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Chère lectrice, cher lecteur,
Ce que vous vous apprêtez à lire n’est que pure fiction. Les personnages et situations ne représentent en rien la réalité. Gardez bien à l’esprit que dans le monde réel comme sur les réseaux sociaux, le respect et le consentement mutuel sont des règles qui ne doivent, sous aucun prétexte, être bafouées. Un fantasme n’a pas forcément pour vocation à être réalisé et peut très bien rester votre jardin secret. Maintenant que cela est dit, il est temps de quitter le monde réel… Videz votre esprit… Abandonnez-vous… Ouvrez en grand les portes de votre imagination… Et laissez-vous glisser avec délice dans les méandres charnels des rêves humides…
Je m’appelle Emma, j’aurais 20 ans dans 1 mois. Je suis brune, les yeux verts et on me dit assez jolie. Pendant des années j’ai fait de la gymnastique. J’ai su m’entretenir et c’est sûrement pour cela que j’ai le corps que j’ai aujourd’hui. Ce soir-là, ma copine Sophie m’a proposé d’aller à une soirée assez branchée. J’ai carrément sorti le grand jeu : robe noir moulante, talons hauts et maquillage. J’étais vraiment au top. Malheureusement, la soirée n’était pas comme on l’avait imaginé. Vraiment pas terrible. On est donc reparti chez elle avec ses potes Téo et Jenny.
C’est une fois chez elle que j’ai senti le coup foireux. A peine arrivé, son frère, le genre puceau, m’a fait un sourire de gros pervers. Il n’arrêtait pas de me mater. Il croyait sûrement que je ne le voyais pas, mais si. Il n’était tellement pas discret… J’ai rapidement jeté un coup d’œil dans la maison et j’ai tout de suite vu les mouchoirs sur la table. C’était dégueu! Je suis sûr qu’une minute avant, le mec était encore en train de se palucher devant un film de cul. Il avait dû vite changer de chaîne quand on est arrivé. Qui regarde un documentaire animalier en pleine nuit. Son regard sur moi était tellement gênant. Je commençais à regretter d’avoir mis une robe aussi courte. C’est quand Sophie s’est adressée à lui que j’ai compris que ça craignait.
— Bon, je vais raccompagner Téo et Jenny chez eux et je reviens chercher Emma après.
Putain, elle allait vraiment se barrer et me laisser seule avec lui? Mais j’eu à peine le temps d’y penser que la porte claqua et la maison plongea dans un silence des plus gênant. Le mec ne disait rien. On était là, comme deux cons. Puis, juste au moment où je voulu casser ce silence avec une banalité, il me sortit une phrase à la con.
— Tu veux t’asseoir?
Putain, c’était quoi cette question? De la manière dont il l’avait dit, ça avait sonné à mon oreille comme : tu veux t’allonger sur mon lit? Putain, ce mec me foutait les jetons. Mais qu’est-ce que je pouvais bien répondre à ça? J’avais beau chercher…
— Oui.
Putain, j’avais dit oui. Mais quoi dire d’autre? Du coup, je me dirigeai à l’extrémité droite du canapé, celle la plus proche de la porte d’entrée, on ne sait jamais. Je m’assis et fis semblant de m’intéresser à son documentaire de merde. Mais au bout de quelques instants, baissant le regard je me rendis compte que machinalement j’avais croisé les jambes et qu’on voyait le haut de mes bas. Putain, le puceau üniversiteli gaziantep escort derrière moi devait bien se rincer l’œil. Je les décroisai immédiatement. Ha! Il devait bien apprécier le spectacle, ce pervers. Combien de temps il allait encore rester derrière moi cet obsédé? Il ne voyait pas que c’était malaisant? Puis, sorti de nulle part, il me demanda :
— Tu veux quelque chose à boire?
Bon, pourquoi pas. Comme ça au moins il va me lâcher quelques minutes.
— Heu… oui, pourquoi pas. Tu as quoi?
Il semblait réfléchir… À croire qu’il ne vivait pas ici.
— Heu… je crois… du soda… ou du jus de fruit.
— De l’eau, ça ira très bien
En lui répondant, je me rendis compte que j’avais une de ces soifs. Il était parti à la cuisine. Qu’est-ce que ça faisait du bien de ne plus l’avoir dans le dos. S’il pouvait rester dans cette foutue cuisine jusqu’à ce que Sophie revienne, ça serait vraiment cool. Mais mon souhait ne se réalisa pas et il fut de retour la minute suivante avec un verre d’eau. Je lui pris des mains et le bu d’un seul trait. Je lui tendis le verre vide, mais il ne réagit pas. Il restait là à me regarder fixement sans bouger. Flippant le mec. Mais à quoi pouvait-il bien penser? J’agitai alors le verre, ce qui le sortit de sa torpeur. Il disparut dans la cuisine. Va crever dans ta cuisine pauvre type…
Je retirai alors mes chaussures pour être plus à l’aise. Oh putain, que ça fait du bien. Je vais pouvoir plier mes jambes. A la télé, l’émission avait changé. C’était maintenant un défilé de mode. Les robes étaient vraiment pas mal. J’aurais pas craché sur une ou deux de la collection. Soudain le puceau réapparu. Fait chier! Après un instant d’hésitation, il s’assit sur l’extrémité gauche du canapé. C’est ça, reste bien loin, connard. Si tu t’approches d’un centimètre, je hurle. Le défilé a la télé m’intéressait vraiment, mais j’étais tellement claquée que j’avais du mal à suivre. Mes yeux se fermaient régulièrement. Je sentais mes paupières lourdes. Bientôt ma tête tomba. A plusieurs reprises je la relevai, croyant que je pourrai tenir. Mais la fatigue était trop grande. Mon esprit devint flou et je sombrai.
Après ça, ne me reste que de vagues souvenirs d’un rêve étrange. Je me rappelle d’une brise sur mes jambes. Je sentais comme une fraîcheur sur la peau de mes cuisses. Puis des sortes d’animaux qui couraient sur mon corps… mes cuisses… mes seins. Je me rappelle d’un fruit que je portais à ma bouche, comme une grosse cerise bien mûre, tandis que les animaux commençaient à tourner autour de mon sexe. A partir de ce moment, un mélange d’excitation et de malaise prit place dans le rêve. Un des animaux entreprit d’explorer l’intérieur de mon intimité, tandis qu’un autre me dévorait un sein. Pendant ce temps, moi aussi je dévorais le bruit dans ma bouche. Je pouvais en sentir le jus couler entre mes lèvres. Le petit animal dans ma chatte décida alors de changer de trou. La sensation fut intense, presque réelle. Mais c’est quand un plus gros animal se fourra dans mon vagin, pendant que le gaziantep üniversiteli escort petit me suçait l’anus, que tout bascula. Le fruit dans ma bouche s’était enfoncé à la limite de ma gorge… Je manquais d’air… Je toussais…et mon esprit émergea du songe… Mais le problème, c’est que ce n’était pas un rêve…
En quelques secondes je pris pleinement conscience de la situation horrible et improbable dans laquelle je me trouvais. Mon cerveau eu du mal à croire les informations qu’il recevait.
Putain! Mais il est malade ce mec! J’étais allongée, à moitié nue, la robe retroussées, la tête sur le ventre de ce putain de puceau. Sa main gauche pelotait à loisir mon sein tandis que sa main droite se trouvait tout au fond de ma chatte. Je pouvais sentir ses doigts palper librement les parois de mon vagin, comme si tout mon corps lui appartenait… J’étais son jouet. Et pour finir, sa queue était fourrée bien profond dans ma bouche. Je ne pensais pas qu’un gosse comme lui puisse avoir une si grosse queue. Je pouvais presque sentir les battements de son cœur à travers ma bouche tellement sa bite était gorgée de sang.
Tout d’abord je fus paralysée. Je ne pouvais tout simplement pas bouger, tant la scène était choquante. Puis l’idée de m’en échapper fut rattrapée par une autre plus rationnelle. Mais comment allais-je gérer la situation après? Si je me lève maintenant, je fais quoi? Et Sophie, je lui raconte quoi? Que va-t-elle penser? C’était tellement surréaliste… va-t-elle même me croire? C’est alors, qu’à l’opposé de toute pulsion, je décidai de ne pas bouger. J’allais faire semblant de dormir profondément, puis quand il serait parti je ferai mine de me réveiller et tout rentrerait dans l’ordre. Je pourrais quitter cette maison de fous, la tête haute.
Mais, mon plan tout juste mis en place, une sensation prémonitoire se fit sentir dans ma bouche. Sa bite commençait à être prise de spasmes…qui se rapprochaient de plus en plus… de plus en plus… Non, pas ça! Je ne suis pas prête! Nonnnn!
Mais en un éclair, ma bouche fut remplie de son sperme tiède qui venait de sortir de sa queue. Je sentais les vagues de sperme déferler dans ma bouche qui se remplissait à vue d’œil. Bien qu’écœurée, j’essayais d’en avaler le plus possible pour ne pas m’étouffer. Je sentais son foutre couler à grande goulée dans ma gorge. J’avais l’impression de boire des litres de sa semence. L’enculé! Il devait bien en profiter à cet instant. Mais la quantité était telle que je ne pus tout absorber. Le sperme gicla alors de mes narines en deux geysers blancs. La bouche maintenant complètement remplie, son sperme giclait autour de sa bite, entre mes lèvres. Je respirais maintenant un mélange d’air et de foutre. Je faillis vomir, mais réussis à me retenir. Mais arriva un moment où je crus étouffer. Il fallait faire quelque chose ou j’allais crever là, sa bite plantée dans ma gorge. Mais s’il se rendait compte que j’étais réveillé et que je ressentais tout, la honte serait insupportable.
Je tournai alors brutalement la tête vers lui pour éjecter son membre de gaziantep üniversiteli escort bayan ma bouche. Gardant les yeux fermés, je faisais mine de continuer de dormir. Qui pouvait réellement croire qu’on pouvait dormir avec un tel traitement? Un con comme lui sans doute. Je sentais maintenant le flot de sperme couler de ma bouche et de mon nez sur son pantalon. Ah, il devait bien se rincer l’œil cet enfoiré. Il venait de faire une faciale à une fille comme moi, une fille qu’il n’aurait jamais osé imaginer approcher dans ses rêves les plus fous. Même les yeux fermés, j’imaginais son regard satisfait fixant mon visage dégoulinant du jus, qui quelques secondes plus tôt se trouvait dans ses couilles. Puis je sentis le stylo qu’il m’avait fourré, s’éjecter de mon cul. Quel enculé quand même, me sodomiser avec un stylo, putain… je sentais mon anus avoir du mal à se refermer. Enfin il sortit son poing de ma chatte. Je mouillais tellement. Je pouvais sentir ses phalanges refermées sur elles même glisser le long de mon vagin puis toucher mes lèvres qui se refermèrent juste derrière.
C’est alors que j’entendis la voiture de Sophie arriver devant la maison. Le mec attrapa ma tête et la posa dans la flaque de sperme se trouvant sur le coussin du canapé. Dégueu! Je sentais du sperme froid rentrer dans mon oreille. Il courut à la cuisine et en revint avec de quoi nettoyer son bordel. Il me nettoya le visage avec une éponge de cuisine, comme on nettoie un sex-toy après son utilisation. En fait, c’est bien ce que j’étais à cet instant : son sex-toy. Puis il donna un coup sur ma chatte, me rhabilla succinctement et épongea la flaque de sperme du canapé avec une tonne d’essuie-tout. Je ne bougeais pas, jouant mon rôle de l’endormie jusqu’au bout. Et, là… à ce moment, il fit quelque chose que jamais je n’aurais cru qu’il ferait. Il ouvrit ma bouche, enfonça sa langue et me roula une pelle bien comme il faut. Il en profitait vraiment jusqu’au bout l’enfoiré. Je sentais sa salive couler dans ma bouche, puis dans ma gorge. La quantité était telle que je dus l’avaler à plusieurs reprises. Enfin il décida de disparaître pour de bon dans la cuisine. Sophie entra.
— Emma, c’est moi. C’est bon, on peut y aller. Désolé pour l’attente mais je me suis un peu perdu en rentrant.
J’attendai encore un peu, pour plus de réalisme, puis me leva. Je sentais du liquide, resté à l’intérieur, me couler entre les cuisses. Sophie était partie parler à son frère dans la cuisine. J’en profitai pour m’essuyer comme je pouvais sur les coussins.
Sophie revint de la cuisine et me trouva une sale mine. Tu m’étonnes, si elle savait ce que je venais de vivre. Je remis mes chaussures. Un peu de sperme se trouvant au fond s’infiltra entre mes orteils. La sensation était vraiment répugnante. Je me passai la main dans les cheveux pour y remettre un minimum d’ordre. Je sentais entre mes doigts le foutre crasseux qui collait entre eux mes cheveux. Je pouvais même sentir cette odeur significative qui les imprégnait. J’espère que Sophie ne sentira rien. Mâchouillant le stylo, elle m’invita à y aller. Comment pouvait-elle ne pas y trouver le goût bizarre?
Nous nous dirigeâmes toutes les deux vers l’entrée. C’est en passant devant son frère, que je ne pus résister à l’envie de lui lancer un regard noir, le plus noir que je pu. Il restait là, à me regarder, hébété. Je ne sus jamais s’il avait compris le message. Sophie démarra la voiture. Je sentais encore quelques gouttes couler sur le siège. Nous nous éloignâmes de la maison… de cet enfer. Je n’avais plus qu’à tout oublier… tout…
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