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Mures46/je choisis la plus vieille putePeu de temps avant Noël, je repère une annonce qui m’attire tout d’abord par la photo qui l’accompagne.Trois vieilles dames hilares sont habillées de rouge et blanc, en Mère Noël, mais leurs poitrines dénudées s’échappent de leurs bustiers. L’une est carrément grasse, l’autre un peu maigre, les cheveux gris, les seins tombants, et l’autre arbore un visage un peu sec et allongé, mais avec des nichons sur lesquelles j’ai envie de gicler.L’annonce prétendait que les trois donzelles de près de trois quarts de siècles chacune étaient des grand-mères qui en avaient marre de travailler à la cuisine pour tout le monde, et qui désiraient prendre du bon temps avec de jeunes amants, moyennant finance naturellement.Il fallait appeler un numéro, ce que je fis immédiatement. Une hôtesse me répondit, et me demanda de prendre patience. J’avais l’impression d’avoir atterri dans la centrale d’un bordel, qui allait me mettre en relation avec la vieilles cochonnes que je rêvais d’enfiler.Bien entendu, cette annonce n’était qu’un leurre destiné à aiguiller des istanbul escort naïfs en rut dans mon genre vers des numéros surtaxés.Furieux de ma bêtise, je m’apprêtais à quitter la ville et à prendre un train, non sans faire un crochet par une maison de trois étages en plein centre, un véritable nid de putes, dans lequel je venais de jouir superbement avec une jeune hongroise brune nommée Laura.Fine et racée, cette jeune fille m’avait délicieusement léchouillé le gland, sans préservatif, et tout en continuant à discuter très gentiment, avait fait rouler mes couilles dans sa bouche comme des bonbons qu’elle aurait voulu faire fondre.Je me voyais étendu sur ce lit, sans vraiment comprendre par quelle magie cette jeune fille que je ne connaissais pas il y a 5 minutes penchait sa jolie tête brune pour déguster mes bourses, tandis que je branlais ma grosse queue. soudain, elle voulut s’asseoir sur ma bite. D’habitude, cette position ne me fait pas jouir. La jolie jeune fille dégustait le membre de ses lèvres du bas en se l’enfilant elle-même à son izmir escort rythme. Elle se godait sur moi. A ma grande surprise, ses mouvements lents imprimèrent à ma tige des frissons de jouissance. Son vagin me suçait. Sa vulve me faisait une pipe. En quelques minutes, le con vibrant, ferme et musclé de Laura me tira tout mon jus. Cette jouissance inattendue me fit revenir quelques jours plus tard. Sa nouvelle pipe me donna de nouveau du plaisir. Elle me bouffa bien les couilles une seconde fois, et je montai sur elle avant de gicler. Par contre, je ne ressentis rien en m’enfonçant dans sa jolie petite chatte. Elle ne devait plus avoir envie, et rien de frémissant ne se communiquait plus à ma bite.Je finis par lui demander de me relécher les boules, pendant que je me faisait gicler en me branlant, comme à l’heure du thé sur le canapé de Brigitte.Habité par ces souvenirs, et tout énervé de ne comprendre à mes dépens que les trois grand-mères aux seins tombants n’étaient que des mirages, je sonnai à l’une des portes de ce bordel.Trois filles attendaient kars escort dans ce studio qui s’ouvrait par un bar, devant une petite cuisine. L’une d’elle lisait un magazine, à moitié couchée sur un canapé de cuir. C’était des brésiliennes et des filles de l’est.La vieille maquerelle me les présenta.Aucune de ces filles ne m’inspirait. Elles étaient banales, vulgaires. Encore habité par mon envie de vielle cochonne, je demandais à la maquerelle rondelette et mûre comme un melon juteux: et avec toi? Ce serait possible?elle fut surprise, mais accepta, ce qui amusa grandement les trois gourgandines aux formes aussi bombées que leur personnalité semblait plate.La vieille pute souriait aussi, amusée, en passant devant ses pensionnaires pour me conduire dans une des chambres.Elle m’a embrassée de manière appuyée. En se dégrafant, ses gros nichons tombants la rendait encore plus pute qu’avant, si tant est que cela soit possible. Elle avait un certain empressement à me fourrer la langue dans la bouche, à me gober les boules.Elle semblait assez contente de se prendre ma bite qui lui faisait du bien dans sa vieille fente, à moi que ses petits cris émaillés de mots espagnols ou portugais n’aient été que pure simulation.Ma giclée n’était pas simulée. J’aurais néanmoins préférer fourrer de sperme les vulves baillant de désir et d’ennui des vieilles ménagères de l’annonce.
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