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VU SUR LE NET:Julie, pute de l’école (Julie errait dans les couloirs du lycée, fuyant les regards des autres élèves. Elle sortait à l’instant du bureau du proviseur, à moitié dénudée et les cuisses maculées du sperme de son maître. Elle devait subir ce rituel trois fois par jour. Le matin. Le midi. Et enfin, à la dernière pause avant la fin des cours. Mais elle devait aussi satisfaire les autres professeurs. Ces derniers avaient toujours à cœur de partager leurs savoirs… et ils débordaient d’imagination. Le proviseur avait requis sa présence pour le week-end. Cela faisait deux jours. Que pouvait-il bien lui vouloir ?Julie tourna à un croisement pour échapper aux moqueries des autres filles. Elle avait l’habitude de prendre ce chemin rarement emprunté par les élèves. Il menait vers la chaufferie puis le secrétariat. Elle avait parcouru la moitié du trajet quand une main puissante la saisit par la taille… et la poussa vers le mur le plus proche. Julie distingua son agresseur malgré la pénombre. Le black de la dernière fois. Elle ouvrit la bouche pour crier mais aucun son ne sortit. Il avait posé son autre main sur la bouche de sa victime. Puis il lui administra une gifle lorsqu’elle tenta de se débattre.– Je vais être très méchant si tu continues… et je m’en voudrais de t’esquinter.Julie continuait de fixer le black, paralysée par la peur. Il n’avait pas l’air de plaisanter.– Cette salope n’a pas tenu sa parole… continua le black, furibond. Tu vas prendre pour elle. Et ensuite, je m’occuperai de son petit cul.Il devait probablement parler de Camille, songea-t-elle. Mais pourquoi la coincer dans ce couloir sombre ?– Elle sera folle de rage en apprenant que je t’ai préféré à elle, expliqua le lycéen, qui semblait lire dans les pensées de Julie.Elle essaya à nouveau de fuir l’emprise de son agresseur mais en vain. Il était beaucoup plus fort. Elle le sentit diriger sa main vers son entre-jambes puis remonter lentement vers le haut, toujours immobilisée et dans l’incapacité de parler. Il fit jaillir ses seins à l’air libre, après avoir soulevé son top. Julie balbutia quelques mots à l’attention du black, le suppliant de ne pas continuer.– Ça ne sert à rien de pleurer, dit-il au bout d’un moment, séchant les larmes de Julie. Tu n’as pas envie de te venger de cette garce ?Julie n’avait plus la volonté de résister. Elle laissa le black lui caresser les seins, puis les lécher. Elle pouvait sentir ses tétons devenir durs et saillants. Elle ferma les yeux pour ne pas voir son bourreau à l’œuvre. Ce dernier ne fit rien pour l’en empêcher. Il essaya d’atteindre sa chatte mais le mini short (très serré) le ralentissait énormément. Il défit alors la boucle du vêtement, le descendit jusqu’aux chevilles et souleva une jambe pour le dégager.Le black continuait de lui masser les seins, profitant de cet intervalle pour enlever son pantalon et libérer son attirail de compétition. Il saisit Julie par la taille, la souleva du sol, puis la pénétra d’un seul coup. Elle ouvrit soudainement les yeux, poussa un cri de surprise puis s’agrippa au corps musclé de son tortionnaire. Il augmenta très vite la cadence, ne faisant rien pour retenir ses coups.– Tu es vraiment trop bonne, déclara le black entre deux va-et-vient. Ces salauds ne te méritent pas.Julie avait plongé son visage dans le cou du garçon, laissant échapper des gémissements toujours plus forts. Elle enroula les jambes au niveau de la ceinture, tandis qu’il forçait de plus en plus, lui faisant balloter les seins au rythme des secousses. Finalement, elle sentit un liquide chaud tapisser l’intérieur de son vagin. Escort Bayan Le black poussa un dernier grognement avant de quitter les entrailles de Julie, la plaçant à nouveau contre le mur. La malheureuse manqua de s’effondrer, encore toute pantelante. Elle tâtonna la cloison pour trouver une prise, puis en profiter pour reprendre son souffle.De son côté, le black venait de remettre son pantalon lorsqu’il fut interrompu par la venue d’une autre personne. Il évita de justesse la gifle de Camille, la saisit par les bras et la renvoya en arrière avec une facilité déconcertante. Julie se dépêcha de remettre ses vêtements, plutôt maladroite.– Enfoiré ! explosa Camille, rouge de colère. Comment peux-tu me faire ça ? et avec elle en plus…Le black esquiva une nouvelle attaque, amusé de voir la fille du proviseur s’exciter sans fournir le moindre résultat.– Je ne suis pas ton jouet, déclara le black d’une voix menaçante.Camille se figea alors sur place, réalisant que le garçon était devenu sérieux. Elle déglutit lentement en le voyant serrer les poings.– Tu t’es foutu de ma gueule… donc, je me satisfais avec une autre. Elle est vraiment douée cette pute…Julie était toujours collée au mur, tâchant de ne pas se faire remarquer.– Mais il n’y a vraiment pas de quoi s’énerver… reprit le black, les yeux animés d’une étrange lueur. Je te réserve quelque chose de pire encore.Camille recula brusquement en le voyant venir dans sa direction. Elle était prête à prendre ses jambes à son cou quand le professeur de technologies fit son apparition.– J’ai entendu des bruits suspects, dit-il après un long silence.Il dirigea son regard vers Julie. Puis un angle du mur à quelques mètres de leur position. Soudain, le cœur de la jeune fille se contracta. Il y avait une caméra de surveillance. Minuscule. Indétectable à moins de savoir où chercher. Le professeur les avait-il vus ?– Monsieur… commença Camille, aussitôt interrompu par l’enseignant.– Aucune excuse, mademoiselle Bertrand. Ce couloir est interdit aux élèves.Julie posa la main sur son collier, terrifiée. Il savait. C’est le professeur lui-même qui avait conçu cet appareil. Il pouvait surveiller le moindre de ses gestes. Entendre les conversations. Elle avait omis ce détail.– Vous, continua le professeur à l’attention du garçon. Dans mon bureau. Immédiatement.Le black ne montra aucune résistance. Il dévisagea une dernière fois Camille puis s’en alla vers la sortie.– Ah, ces jeunes… déclara le professeur après un long soupir.Camille était sur le point de quitter les lieux quand l’enseignant la retint par le bras.– Lâchez-moi ! Si vous ne le faîte pas je dirais tout à mon père. Vous serez renvoyé.– Les gamines d’aujourd’hui sont incorrigibles, ajouta le professeur d’une voix lasse, après avoir enfoncé l’aiguille d’une seringue dans le bras de Camille.La jeune fille laissa échapper un cri de surprise, repoussa l’homme et examina son bras. Elle posa ensuite son regard sur la seringue, interloquée. La réaction fut immédiate. Elle tomba sur les genoux, le regard vitreux, inconsciente au moment de toucher le sol.– Maître… balbutia Julie, les yeux fixés sur le corps inanimé de Camille. Qu’est-ce que…Le professeur ne la laissa pas finir. Il planta une autre seringue dans le bras de Julie.– Tu croyais échapper à ma surveillance ?…Elle glissa le long du mur, lentement, jusqu’à perdre connaissance.Julie ouvrit les paupières, tâchant de rassembler les derniers souvenirs. Elle avait été droguée. Mais le temps écoulé était un facteur inconnu. Elle tourna la tête pour identifier les lieux, malgré Bayan escort sa vision encore troublée. Il lui fallut un moment pour reconnaître la classe de technologies. Les rideaux avaient été tirés, plongeant la salle dans la pénombre. Les éclairages avaient été baissés de moitié. Julie essaya de respirer mais une charge anormale comprimait sa poitrine, rendant la tâche plus difficile. Elle essaya de bouger sur le côté pour déterminer la cause de cette gêne. Elle toucha quelque chose à la fois brûlant et humide. Et cette odeur légèrement sucrée…– La pause est finie…Julie reconnut la voix du professeur. Mais elle fut encore plus surprise de voir une chatte frétiller au-dessus de son nez. Il devait probablement s’agir de Camille. En effet, la fille du proviseur était positionnée à quatre pattes au-dessus de Julie, tête bêche. Elle était toujours inconsciente. Les deux lycéennes étaient complètement nues.– Inutile de te débattre, expliqua le professeur. Tu risquerais de te faire mal…Julie sentit la pression d’une corde sur son corps, faite de plusieurs nœuds compliqués, limitant ainsi ses mouvements. Pareil pour Camille.– Debout là-dedans.Le professeur adressa une petite tape sur le visage de Camille. Cette dernière produisit un gémissement au moment de reprendre connaissance. La fille du proviseur bafouilla quelque chose au professeur avant de réaliser dans quelle situation elle se trouvait. Elle laissa exploser sa colère, gesticulant dans tous les sens.– Mon père te foutra au chômage, pervers !Julie pouvait sentir la corde frotter contre son corps nu. La douleur était intenable. Elle supplia Camille de se calmer.– Tu peux crier autant que tu veux, répondit le professeur. Les cours sont finis. Il n’y a plus personne.Camille gesticulait toujours, et ce malgré les liens qui devaient meurtrir sa peau. Puis elle poussa un cri quand une décharge électrique la traversa. Julie en fit également les frais.– Je vais te faire un cours en accéléré… déclara le professeur de technologies. J’ai placé un dispositif autour de ton cou. Un collier comme celui de ta camarade. Ainsi, je peux épier tes mouvements. Et aussi tes conversations. Enfin, si jamais tu ne te montrais pas obéissante… je serais obligé de libérer une décharge électrique. C’est plutôt douloureux. Voilà pourquoi tu vas être une gentille fille.– Va te faire voir, sale ordure !Camille fut interrompu par une nouvelle décharge. Elle se résigna au bout de la troisième.– Maintenant que j’ai ton attention… Le cours peut enfin commencer.Le professeur plaqua sa main droite sur la chatte de Camille. Elle voulut protester mais se rétracta aussitôt en voyant son tortionnaire agiter la télécommande du collier. Il glissa deux doigts à l’intérieur de son sexe, les bougea un peu, et en introduisit un troisième.– Tu apprends vite, ajouta l’enseignant, très fier des progrès de son élève. Attends un peu… mais on dirait bien que tu mouilles.De son côté, Camille sentait une vague de chaleur lui monter aux joues. Elle ne pouvait pas le voir et pourtant… c’est comme si le professeur se tenait devant elle et la fixait de façon très intense. Elle ferma les yeux pour échapper à son regard. Mais le sentiment de honte qui la rongeait de l’intérieur ne semblait pas diminuer pour autant. Puis elle laissa échapper un gémissement très vite étouffé.– Tu aimes ça, pas vrai ? ajouta le professeur, ne cessant de la branler. Je sens ta mouille autour de mes doigts. Oh, oui… tu as vraiment l’air d’aimer ça.Julie pouvait sentir le souffle chaud de sa camarade sur sa chatte. Et il devenait plus Escort rapide quand l’enseignant accentua la cadence. Si bien que Camille ne pouvait plus dissimuler son plaisir.– Ça suffit pour le moment, fit le professeur avant de quitter le vagin de son élève.Il dirigea ses doigts englués de cyprine vers la bouche de Julie. Puis les y enfonça.– Goûte-moi ça.Julie exécuta les ordres de son maître. Elle n’avait jamais goûté la semence d’une autre fille. A l’exception de la sienne. Elle léchait encore les doigts de l’enseignant quand ce dernier passa à la leçon suivante.Le professeur s’en alla à l’autre bout de la classe, accordant un moment de répit à ses deux élèves. Il revint quelques secondes plus tard, accompagné d’une autre personne. Camille manqua de s’évanouir lorsque son regard croisa celui du black. Le lycéen affichait un sourire qui en disait long sur ses attentions.– Ce jeune homme s’est porté volontaire pour parfaire ton éducation.Le professeur adressa un clin d’œil à Camille, puis invita le black à se rapprocher.– Monsieur… implora Camille. Je vous en prie…Le black plongea une main à l’intérieur de son pantalon, faisant un jaillir un sexe de belle taille. Il tira dessus pour lui donner un peu plus de raideur.– Je promets de ne rien dire…Julie regarda le lycéen écarter les fesses de sa camarade, puis positionner son énorme gland à l’entrée de son orifice.– S’il vous plaît, professeur… Aaaah !Le black donna un grand coup de bassin pour élargir le passage. C’est la première fois qu’il voyait un trou aussi étroit. Mais cela ne semblait pas l’inquiéter. Il continua de pousser malgré les supplices de Camille.De son côté, Julie imaginait sans peine les souffrances de Camille. Elle pouvait voir la verge du garçon faire des va-et-vient dans le croupion de sa rivale. Le professeur de technologie en profita pour la pénétrer à son tour. Julie retint un gémissement lorsqu’il força son petit trou.– Aaaah ! Arrêtez-ça !… s’écria Camille. Ça me fait trop mal !Le professeur n’avait pas l’air disposé à entendre les pleurnicheries de la jeune fille. Il saisit la tête de Camille avec une seule main et la plongea entre les cuisses de Julie.– Pas de bavardage en classe.Camille releva la tête pour reprendre son souffle mais la main du professeur la bloquait toujours. Finalement, elle ouvrit la bouche et aspira une grande bouffée d’oxygène. Julie laissa échapper un gémissement quand la langue de Camille s’enroula sur son clitoris.Le black quitta les entrailles de Camille au bout de quelques minutes. Il arrosa copieusement les fesses de l’adolescente, laissant exploser un grognement de plaisir. Julie sentit également le professeur tapisser l’intérieur de son fondement, faisant jaillir son sperme par saccades. Il resta figé une vingtaine de secondes, complimenta le lycéen pour son travail et quitta les deux filles pour arrêter l’enregistrement d’une caméra posée sur une étagère. Camille avait toujours la tête entre les cuisses de sa camarade, le visage barbouillé de mouille. Elle avait un trou béant à la place de son anus. Et son état de fatigue était tellement grand qu’elle ne remarqua pas les manigances de l’enseignant.– C’est de l’excellent travail.Le professeur passa une main dans les cheveux de Camille, écarta une mèche trempée à cause de la sueur et ajouta :– Ton ami va te raccompagner chez toi. Pas un mot de ça à quiconque. Je te laisse imaginer les conséquences si jamais on apprenait que la fille du proviseur s’adonnait à de telles pratiques…Julie observa le black prendre Camille dans ses bras, puis s’en aller vers la sortie.– Mademoiselle Jouannot… intervint le professeur après avoir verrouillé la porte. Votre comportement laisse vraiment à désirer ces derniers temps. Je vais devoir y remédier. Ça tombe assez bien car j’ai plein de nouveaux gadgets à vous faire essayer.Julie n’était pas prête de rentrer à la maison…

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