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Severine

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Babes

SeverineLa journée sera magnifique constate Séverine en ouvrant les volets. Il est 8h00 du matin et ses deux petites filles entament leur petit déjeuner. Elle est déjà prête et se prépare à partir avec ses enfants à l’école où elle est employée comme secrétaire dans une école primaire privée. En ce moment, son mari, Christian, 37 ans, travaille énormément. Il est graphiste et patron dans une petite boite de C.o.m qu’il a monté il y a un an de cela et les commandes afflues. Il lui arrive même de passer de nombreuses nuits blanches à la boite. Cela gène beaucoup Séverine car même si son mari réussit en affaire, leur vie privée en pâtie. Séverine est une femme de 33 ans, marié à Christian depuis 9 ans. Ils ont deux petites filles et en apparence, Séverine semble comblée du petit train- train quotidien de cette vie de famille on ne peut plus banale. Elle est d’éducation bourgeoise et puritaine. Elle a suivi les préceptes inhérents à ce genre d’institution à savoir se marier, avoir des enfants et les élever en leur inculquant les bonnes manières. Son travail lui plait et elle côtoie des gens biens issues du même milieu qu’elle.D’ailleurs, il est temps de partir car il est 8h30 et elle commence à travailler à 9h00 d’autant plus qu’il lui faut déposer la cadette à la crèche. Elle fait grimper ses fillettes dans la voiture et file au boulot. Elle pense à ce soir, car elle a décidé de faire une surprise à Christian. Ses enfants seront hébergés chez un couple d’ami et elle organisera un petit dîner en amoureux. Elle a vraiment envie de se retrouver avec son mari. Arrivée à l’école, elle file en vitesse au secrétariat. Elle aime la promptitude et est vraiment consciencieuse dans son travail. Elle a du mal à courir, car elle porte une jupe rose pale qui lui arrive au dessus du genoux. Elle porte également un t-shirt moulant assortit à sa jupe. Son ensemble est impeccable car Séverine est une femme maniaque et propre sur elle qui aime s’habiller classe. Ses cheveux sont mi longs et coiffés en arrière. Ils sont maintenus par un serre- tête bleu. C’est une jeune dame aux cheveux châtains et aux yeux verts d’ 1m58 pour un poids d’environ 52 kg . On peut ajouter que ses deux grossesses lui ont donné « un peu de fesse » et elle fait du 40 de tour de taille. Pour finir, elle a de petit seins (85 B) ronds qui tombent un peu mais dans l’ensemble, c’est un très jolie brin de femme bourgeoise qui attire facilement le regard des hommes.La matinée est banale comme d’habitude dans ce genre d’établissement. Midi passe et Séverine avec une de ses collègues vont se restaurer à la cantine. La collègue en question est une de ses amies et c’est elle qui héberge les fillettes pour la nuit. En arrivant prés du réfectoire, elles voient à l’entrée une bande de trois jeunes de 16 ans ,visiblement pas du coin et qui fument une cigarette voire autre chose. Séverine abhorre le tabac et la drogue et se précipite pour remonter les bretelles à ces jeunes. « Qu’est ce que vous faites ici ? Vous n’avez pas honte, bande de voyous ! » hurle t’elle. L’un d’eux tente de se justifier avec un fort accent de jeune de cité. « Qu’est ce que tu nous veux toi ! on attends un petit frère ! » Séverine, hors d’elle, reprend : « Vous n’avez rien à faire, ici ! Filez ou je préviens la gendarmerie !! » Furieux, les jeunes s’en vont et disparaissent. Fier d’elle et de son autorité avec une impression d’avoir chassé le vice de son environnement, elle rentre avec son ami dans le réfectoire. Son intervention fait le tour de la petite école et on la félicite. Enthousiasmée par tant de reconnaissance et son acte héroïque, Séverine décide de rester travailler un peu plus tard que d’habitude d’autant plus qu’elle n’a pas à s’occuper de ses enfants. Puis elle pense à son mari et après avoir classé un peu de courrier, décide de rentrer préparer le dîner. Elle ferme à clef son lieu de travail et prend le chemin de son véhicule.Soudain, une voiture blanche la frôle à une vitesse incroyable et freine d’un seul coup. Séverine sursaute . La voiture recule et se met à son niveau, il y’a quatre jeunes d’environ 18-20 ans. L’un d’eux, un beur à la casquette blanche qui semble bahis firmaları être le chef du groupe l’interpelle : « Alors, la bourge, y paraît que t’as envoyé balader trois de nos frangins ce midi ! » Séverine ne dit rien et les ignore d’un air hautain. La musique est à fond , c’est du rap et Séverine déteste ce style de musique. Elle correspond à une catégorie sociale qu’elle méprise. Elle a quelques préjugés racistes et n’aime pas ces jeunes de banlieues qu’elle considère comme des parasites de la société. La jeune femme se dirige vers la voiture. « Eh, dis donc la bourge, c’est pas poli de pas répondre au gens ». Cela en est trop et Séverine se lâche : « fichez moi le camp, bande de racaille inutile ! ». L’arabe sort furieux tandis que le conducteur, un rouquin , monte le son. « Tu te prends pour qui, salope ! Tu vas voir ! » L’un des gars à l’arrière ouvre la portière et le beur ayant saisit la femme par les bras, la pousse sans ménagement dans le véhicule.Puis il rentre et la voiture démarre en trombe. Séverine n’a rien compris de ce qui s’est passé et une main lui obstrue la bouche. Elle est allongée sur les genoux des deux jeunes de derrière. La femme sent les mains parcourir son corps et elle commence à se débattre mais cela est vain. La voiture fait une vingtaine de km et se gare enfin prés d’une bâtisse abandonnée qui fait office de squat. C’est un véritable chantier. D’ailleurs, il y’a une dizaine de jeunes à l’intérieur qui boivent des bières. Séverine est extirpée sans ménagement de la voiture. « C’est qui cette pute ?» demande un squatter. « C’est une bourge qui prétend que nous sommes une bande de racaille inutile ! ». L’assemblée commence à la reluquer de la tête au pied comme une sorte de marchandise. Le beur s’empare de son sac à main et le vide. Séverine, apeurée et humiliée par les regards salaces de ses ravisseurs bafouille : « P …prenez tout !! » Le rouquin s’avance et dit : « Je crois que t’as pas saisit, sale pute de bourge ! C’est pas ton fric qui nous intéresse…mais ton cul ! » Ces mots grossiers l’horrifient. Elle reconnaît deux des trois jeunes de ce midi. Ils la saisissent par les bras tandis que le beur sort une lame. « Panique pas ma salope, on va surtout pas abîmer un jolie corps de bourges qui sent si bon. »Les larmes coulent sur le visage de la jeune femme humiliée et résignée et qui dit en sanglotant : « Je vous en prie, je suis mariée, j’ai des enfants et… » L’arabe la coupe brusquement tout en tranchant lentement (il ne veut surtout pas blesser sa proie) de bas en haut le t-shirt moulant « Qu’est ce que ça peut nous foutre ! Fallait pas nous insulter, maintenant faut assumer et tu vas le payer de ton corps ! ». Il arrache violemment le t-shirt et le taillade en mille morceaux devant les yeux amusés de ses complices. « T’as des petits nichons, c’est pas terrible ça mais en revanche ils sont bien ronds ». Il en profite pour découper sa jupe qui subit le même sort que le t-shirt.La voilà en sous-tif exhibée aux yeux de tous. Très pudique, elle se sent humiliée d’être traitée de la sorte et pleure abondamment. Elle pense à son mari et à ses fillettes. Les gars regardent ce corps de bourgeoise bien entretenu. Ils regardent ses dessous choisis soigneusement. Séverine porte un soutien balconnet assorti avec dentelle et bretelles transparentes ainsi qu’un magnifique slip en soie ivoire. Les regards concupiscents la perturbe, la gêne et blesse son honneur de bourgeoise. L’arabe la saisit par le poignet et la pousse vers les jeunes qui la cueille au passage. Des dizaine de mains pelotent son corps et arrachent sans ménagements ses dessous en dentelles si délicats. La voilà complètement à poil aux mains de ses tortionnaires. Elle ne contrôle rien et son corps est malmené de toute part. Des mains malaxent ses petits seins ronds tandis qu’elle sent des doigts pénétrer sa chatte bien entretenue. On se la passe et chacun peut profiter de peloter les parties intimes de cette femme puritaine et coincée. Ils prennent plaisir à humilier cette mère de famille bien comme il faut. Des doigts sales et puants s’engouffrent dans sa bouche. Elle a un haut le cœur. Des mains palpent kaçak iddaa ses fesses un peu enrobées suite à ses deux grossesses et elle sent également un doigt pénétrer son anus. Séverine éprouve une sensation de sacrilège extrême. La voilà mentalement anéantie, son petit monde s ‘écroule et elle ne se débat plus, vaincue. Pourtant son calvaire ne fait que commencer. Séverine est forcée de se mettre à genoux devant ces ravisseurs. Elle pleure et supplie les jeunes de la laisser partir. En guise de réponse, tous baissent leurs pantalons et exhibent leurs sexes en érections. Ils sont énormes et elle semble un tantinet fascinée par ces braquemarts. Il faut dire que question anatomie masculine, elle ne connaît que le corps de son mari Christian. D’ailleurs, c’est lui qui l’a dépucelée à l’age de 21 ans. Elle n’avait jamais imaginée de relation sexuelle avant le mariage ni une relation extraconjugale et encore moins subir un viol collectif. Coté sexe, elle n’a jamais été très loin (au grand dam de son mari) car cela l’a dégoûte. Aujourd’hui la voilà obligée de subir les pires humiliations.Un jeune s’empare de la tête de la jeune femme et fait sauter son serre tête bleu. Il l’a saisit par les cheveux et enfourne son mandrin dans la bouche de Séverine sur le point de vomir. Mais elle n’a pas le choix et doit se résoudre à pomper le sexe de ce jeune gars excité à l’idée de se taper une bourgeoise. Elle qui a toujours refusée de pratiquer une fellation à son mari, la voilà obligée de sucer un inconnu. Elle est maladroite et cela énerve le jeune . « Espèce de poufiasse, va falloir faire un effort si tu veux qu’on te laisse partir ! ». Séverine pleure et paradoxalement ce n’est pas par la situation mais par le fait de ne pas être à la hauteur des attentes de son agresseur. Son honneur de femme est en jeu, elle se sent obligée de bien faire. Elle s’applique. « C’est mieux, salope ! C’est mieux ! Vas y ! »Le jeune commence à pousser des gémissements de plaisir et Séverine le ressent. Elle accentue le mouvement et d’un seul coup, le jeune se lâche. Le sperme envahit son gosier et elle a un mouvement de recul, dégoûtée. Les jeunes se marrent. « Va falloir te reprendre, la bourge ! Tous le monde veut se faire sucer ici ! ». Ainsi, la jeune mère de famille se met à pomper toutes ces queues à la chaîne. Elle commence à prendre le coup de main et sans s’en rendre compte, se prend au jeu. Elle finit par avaler le foutre qui jaillit par saccade dans sa bouche autrefois vierge de ce genre de substance.Elle se sent une autre femme où plutôt une véritable femelle désirée uniquement pour son corps. Cette sensation lui est agréable et au final, elle ne pleure plus. L’un des jeunes décide de la pénétrer et la plaque au sol tout en lui écartant largement les cuisses. Il regarde pendant un bref instant la chatte brune bien entretenue. Puis, sans ménagement, il viole Séverine à grand coup de reins. Séverine hurle et l’assemblée semble s’exciter. Le corps de la jeune femme est malmené. Ses petits seins ronds ballottent sous l’effet de la v******e du viol . La queue la pénètre avec fougue, sans délicatesse et la voilà qui commence à mouiller malgré la terrible humiliation à se faire baiser devant tout le monde. Le jeune se vide et rempli le vagin de cette femme qui accueille cette semence fécondatrice. Un autre prend le relais et à son tour et viole la jeune mère. Une fois s’être vidé les couilles, le beur retourne Séverine et la force à se mettre à quatre pattes. « On va t’apprendre un truc, ma pute ! ». Il sort sa queue et crache sur l’anus de Séverine qui se doute de la suite. Il applique la salive bien comme il faut et écarte le plus possible les fesses de la femme. « Regardez bien ce trou du cul ! ». Tous le monde à les yeux rivés sur l’anus de Séverine qui ne peut s’empêcher de fermer les yeux.Comment aurait- elle pu un seul jour, s’imaginer subir un tel supplice, une tel outrage à son intimité. Les jeunes semblent fasciné par cet anus de bourgeoise offert sans résistance. Se doutant qu’elle était vierge de ce trou là, le beur y va doucement. Séverine a mal et elle pleure. La sensation d’humiliation atteint son paroxysme. Le sexe kaçak bahis du jeune homme rentre tout entier dans le cul de Séverine et il commence à la ramoner. La sodomie subie par la femme stimule les jeunes qui commencent à faire la queue. Ils sont bien déterminés à profiter de ce cul de bourgeoise, certes un peu enrobés à cause de ses deux grossesses mais qui semble si bon à défoncer. La femme crie toujours et un jeune en profite pour la saisir par ses cheveux châtain et lui introduire son sexe dans la bouche. « Au lieu de crier, pompe moi le dard, sale pute ! » lui ordonne le jeune. Le jeune arabe prend son pied à défoncer le cul de cette bourgeoise. Il la bourre de plus en plus vite et arrache des cris à sa victime. Séverine, le cul en feu a vraiment mal et se demande comment certaines femmes peuvent aimer ce genre de pratique. Rapidement le beur ne peut plus se retenir et lui éjacule dans le cul par grosses saccades. Lorsqu’il se retire, le sperme dégouline de son orifice et Séverine reste à quatre pattes, le cul à l’air, en train de sucer le jeune de devant.Elle se sent soulagée mais un autre se glisse en dessous d’elle et commence à la pénétrer par le vagin. Il en profite pour lécher les petits seins ronds qui pendent au dessus de sa tête. Séverine apprécie. Un second jeune se met derrière elle et décide de la sodomiser à son tour. La voilà maintenant pénétrée par les trois orifices. Séverine commence à éprouver un certain plaisir, malgré la douleur de sa sodomie, à se faire violer de façon aussi crue. Elle s’abandonne au bonheur de se faire posséder et humilier par des hommes plus jeunes qu’elle. Séverine se fait baiser de la sorte pendant deux bonnes heures. Les jeunes se relayent et la femme n’a pas le temps de s’ennuyer. On lui a fait boire quelques bières de mauvaises qualités. Mais étant peu habituée à boire de l’alcool, elle est rapidement ivre et ses inhibitions s’en vont. Humiliée au départ, la voilà devenue une véritable salope avide de sexe.Maintenant, elle demande à se faire prendre par le cul. Les jeunes ne se font pas prier et devant les hurlements de jouissances de la femme, reprennent de la vigueur. Le cul et la chatte en feu, Séverine se laisse choir au sol et les jeunes se mettent autour d’elle. Son anus, son vagin et sa bouche dégouline de sperme. Elle écarte les cuisses et se caresse le sexe devant les jeunes mâles comme pour une invitation à poursuivre son viol. Certains qui ont su se retenir, commencent à se masturber devant cette femme offerte sans défense. Ils sont si excités que c’est par grosses saccades qu’ils éjaculent. Le foutre chaud se répand sur elle et instinctivement, elle l’étale bien sur son corps. Pendant un moment, ils la laissent par terre, pleine de sperme et les orifices en feu. Elle a du mal à se remettre de ce surplus d ‘émotions, elle qui à l’habitude d’une vie peu agitée et ordinaire. De leur coté les jeunes semblent satisfaits de s’être vider les couilles sur cette bourgeoise.Il est 21h00 et les jeunes la ramènent prés de chez elle et la laissent sortir du véhicule. Ils repartent en ricanant et en faisant un démarrage rapide. Séverine se précipite chez elle car bien sûr, elle est encore à poil et souillée de la tête au pied. Elle prie qu’un voisin ne la voit pas et que son mari ne soit pas déjà rentré du boulot. Ayant oublier ses clés une ou deux fois au boulot, elle a pris la décision de cacher un double sous un pot de fleur. Elle a de la chance. La maison est vide. Elle prend une douche et accueille son mari exténué par sa journée de labeur. Ce soir, pas de dîner aux chandelles.Les jours passent et Séverine repense à son viol. Elle culpabilise beaucoup et n’ose pas en parler à son mari. Elle a peur de briser son ménage et préfère garder le secret. Il lui faudra faire un test de grossesse car il est fort probable qu’elle se retrouve enceinte suite à cette séance de gang bang. Elle a peur, certes, mais les sensations éprouvés lors de cette journée la travaille. Ce mélange de viol, d’humiliation et de plaisir lui manque. Depuis ce jour et quant elle se dégage des contraintes imposée par ses enfants, Séverine reste travailler tard et gare sa voiture le plus loin possible de l’école. Elle prend son temps pour sortir et regarde autour d’elle. Elle attend, elle espère qu’une voiture blanche s’arrête prés d’elle mais cela ne s’est pas reproduit depuis…….

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