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La journaliste

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La journalisteLa journaliste 22/ Le traquenard.Quelques jours plus tard, Jean Linus est en position, près de sa cible, dans ce village près de Gornji Milanovac, à deux cents kilomètres au sud de Belgrade. Il remercie Saint Google, son repérage était parfait. Il est allongé dans un buisson, difficile à repérer avec son treillis de camouflage et recouvert de feuilles mortes. Il a décidé d’observer pendant deux jours ses “clients” avant de passer à l’acte. Il a le temps.Avec les jumelles il pourrait presque toucher ces mafieux. Ils sont quatre avec deux gros chiens, des molosses. Ceux sont des brutes, des frappes mais ils semblent mal entraînés et en mauvaise condition physique. Tout juste bon à martyriser des femmes sans défense et à boire sans soif. Cela devrait ne pas lui poser trop de problème.Je me réveille le lendemain vers neuf heures et me prépare rapidement, je ne peux quand même pas m’empêcher de me maquiller, je dois me faire mignonne, rester fidèle à mon petit personnage que je me suis créée dans la profession. Betty la petite poupée blonde, tous se moquent de moi, personne ne me prend vraiment au sérieux et ils s’imaginent que c’est grâce à Damien que j’ai pu décrocher ce poste. Et bien je vais leur montrer qui je suis vraiment, ils verront bien tous ces gros machos. Un dernier coup d’œil dans le grand miroir de pied, je lisse un peu la jupe ample, mi longue, confortable et reboutonne un bouton rebelle de la veste cintrée : “hihi Indiana Jones en féminin…” riant en regardant la petite baroudeuse maquillée que j’ai face à moi dans sa tenue beige clair.La réception me fait appeler, mon contact est là, je frémis, le vrai reportage, ça commence enfin et je descends rapidement, mon petit sac en bandoulière. Il m’attend, un homme, la quarantaine, un visage ingrat et d’une maigreur incroyable. Je m’engouffre dans son taxi minable, ça sent fort à l’intérieur, je me cale à l’arrière, le laissant se consacrer à sa conduite, il me parle en mauvais anglais, je comprends un mot sur deux et réponds en gardant mon sourire, jouant mon rôle de blonde écervelée.On délaisse Belgrade, la route serpente dans la campagne profonde, j’ai le sentiment d’être dans la Creuse, c’est désert, vallonné, quelques rares villages décharnés, l’Europe n’est visiblement pas passée par là. Plus on s’enfonce et plus la misère est visible. A l’approche d’un énième village, au bout de deux heures de routes défoncées, il s’arrête enfin en pleine grand rue. Je regarde autour de moi, inquiète, l’endroit est sinistre et bizarrement quelques jeunes filles très jolies déambulent dans les rues délabrées comme si elles faisaient du shopping, cela me semble surréaliste. Je tends à mon chauffeur le billet de 100 € comme convenu. Il essaye bien sûr de grappiller quelques sous de plus mais je l’envoie promener fermement et sors. Il file sans demander son reste m’ayant indiqué une porte qui a dû être magnifique.J’hésite, regarde autour de moi, un amas de ruine, je ne me sens pas très rassurée, mon enthousiasme du départ à vite fondu. “Victor Grandjck” je relis une fois encore le nom de ce fameux cousin que je dois rencontrer. Mon coeur bat plus vite, une boule de peur nouée au ventre et j’entre, la porte grince, elle est dure à s’ouvrir, si j’avais voulue être discrète c’est raté, et je tressaute… un aboiement bestial m’accueille. Je fais un pas en arrière.“Tito!!! ???????!!” une grosse voix au fond de la pièce, le monstre s’immobilise juste devant moi, grognant, les canines retroussées, montrant des crocs qui me font frémir de peur. “?????!! ?????!! ???? ????!!” Au ton de la voix, je comprends que je peux entrer et m’approche, hésitante, la gorge serrée.“Heu bonjour Monsieur… Victor Granjck? Je suis Betty Duval, la journaliste française,” m’approchant timidement, m’habituant à la pénombre, je peux le distinguer, l’homme est repoussant, pas plus grand que moi, pas plus d’un mètre soixante, un ventre énorme qui tend le tee-shirt qui a du être blanc un jour, je retiens un peu ma respiration, l’odeur qui se dégage de lui est infâme.“Ha Bonjour Madame Betty, moi être Victor!!” Il s’avance, la main en avant pour me saluer, je blêmis sous mon maquillage et me force à garder un air avenant et lui tends ma petite main aux ongles bien faits, finement manucurée.“Vous …êtes… très… jolie … petite dame” butant à chaque mot en me détaillant sans se gêner. “Vous comprenez le français Monsieur Victor? L’anglais?” essayant de bien articuler en retirant rapidement ma main de la sienne. “Voui moi parler bien français petite dame” sa grosse voix et son accent agressent mes oreilles.“Puis je m’asseoir Monsieur Victor?”, repérant une chaise pas trop sale près de la table, encombrée de vieux cadavres de bouteilles de vodka locale.Je m’assois alors qu’il me fait signe et sors un calepin griffonné, je masque mon dégoût en lui faisant un gentil sourire. Il s’assoit lourdement face à moi, sa bedaine sort de son tee-shirt, et il gratte sa barbe naissante.Je commence à l’interroger, le questionne, il répond sans cesse à côté, restant vague, me fixant lourdement de ses petits yeux de cochon. “Vous connaissez cette fille Monsieur Victor?” Lui montrant la photo de la fille sortie des griffes de l’enfer de la prostitution parisienne.Il prend la photo et je peux voir son visage se transformer, je frissonne, je comprends qu’il la connaît. Le dogue, qui jusqu’ici était resté calme, redresse la tête et grogne alors que la porte grince dans mon dos.La main de Victor l’apaise et je tourne la tête. Deux hommes sont là, bien habillés eux, des costumes sombres, élégants, visiblement taillés sur mesure et mon sang ne fait qu’un tour, comprenant immédiatement à qui j’ai affaire.“Arf, oui moi la connaître petite dame… elle… pute… elle bien sucer… bonne bouche…”. Son regard me fait frémir et son rire résonne dans ma tête, je tremble de peur et essaye de garder mon calme alors que les deux brutes m’encadrent dans mon dos, restant silencieux.“Heu merci Monsieur Victor, merci…” me levant en refermant mon calepin. Aussitôt les deux brutes posent leurs mains sur mes épaules et me font me rasseoir brutalement. Le gnome se lève et leur parle en serbe. Je tremble, sans comprendre mais au ton de leurs voix, il est clair que c’est lui le chef. Je viens de me faire piéger. Tout s’affole dans ma petite tête.“Heu la police sait où je suis Monsieur Victor?!” bafouillant, essayant de me rassurer moi même. Je suis prise d’une peur panique et je reste assise, encadrée par les deux malabars, essayant de convaincre mon interlocuteur que la police va arriver.“Politzia!! canlı bahis şirketleri haha… moi être Poltizia petite dame!! “ et il m’exhibe sous le nez une carte de police en riant tout en se rapprochant de moi, son gros ventre écoeurant près de mon visage.Je tressaute, sa grosse main sale sur mon menton, il me force à redresser ma tête, je tremble de peur, les yeux emplis de larmes, affolée. “Toi peut être bonne pute aussi!”. Les deux hommes dans mon dos rient, comprenant ce qu’il vient de dire et me tiennent fermement par les épaules.Je grimace, sa grosse main empoigne mon menton, il me fait mal, je hurle dans ma tête mais aucun son ne sort de ma bouche. Il me force à ouvrir la bouche en riant grassement“Toi sucer aussi bien?” plaquant ma bouche ouverte bien à plat sur ses poils du ventre, je grimace, il m’étouffe avec son bide visqueux, j’essaye de me dégager mais les deux autres me tiennent plaquée contre lui.Il rit en me repoussant enfin, je respire fort, suffoque. et il ouvre d’un coup ma veste, arrachant les boutons, plaquant ses grosses mains bien à plat sur ma poitrine, la triturant brutalement, je grimace, tremblante alors qu’il fait sortir mes seins des balconnets, et les lèche.Je ne peux que le regarder faire, écœurée, tremblante, incapable de bouger, maintenue par les deux brutes. Sa main sur ma nuque, je grimace, mes joues fardées sont rapidement souillées de larmes. Je tremble en le voyant se débraguetter lentement, prenant son temps et sortir une queue molle, écœurante.L’odeur de pisse sale envahit mes narines alors qu’il me force à me pencher vers lui. Je manque de vomir en serrant les lèvres et une gifle me fait tressauter sur place.“Toi être gentille avec moi sinon Tito s’occuper de toi compris salope!”. Une deuxième gifle me fait crier, je blêmis, voyant le chien se lever à l’énoncé de son nom, il me grogne après, je tremble, comprenant de suite que ce n’est pas une plaisanterie et que si je voulais survivre, il me fallait être docile.Je grimace, ravale mon dégoût et me penche vers le gnome repoussant, et gobe le sexe mou dans ma bouche. Jje ne peux pas me retenir et je lui vomis dessus en le repoussant malgré moi. Les deux géants éclatent de rire et une autre gifle sèche me secoue brutalement… je ravale un sanglot et reprends le sexe à la bouche, fermant les yeux, évitant de respirer les effluves repoussantes. Une série de flash, je suis photographiée, exhibée, en train de subir ce viol.De loin, en planque, le mercenaire observe avec des jumelles la ferme … Il n’en croit pas ses yeux, il voit une poupée blonde habillée comme un mannequin Prada se diriger vers la tôle de ces salauds, Il se demande qu’est ce va faire cette gourde chez ces affreux, spécialisés dans la traite des blanches, une folle suicidaire, ou alors un piège, c’est la troisième jolie fille après les deux d’hier . Et elles, ne sont pas ressorties… “C’est Noël tous les jours pour ces salauds. Pas mal cette petite blonde, mignonne à craquer, mais qu’est ce qu’elle va faire dans ce piège.” Il hoche la tête, inquiet il connaît les méthodes de ces brutes, pour briser leurs victimes: viol, accouplement bestial, drogues, alcool tout y passe, transformant une femme en loque, une épave brisée, après juste bonne à faire de l’abattage dans des bordels. Tu ne peux pas la laisser juste en spectateur et attendre deux jours.” Il devient sentimental, le début des soucis pour un mercenaire. Tu n’en as rien à attendre, et en plus il va falloir que toute la semaine tu fasses le larbin de cette poupée Barbie…Emu par l’aspect volontaire et décidé de cette petite bonne femme blonde, qui ne manque pas de courage, il décide de ne pas attendre la nuit . Il descend vers cette masure qui tient par miracle. Il avance prudemment, cherchant une éventuelle sentinelle et s’approche par derrière. Il marque alors un temps d’arrêt, écoute et observe la scène à travers une fissure de la porte.La petite bourgeoise parisienne découvre les brutes yougoslaves. Il la voit déjà en train de besogner une grosse brute. Il la trouve bien foutue, à son goût avec en plus un look intello. Il ne faut pas les laisser briser cette jeune femme, certes trop naïve.Il compte les participants, trois plus le chien. Il doit être dressé pour le porno car il ne perd rien de la scène en bavant. Sur la base de sa surveillance, il en manque un voyou et un chien qui doivent faire une ronde à l’extérieur. Il décide d’y aller malgré le risque de se faire prendre à revers. Il visse le silencieux puis enlève le cran de sûreté du Glock.Je manque de vomir à nouveau, je sens le sexe durcir dans ma bouche, les deux brutes me lient les mains pendant que le gros guide ma petite tête blonde sur son ventre, je grimace, dégoûtée mais me concentre, voulant rester en vie, je suis bien trop jeune pour crever ici, je pleure de rage en m’activant, de la salive coule sur mon menton, le sexe prend de l’ampleur dans ma bouche. Je suis au bord l’écoeurement, ses salauds me tripotent les seins en faisant des commentaires en serbe, je comprends rien mais me doute fortement de leurs remarques.Le boss me triture les cheveux, se crispe contre mon visage, je le sens prêt à venir. il s’enfonce au plus profond, me fait toussoter, je râle, crache et il me gifle en me plantant son sexe à nouveau dans la boucheL’un des géants saisit un bâton avec un god en embout. Un modèle magnum du diamètre d’un poignet de femme, on dirait du latex, comme un empilement de boules de plus en plus grosses. L’autre soulève ma jupe, la relève sur mon dos. Ma culotte couleur chair fin, comme une seconde peau, moule mes fesses. Je ne peux m’empêcher de me débattre, augmentant la tension des hommes. J’ai bien conscience de devenir un vrai appel au viol. Quelques claques sur les fesses, me forcent à m’exhiber encore plus, je les sens rebondir, sous leurs coups, je me cambre encore plus, paniquée.La brute baisse ma culotte, et enfonce le god entre mes fesses, il fait tourner aller et venir le long manche en bois, un bon mètre de long … des mots des rires en serbes, ma croupe se tortille j’essaye d’accompagner la pression, … “You will have a big big ass hole, now, Miss Betty”. Les flashs continuent. “Violée, et en plus je vais faire la une de sites internet porno ou BDSM.”Le gros râle en triturant mes cheveux et lâche son sperme dans ma gorge, je recrache le foutre sur son ventre en toussant. Il rit en essuyant sa queue sale dans mes boucles blondes. “A votre tour, elle est à vous les gars!! profitez en avant que l’on fasse taire cette salope.”Je tremble de peur, les deux canlı kaçak iddaa brutes me soulèvent de ma chaise, me font me pencher sur la table brutalement, et je me débats alors qu’ils troussent la longue jupe ample sur mes reins, dévoilant mes petites fesses, ma culotte de voile fin descendue à hauteur de mes chevilles, ils rient dans mon dos en me triturant mes fesses.Je n’ose pas bouger, tétanisée de peur, comprenant que je risque de mourir dans cet endroit, loin de tout… je pleure en silence, et hurle de douleur en redressant la tête alors qu’il me sodomise avec ce pal de bois. Je manque d’air, la pièce résonne de mes hurlements, je n’ose même pas bouger de peur de me faire déchirerJ’entends un bruit sourd, puis un craquement, quelqu’un donne un coup de botte dans la porte de derrière. Vermoulue elle cède facilement, juste quelques craquements.Un homme en tenue de combat cible le chef, il tire, un plop assourdi, un balle dans le front le gnome s’effondre. Les deux autres ne réagissent pas, trop concentrés à leur besogne.Il hurle en serbe, les deux géants lèvent les mains sur la tête et se rangent contre le mur. Le chien grogne menaçant. Il lui fait face.Je me tourne vers lui, honteuse. Je sursaute, le gnome tombe devant moi, je ne comprends pas, redresse la tête, la douleur dans les reins irradie mon corps. Je sens s’arrêter les mains dans mon dos, mes fesses, il reste toujours le pal enfiché profondément en moi. Je n’ose pas bouger, tremblante, me demandant ce qui se passe, le chien grogne, prêt à bondir mais reste immobile.Toujours tremblante, en proie à une crise de nerfs, je tourne la tête, j’ai du mal à bouger tant la douleur est forte entre mes reins… un quatrième homme, je ne comprends pas, je hurle de peur, voyant l’arme à sa main… pensant que tout va s’arrêter là…“Don’t move Miss. I am a friend.” L’inconnu tient en garde en les deux autres vermines, il hurle en Serbe. Les deux géants se mettent à genoux sur le sol.. Il dégage un poignard de sa botte et passe dans mon dos. De la main gauche il “dévisse” le pal enfiché dans mon anus. “Sorry Miss” But it is deep in your ass”. Pour l’ôter, il lui imprime un mouvement lent de va et vient, je ne peux m’empêcher de gémir, de me cambrer pour essayer d’apaiser la douleur lancinante, je rougis, honteuse. ll tranche enfin les liens de mes poignets.Je comprends enfin que c’est un sauveur inattendu, et me calme petit à petit. Je reste secouée, de spasmes épisodiques, inerte sur la table alors qu’il me retire le pal lentement, doucement presque amicalement. Je soupire… souffle fort en me déliant les mains, essayant de me calmer mais je suis prise de tremblements, lissant la jupe ample sur mes cuisses, reboutonnant comme je peux la veste déchirée…”heu thank’s sir, thank you very much” et je me jette à son cou en pleurant…. les deux serbes en profitent pour se redresser et essayent de le maîtriser. Je tombe sur le sol voyant les trois hommes lutter devant moi.“Putain de pétasse?!” hurle t-il … Il roule à terre, les deux colosses serbes lui sautent dessus, l’écrasent de leurs poids et son poignard est tombé à terre. Le chien se jette sur moi, je hurle de peur, dans un réflexe de survie, je ramasse le couteau qui a giclé à mes pieds que je vois devant moi, je le tiens en avant. Le chien dans son élan vient s’empaler dessus, et tombe la gorge déchirée.Il maudit cette fichue blonde au petit cerveau, il s’en veut de son sentimentalisme. Son combat à mains nues contre les deux poids lourds le ramène vite à la dure réalité, les règlements de comptes attendront. Ses poings viennent frapper le premier agresseur avec une v******e inouïe en même temps sur les deux tempes, sous le choc et la pression interne dans son crâne, les yeux sortent de leurs orbites, le serbe hurle et s’effondre. Son collègue voyant la tête exorbitée se “pisse” dessus, il tremble, en totale panique. L’inconnu se redresse et s’approche du dernier salaud, les mains en avant, en serbe, il lui hurle au visage. L’autre lève les mains et les pose sur sa tête, immobile… Puis il se tourne vers moi “You the girl, Come here quick, where are you from?? “Je tremble, je viens d’égorger un chien, moi qui n’ai jamais fait de mal à une mouche, je regarde l’homme qui gît à mes pieds, les yeux sortis de leurs orbites. Je ne peux me retenir, je me tourne et rends de la bile en me penchant en avant, tremblante, secouée de spasmes nerveux.Je regarde mon sauveur, ayant du mal à réaliser que je suis encore en vie… “Parlez vous Français? je suis Française…” réussissant à me calmer pour prononcer ces mots, oppressée, le regard apeuré, le visage, le maquillage dégoulinant.Enfin, il me parle, j’existe pour lui “Ce sera plus simple, je m’en doutais à votre accent. On va finir de régler nos comptes avec ces salauds. il faut se dépêcher la fourgonnette qui amène les femmes à former devrait arriver dans vingt minutes. Il faut que nous ayons déguerpi avant ou je ne donne pas cher de notre peau.”Profitant de cet échange, le prisonnier tente une attaque désespérée, il n’a pas le temps de bouger le petit doigt, il reçoit un coup sur la nuque du tranchant de la main. Il s’écroule, sa tête faisant un drôle d’angle avec son corps. Je tremble et hurle en le voyant faire alors qu’il tranche le sexe de sa victime d’un geste méthodique, tranquille comme s’il dépeçait un poulet.. “Mais vous êtes fou!!! me jetant à son cou, je lui tabasse le torse de mes petits poings en vidant ma colère, ma haine sur lui… Je m’écroule en m’arrêtant enfin. “Betty, Betty Duval, je m’appelle Betty… “ bafouillant en reniflant, à genoux, en larmes à ses piedsIl me claque, un aller retour, “Du calme la comédie hystérique, l’excitée on obéit et on met entre parenthèse sa pudeur, son côté sainte nitouche boy scout. Tu as choisi de venir ici et je suis trop sympa, en t’aidant à sortir de guêpier. Si tu préfères que je te laisse en cadeau à ces brutes, tu te retrouveras vite attachée écartelée sur le matelas où ils dressent leur putes.”“Que cela soit bien net dans ta petite tête de poupée Barbie, je suis une brute épaisse, un salaud, ce que tu veux, mais je n’aurais pas été là, tu aurais passé dix ans entre leurs mains, à sucer, à te faire défoncer par des hommes, des chiens voire des ânes ou porcs à raison de 15 heures par jours. Puis un jour au petit matin, une balle dans la nuque et dans une fosse commune. C’est juste pour que cela imprime dans ta caboche, moi je n’ai pas envie de finir empalé ou brûlé vif en Serbie. Ici je n’ai pas le temps d’être sympa et de faire de la pédagogie. “Il se détend, canlı kaçak bahis et sentant qu’il a été loin, il reprend un ton normal. Il m’ordonne de déshabiller le le gnome et de passer ses vêtements. Je me sens prise en main, ses commandements pleuvent, précis. Il précise “Moi, C’est Jean, Jean Linus” et pour me rassurer “je vais vous ramener à Paris entière, c’est cela l’important, mais vous allez en baver la journaliste”. “Dans la montagne avec ta tenue de minette parisienne on est mort. Accélère, tu te mets complètement à poil et tu lui prends ses fringues. Et tu jettes toutes tes affaires dans le feu. il faut pas que leurs klebs nous trouvent.”.Il me désigne au fond de la salle une grande baignoire pleine d’eau où les serbes torturent leurs victimes. “Plonge dans la baignoire pour que l’on ne sente plus ton parfum Dior de tailleuse de pipe bcbg. Je te surveille, jette tout je t’ai à l’œil. “Je comprends vite que si je veux rester vivante, je dois obéir et vite et ne pas réagir à ses insultes, ses provocations, ses humiliations.Je frémis et me redresse, enfin calmée, respirant fort, le regarde, hésite à nouveau.“Tournez vous!!”. Il m’écoute haussant les épaules, d’un air, elle n’a rien compris, la minette. Je retiens mon dégoût en retirant le sale tee-shirt de la brute épaisse et je lui fais glisser son pantalon crasseux… je grimace, ses fringues puent la crasse. Je blêmis, humiliée et apeurée et retire mes fringues de luxe mes jolies fringues de baroudeuse des villes. je me retrouve nue, honteuse, évitant votre regard, tremblante et me dirige vers la salle de bain.“Ho mon dieu… “ l’odeur qui s’en dégage… je cesse de respirer et plonge dans l’eau croupie… en fermant les yeux… je grelotte et sors, ruisselante; J’aperçois son regard sur ma petite personne. Je rougis à lire ce que je lis dans vos yeux et me tourne pour enfiler les fringues de Viktor. Cet abruti à la même taille de chaussures que moi. Je suis enfin prête, regarde l’inconnu du haut de mon mètre soixante, les seins pointant sous le tee-shirt sale, j’ai serré comme je peux ce satané falzar qui baille tenant à peine sur ma taille fine.Il me jauge, “Tu es vraiment pas mal foutue Betty, je comprends que ces brutes t’aient sauté dessus, surtout avec ta posture d’allumeuse me semble t’il?! Un sourire. Frotte toi bien partout. Décape toi. ““Pour mes commanditaires, Madame, vous n’êtes qu’un détail, si vous y restez, si vous êtes reprise, vous serez une simple bavure en quelque sorte, je peux vous laisser et vous abandonner ici, je ne sais même pas si ton chéri me dédommagera. Pour eux, le but est de détruire cette filière, les dégâts collatéraux, ils s’en balancent. Tu as eu de la chance de tomber sur un salaud sensible, alors n’en abuse pas. ”. Voyant mon air paniquée, affolée, il lâche ”Pas de panique, ma petite dame, je ne suis pas comme eux, par contre, il va falloir y mettre du votre si vous voulez revoir Paris et sérieusement. Si vous mettre nue devant moi c’est toute une affaire, alors cela promet, parce qu’il va falloir faire bien pire je le crains. .”“Vous allez m’accompagner ma belle, vous êtes adorable, ce tee-shirt vous donne un charme spécial et avec ce pantalon si facile à faire tomber, notre marche vers Belgrade va être agréable…” . Il me saisit par le poignet et m’entraîne dehors. Nous sortons de la ruine au pas de course. Je frémis de plus belle… grimace alors qu‘il me tire à lui “Vous êtes pareil à eux, espèce de salaud!! je suis le bonus de personne vous entendez!” Titubant alors qu’il me force à courir à ses côtés, je cesse enfin de parler et le suis soufflant, le sport en plein air n’ayant jamais été ma tasse de thé.Nous arrivons rapidement dans la forêt, j’ai le souffle coupé, je n’en peux déjà plus au bout de dix minutes de courses dans les bois, retenant sans cesse ce satané pantalon qui manque sans arrêt de glisser sous mes fesses nues.D’une main, je le vois balayer le village avec ses jumelles. il me montre du doigt, une fourgonnette arrive. Il me décrit la scène : quatre personnes deux chiens pour venir livrer leurs cargaisons de femelles. Ils découvrent notre massacre. “Betty la chasse commence J’espère que ta puanteur va les égarer. En même temps il remonte mon pantalon. On ne montre pas ses fesses tout le temps Melle l’allumeuse. Au fait, c’est un compliment pour toi Betty. Quel cul?!” Il se tourne vers moi l’air amusé.Je tressaute, rougis alors qu’il me claque les fesses en remontant le pantalon.“Ho mais!! je ne vous permets pas!!”protestant en reculant, outrée de ce geste vulgaire… respirant fort. Je regarde au loin… ça fourmille dans le village, j’ai peur et lui prends les jumelles des mains, lui tournant le dos, je regarde, le pantalon glisse a nouveau et découvre la moitié de mes petites fesses juste devant lui, concentrée sur la vision des jumelles, je ne me rends compte de rien. J’aperçois les pauvres filles, elles semblent complètement paumées, elles sont torse nu, attachées ensemble par le cou, l’une d’elle a le visage tuméfié, je frémis comprenant qu’elle a du se rebeller. Je tourne la tête vers Le militaire, regard affolé…En même temps la main de Jean me pelote les fesses sans gêne, et se permet même des compliments sur la douceur de la peau de mon cul et mes qualités de suceuse, de “tailleuse de pipes” et il ajoute “en plus avec ce rouge à lèvres, c’était encore plus hot style la bourge et le gnome bestial, j’en bandais presque quand tu le suçais goulûment et sans préservatif. Tu devrais faire carrière dans le Porno plutôt que dans le journalisme”. Redevenant sérieux, il me demande “on abandonne ces pauvres filles??”.Je lui renvoie “épargnez moi vos commentaires sur mes talents supposés et cessez de me tripoter espèce de salaud!” me dégageant, tremblante. Je le regarde, il lit dans mes yeux de la reconnaissance malgré mes dires “heu vous pouvez faire quelque chose? on va pas les laisser là?”Il opine et rajoute “A votre service ma petite dame, J’ai une idée mais il va falloir payer de votre personne.”. Avec les jumelles, on distingue les filles une brune et une rousse, en jupe, les seins à l’air, des chaussures hautes de ville, les mains attachées dans le dos attachées ensemble reliées par une chaîne autour du cou. Je l’écoute tremblante, ayant peur de comprendre… n’osant pas dire un mot moi qui habituellement débite un flot impressionnant de paroles inutiles… je reste sans voix…Jean m’explique en détail son plan : “Je suis totalement bilingue serbe français. Je vais me faire passer pour un des leurs qui t’a retrouvée en fuite dans les bois. Pour les surprendre je vais te ramener nue à poil. En te matant, ils ne réfléchiront pas. Surtout si je rajoute une touche cochonne obscène” Il attend mon approbation, tout en continuant à les surveiller avec les jumelles. Il me fixe, “Alors Betty on se dégonfle??”.

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