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Océane, épisode 4

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Couple

Océane, épisode 4Je crois que je suis allé trop vite en besogne. Je m’en veux de lui avoir montré ce genre de film. Cependant, elle doit encore patienter, je veux qu’elle lise l’Histoire d’O avant qu’elle ne se décide à aller plus avant. Pendant le reste du contrat qui me lie à la mère d’Océane, cette petite joue son rôle à la perfection. Comme moi, elle y trouve son plaisir même si parfois, une fessée, peut-être un peu plus forte que les précédentes, la fait jouir avec encore plus de puissance. Océane est maintenant libre d’agir à sa guise. Cela étant, elle a décidé de rester auprès de moi, de jouir en ma compagnie. Parfois ensemble, parfois à trois, Océane perd peu à peu ses toutes dernières angoisses. Elle a lu le livre que je lui imposais. Elle en a même lu bien d’autres, tous sur le même sujet, la soumission, dédaignant tous les autres. Jour après jour, elle prend un gout certain à vivre entant que ma soumise. Et moi, je résume mon amour pour elle par cette simple maxime : « plus qu’hier, mais moins que demain ! »Six mois plus tard, je repris mon activité de gigolo. Parfois, Océane prend part à nos soirées délurées. Punie, elle reste enfermée dans sa chambre ou elle devient la docile soubrette utilisée par mes clientes. Dites que je suis la pute de ces dames et je sors de votre écran pour vous mettre mon pied là où cela fait mal. Si des hommes comme moi existent, c’est que vous avez un souci avec votre sexualité, messieurs, pas moi ! Toutes ces femmes, quand elles viennent chez moi, je les aime comme si chacune était ma femme, mon épouse. Il en est une qui sait de quoi je parle, elle est même la première à bénéficier de mon corps, c’est Océane. Ça s’est fait, passons à la suite !Il est vrai qu’Océane représente bien plus pour moi. Pour tout dire, je peux affirmer que c’est la toute première fois que je suis très amoureux d’une femme. Qui plus est, d’une femme qui accepte ma vie de libertin débauché. Seulement, elle, Océane, c’est aussi ma soumise, une soumise qui ne bénéficie pas de ce traitement cruel que certain inflige à leur soumis. Pourtant, un jour, en plein repas, elle me fixe. -Monsieur, je crois qu’il serait temps que je connaisse la douleur d’une véritable punition.-Oui, peut-être que tu as raison. Cependant, c’est à moi d’en décider désormais. Je ne suis pas ta mère. Elle, elle voulait juste que tu sois sa servante, son jouet, son défouloir. Moi, je veux plus pour toi, je veux que tu éprouves du plaisir dans ce que je t’impose. Pourtant, si tu n’as pas tort, je ne pense pas encore t’imposer les douleurs subies par ces acteurs dans ces films, un jour peut-être. -Pardonnez mon impatience, Monsieur Raymond. -Demain, tu iras travailler avec une culotte un peu spéciale. Tu verras que de me subir n’est pas toujours rose ni très agréable du reste.De retour, c’est dans mon lit que je prends ce corps si sensible à mes attouchements. Je la baise une bonne partie de la nuit, ses orgasmes se succèdent avec une puissance qui me rend heureux de jouir dans son corps. Dès l’aube, je lui donne la fameuse culotte. Munie de deux godes, l’un est large et long destiné au vagin, l’autre, plus fin, moins long est pour son anus. Une fois équipée, je la lui programme sur le mode aléatoire et la verrouille. Très vite, Océane comprend que sa journée risque d’être infernale, du plaisir à tout instant, du plaisir qui ne lui laissera que peu de répit, pratiquement un enfer. Je ne lui autorise de la retirer uniquement pour se soulager, rien d’autre. Je sais qu’elle m’obéira à la lettre, c’est écrit dans ses gênes. Je sais aussi qu’elle veut connaitre les effets d’une cruelle punition. Cela étant, je vais tout faire pour la repousser aussi loin que possible. Du moins, si elle ne me fait pas une grosse bêtise entre deux. Je la regarde partir. Je sais qu’elle va avoir des orgasmes merveilleux. Je sais aussi qu’elle va güvenilir bahis souffrir l’enfer à force de jouir durant toute la journée. Mais là, il est temps de me préparer, ma cliente ne devrait plus tarder. C’est la mère d’Océane, Isabelle et quelque chose me dit que cette femme va subir ce que je pense faire subir un jour à Océane. Océane ignore tout de la visite de sa mère.-Entre et vas retirer tes fringues dans la petite chambre. -Mais…-Tu veux savoir ce que je fais à ta fille oui ou non ?-Oui, mais…-C’est un ordre, obéis. Pour ta gouverne, tu vas vivre la journée type de ta fille. Je vais même en faire davantage, histoire que tu voies comment je vais augmenter mon emprise sur elle.Elle n’ose refuser, dans ma main, une longue cravache est prête à lui cingler son corps. Dès qu’elle est nue, je lui menotte ses chevilles. La mère peut être jalouse de sa fille, son désir irrépressible de faire d’Océane sa chienne lui a défiguré son corps. Je conduis Isabelle devant l’armoire où se trouvent tous les produits d’entretien pour mon appartement. -Tu as toute la journée pour me faire à fond toutes les chambres, la salle de bain, les WC et ma cuisine. Si tu as encore un peu de temps, il te restera la cuisine. Si tu ouvres ta bouche, j’ai un très bon adhésif pour te rendre muette et cette cravache pour te le faire comprendre. -Bien Raymond AIIIIIE ! Merci Monsieur Raymond !-Je préfère Monsieur ou même Maître si tu te sens l’âme d’une chienne docile. Là, je crois qu’elle a compris. Si ses débuts sont très timides, la cravache, qui frappe son cul ou toutes autres parties de son corps, me la ramène à de meilleurs sentiments et une plus grande efficacité. Pendant qu’elle fait le ménage en lieu et place de sa divine fille, je lui raconte comment je pratique avec sa fille. Seulement, j’enjolive mon récit. Je lui conte la jouisseuse que sa fille est quand elle fait l’amour avec les personnes que je lui désigne. Je lui raconte comment elle me sert, moi et mes invitées. Comment je la fesse et comment elle jouit. Je sens monter la colère dans le corps d’Isabelle. Je rêve de la voir exploser, d’avoir la rage. Cela me permettait de lui faire connaitre ce que je peux lui faire subir quand je passe du gigolo attentionné à bourreau pervers et un brin sadique. Là, elle vient de terminer la chambre, la première. Je fais une inspection en règle, gant blanc, je passe mes doigts partout. De temps à autre, je la regarde, elle tremble à l’idée que ce ne soit pas propre. Je regarde partout, même derrière les cadres photo. Rien, tout est clean, heureusement pour son cul. Je l’envoie dans la suivante, la mienne et celle de sa fille quand nous couchons ensemble. Je me remets à lui raconter nos nuits avec Océane. Je lui décris comment jouit sa fille. Je pousse Isabelle dans la colère, celui de son échec total. Pour tout dire, j’en arrive même à exagérer les orgasmes de sa fille, ses rêves de cinglantes punitions que je raconte comme autant de véridiques et cruelles punitions. Elle nous a pris pour des couillons, elle va comprendre qu’en tant que gigolo ou bourreau, il est inutile de me mentir. Une fois la chambre terminée, j’inspecte. Oups, je découvre un préservatif près de la table de nuit. -Mets-le dans ta bouche comme chewing gum, c’est cadeau. Bien, tu vois que tu peux te montrer docile. Maintenant, recommence ma chambre. Sinon, je te promets que le reste de la journée va se poursuivre dans la pièce du fond. Je crois même que tu l’as déjà visitée !-Oui monsieur Raymond.-Tu commences à bien me connaitre, c’est bien. En attendant, relève ton cul. Dix coups de cravaches pour cet oubli. La prochaine fois, c’est le double.Devenue plus docile, elle relève timidement sa croupe. Les coups pleuvent sur ses fesses et même entre elles. Je l’entends hoqueter après chaque coup reçu. Maintenant, je la pousse de mon pied, elle roule sur le türkçe bahis sol. À genou, elle s’active déjà à tout recommencer et la colère grandit encore. Je le vois à ses gestes toujours plus nerveux. Ce méchant coup de cravache devrait suffire pour qu’elle laisse exploser sa colère une fois pour toute. Et pan, un violent coup juste pile poil sur son sexe. Et c’est parti, elle me crie toute sa rancœur et ma cravache cingle son corps de partout. Très vite, sa colère fait place aux pleures. Je l’entraine dans la pièce du fond, mon donjon. Je la pousse à grimper sur ce chevalet très étroit. Attachée, alourdie de partout, je l’abandonne à son sort.-Deux heures devraient te suffire pour te calmer et te rendre nettement plus malléable.Je la regarde souffrir sur l’écran de mon ordinateur en sachant pertinemment qu’elle ne supportera pas ce supplice au-delà d’une bonne demi-heure. Je m’installe confortablement, une chambrière à portée de main. Les minutes s’égrainent, son visage, son corps, tout d’elle n’exprime que de la douleur. Plus le temps s’écoule, plus son visage devient horrible à voir. Parfois, je viens la regarder, narquois, la lanière de ma chambrière zèbre alors ses seins, son ventre, ajoutant autant de souffrance à son déjà pénible supplice. Son corps transpire, elle voudrait protester, hurler sa géhenne, solliciter mon pardon. Elle sait que cela sera vain, que je ne broncherai pas de toute manière. Près de moi, le sablier écoule son temps. De temps à autre, je me lève, caresse ses seins déjà marqués par l’âge. J’en soulève un pour le laisser retomber, ajoutant à son calvaire. Bien que le sablier en a terminé avec son temps, je me permets de laisser encore quelques minutes cette mère indigne. -Alors, comment on fait avec ta fille.-Je vous l’abandonne monsieur Raymond.-Voilà une sage décision. Bon, alors, je fais ton compte, on le solde et je ne veux plus jamais te revoir, même dans le quartier. On est bien d’accord ?-Oui monsieur Raymond, plus jamais. -Oui, tu disparais de sa vie. Remarques, elle sera toujours libre d’aller te voir. Je ne suis pas trop pour séparer une mère de son enfant. Seulement, si tu cherches à l’asservir, tu te retrouveras sur ce chevalet pour…qu’est-ce qu’on va dire, 48 heures non-stop. Oui, ça me semble une excellente punition, si tu persistes. Bon, je te délivre.-Merci monsieur Raymond. Il me faut l’aider à se tenir debout pendant un moment. Je l’envoie se doucher. Une fois de retour, comme j’en ai l’habitude, je la baise comme bon me semble. Cependant, je me garde bien de la faire jouir. En fin d’après-midi, elle me règle mes services que je chiffre en fonction d’Océane et je pousse un peu. Sur mon ordinateur, elle peut admirer cette femme punie en était à genou sur une planche dent de scie, de gros parpaing posés sur ses cuisses.-Oh ça, ce n’est rien d’autre qu’une image prise au hasard d’internet. Mais si tu le désires, je peux te le faire subir, comme ça, entre amis. Non, tu n’es pas tentée ? Dommage…Elle me règle en liquide, s’habille et file sans demander son reste. Je me demande si la mère a croisé sa fille. Océane débarque à peine deux minutes après le départ de sa mère. Elle est radieuse comme à chaque fois qu’elle rentre, me retrouve. Mais ses yeux m’avouent une fatigue due à cette culotte que je m’empresse de d’arrêter. Nous nous enlaçons longuement, une étreinte sensuelle avec ce long baiser de folie. Puis, de son sac à main, elle me sort un livre : « Le journal intime d’une soumise ». Elle me dit l’avoir dévoré. Je n’ai pas de peine à la croire. Surtout qu’elle commence à me faire le récit de ce superbe livre. Elle me site des passages entiers de tête, exprime ce qu’elle ressent de cette histoire, de certains paragraphes. Je l’ai lu, moi aussi, mais de se le faire raconter comme ça, avec une jolie femme sur ses genoux, c’est un agrément sans fin. Quand elle güvenilir bahis siteleri jouit en me fixant, je me rends alors compte que j’avais complètement oublié sa culotte vibrante. Du coup, je fouille mon donjon pour retrouver ma télécommande. Une fois en main, j’arrête le supplice de ma douce Océane. Puis, comme si de rien n’était :-Tu sais que ta mère est passée ?-Elle peut bien aller au diable, celle-là, plus rien à battre.-Malgré tout, tu lui dois un certain respect, c’est tout de même elle qui t’a mise au monde. -Oui, ça d’accord, mais pour le reste. Et puis, elle est venue pourquoi ?-Viens, que je te montre ta mère en pleine action.Je sortis un DVD de son graveur pour l’enfilé dans le lecteur. Sur ma télévision, Océane peut voir sa mère à l’ouvrage dans sa chambre, la nôtre. Quand je lui donne cette capote à mâchouiller, quand je l’installe sur le chevalet et tout la scène qui suit jusqu’au départ de cette femme. -Putain, elle en a pris pour son grade, cette garce. J’ai un peu pété un câble, je veux bien qu’Océane ne porte plus sa mère dans son cœur, mais là, s’en était trop. Océane s’est rapidement retrouvée nue et à la place exact de sa mère, sur le chevalet. -Tu vois ce sablier ? Il lui faut trente-deux minutes pour que le haut se vide. La raison de ta punition est d’avoir insulté ta mère. Certes, elle méritait sa punition. Mais toi, tu mérites la même pour avoir été vulgaire, et méchante en parlant d’elle. Là, j’ajoute ces poids à tes pieds, c’est juste 10 kilos pas jambes, un paille si on tient compte de tes propos.Elle ne proteste même pas, elle souffre déjà l’enfer sur son sexe écrasé. Comme avec sa mère, je m’installe sur mon siège, ma chambrière appuyée contre l’accoudoir. Parfois, exactement comme pour sa mère, la lanière zèbre ses seins, son ventre et même ses cuisses. Cette fois, je ne joue pas les prolongations. Délivrée, Océane est livrée à elle-même. Je m’installe tranquillement sur mon balcon, en attendant l’arrivée de Gisèle, ma boutiquière. À quatre pattes, épuisée de douleur, Océane vient se placer à mes pieds qu’elle baise longuement. -Je vous demande humblement pardon pour mon ignoble comportement, Monsieur mon Maître. Je vous remercie de m’avoir punie avec autant de sévérité.-Voilà qui est mieux. S’il te prenait l’envie de recommencer, je double la durée et je n’alourdis pas que tes jambes, mais tes seins aussi. Tiens, regarde-toi souffrir, que cela te serve de leçon.Elle put se voir souffrir, trente minutes de supplice sur ce chevalet, cela vous ramène vite à la raison. Je ne suis pas un sadique pourtant, j’aime qu’on se soumette à moi, être obéit à la lettre. Il est même très rare que je punisse aussi cruellement. Je préfère des sévices plus jouissifs pour mes partenaires. Un coup de sonnette, c’est Gisèle. J’envoie Océane lui ouvrir, mais à quatre pattes. Ce soir, Océane ne participera pas à notre nuit de plaisir. Je veillerai à solidement l’attacher sur la chaise de notre chambre. Dès que Gisèle apparait dans le salon, nous nous embrassons longuement sous le regard envieux d’Océane. Puis, pendant que je dénude lentement Gisèle, j’envoie Océane au coin, nous tournant le dos. Si je ne fournis aucune explication à Gisèle, c’est pour mieux l’emporter dans ma chambre et l’aimer sans tarder. Je sais pertinemment qu’Océane tend l’oreille, guettant le moindre signe de plaisir. Soudain, je me lève pour aller prendre ce qu’il faut pour nous protéger. Je vois mon Océane les mains entre ses cuisses. D’une paire de menotte, ses mains sont rapidement fixées au-dessus de sa tête, prisonnière de ce métal froid.Dans mon lit, équipé, j’aime Gisèle, cette quadragénaire est absolument merveilleuse au lit. Par devant, par derrière, je la prends partout, la fais jouir avant de faire une pause pour nous refaire une petite santé. À table, Gisèle ne cesse de regarder Océane, à genou dans son coin, menottée. Je sais que Gisèle brule de me demander la raison de la punition de ma douce Océane. J’attends juste qu’elle me le demande pour la punir, elle aussi. Chez moi, on ne pose aucune question sur le pourquoi de mes actions.

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