d’autres, la violait quand elle avait ses règles. Il l’a même mise sur la route nationale, en Ardèche… Il organisait des orgies chez eux, elle était devenue sa chose ; obéissante, jusqu’à ce qu’il la tabasse, pour rien… Là, elle a porté plainte et est partie chez une amie. Il a été arrêté, jugé, emprisonné, il est mort d’une overdose, elle avait échappé de peu à la drogue… Voilà son histoire. Tu vois elle a changé, s’est reconstruite, a eu des amants, puis un ami pendant cinq ans, qui l’a quittée depuis quelques mois seulement. Elle est heureuse dans sa montagne, elle s’offre des virées en ville avec des copines pour se tenir à flot côté sexe… A l’auberge l’été, elle saisit toutes les occasions, les hommes aiment toujours ses formes adorables, elle adore faire l’amour… Elle n’a plus ses règles depuis dix ans… Elle aura quarante-cinq ans en fin d’année… On a dix ans d’écart, voilà, j’avais quinze ans quand on a flirté sous les draps…Je la serre contre moi, l’invite à monter sur mon bassin. Elle me donne un baiser de feu, elle ondule sur moi, faisant monter mon désir… Elle se pénètre avec douceur, se balance en cadence aspirant mon membre tendu dans son fourreau de soie…Elle me fixe en sentant son plaisir arriver… Elle jouit devant moi, plaque mes mains sur ses seins, augmente son rythme, encore, se déchaîne, jusqu’à l’orgasme divin où tout son corps tremble…-Je t’aime…Je la prends à mon tour, tendrement, elle se donne avec passion, on se tourne, se retourne, se met en position levrette, je la fais jouir de nouveau, passionnément…Puis, je la serre dans mes bras, sur le côté, abandonnée, cuisses écartées, mon sexe la prend avec délicatesse, pénétrant doucement, et je l’entends jouir, feuler un long moment de tendresse. Je prends ses seins magnifiques dans mes mains, elle se laisse emporter par la vague sur les rivages de l’amour, que je lui offre, une communion du plaisir, de nos sens exacerbés… Elle ressent le moment arriver, pleure de plaisir, ondule son bassin pour me ressentir exploser…Ma délivrance la délivre aussi, elle est ma maîtresse… Officielle, je l’adore, je la kiffe, je la veux…Elle a joui au-delà du sexe, avec toute son âme, de tout son corps, dans son ventre qui s’est ouvert, liquéfié… Elle m’a tout donné de son être, tout son amour enfin libéré, libre de s’exprimer, libre de la faire pleurer de bonheur…-Oui… Marc, enfin… je suis tienne, je suis à toi, je veux te rendre heureux, je te veux avec moi… je veux partager autre chose que ton sexe, je veux vivre en accord, je veux être ta compagne, et bien plus, ta femelle, que tu défendras au-delà de ta propre vie… J’aimerais te donner des enfants, tout partager de ce qui nous reste à inventer…-Je t’ai prise, je t’ai fait l’amour, sauvage, puis tendre, oubliant tout de mon ancienne vie, je viens de plonger dans ton monde, dans ta vie, m’y inviter en toute conscience…Je suis ton homme, ton ami, ton amant, je veux ne plus être séparé, je veux qu’on se dise tout, ouvertement, sans détour, que l’on puisse vivre chaque instant en partageant nos plaisirs et nos désirs…-Alors je vais commencer à te prouver mon amour, viens avec moi dans le lit de Marianne…Marianne c’est un bonheur… Une machine à faire l’amour, regorgeant de tendresse, de passion, aimant le sexe dans tous les programmes, dans tous les sens, sans réserve, elle a tout connu, tout vécu, tout subi, elle n’a plus aucune réserve pour vivre sa libido.Elle n’aime pas souffrir, pas être avilie, salie, pas d’animaux, juste entre adultes, même jeunes… Elle adore les premiers instants avec un homme, ressentir son désir, jusqu’à ce qu’elle ne résiste plus… « C’est une vague qui nous emporte, dit-elle, qui fait que l’on aime la vie… »On passe la nuit à faire l’amour, elle, moi, nous, à trois, à deux… La bouteille s’est transformée en jouet, impressionnant, animé, piloté par smartphone… Elle nous montre, on essaie, même moi dans l’anus pour ne pas mourir idiot… C’est fabuleux ce que l’on invente… Nos cris, nos gémissements, emplissent cette chambre 225.Marianne nous suce à tour de rôle, me chevauche, embrassée par Karine, caressée, alors qu’elle m’embrasse et fais jouir sa tante, une main sur son clitoris…On se donne, on se répand, elles prennent ma verge, Marianne me masturbe avec ses seins opulents, Karine lui ouvre ses cuisses et offre son bonbon à qui le veut, en riant, indécente et merveilleuse… -Venez, allez, servez-vous, léchez ma chatte, prenez mon bonbon, glissez-y un doigt ou autre chose, je suis votre muse, je vous aime tous les deux…Marianne se sert, l’emporte, plaque son sexe sur le sien, se frotte… Elles se font jouir devant moi, perverses, innocentes, si belles…C’est une communion des sens, je jouis plusieurs fois, transcendé par le bois-bandé, je les sens vibrer ensemble. Karine se donne à moi une dernière fois, avec un orgasme mutuel, je me liquéfie, épuisé par ce ébat de classe, ces deux sirènes qui viennent dormir dans mes bras, ivres de caresses et de sexe…Vers midi, encore embrumés de notre nuit, nous libérons les chambres et je descends nos bagages. Je règle les derniers extras, il nous offre les déjeuners…Chris et Aline sont là, Boss nous souhaite un bon printemps et un fabuleux été…En aparté, il me glisse à l’oreille : « Bravo, je n’ai pu résister à l’embrasement final ce matin, je vous envie. »Karine donne un long baiser à Chris, puis à Aline devant sa tante, qui n’est pas choquée, mais amusée…-Elle me rappelle moi… J’avais des copains et copines partout où j’allais…Je les accompagne dans la voiture, donne un merveilleux baiser à Karine…-Tu vas l’user, sers t’en un peu avant, comme cette nuit, elle est magique…Le soir, je sirote un pastis sur mon bateau, ouvert et nettoyé…Je pense à ce que je viens de faire, basculer ma vie… Reprendre tout à 0 avec un ange…-Allo, Marc Leroux ? C’est le Boss, le patron de votre hôtel, je suis désolé, la gendarmerie vient de me prévenir, elles ont eu un accident, elles sont décédées toutes les deux…Eve m’a consolé, elle n’a jamais su pour le reste, c’était inutile. J’ai cherché pour l’enterrement, j’y suis allé avec Eve. J’ai aperçu un jeune garçon avec un homme qui le tenait par la main. Il pleurait toutes les larmes de son corps… Une silhouette blonde, discrète, qui ne se mêlait pas à la famille, les couvait des yeux…J’ai vendu le bateau qui était responsable de tout. Je referme la porte du petit cimetière, déjà un an…J’en veux toujours à la terre entière… FINMarika 842010avril 2018

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