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Chronique IV – Par le Lapinblanc44

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Chronique IV – Par le Lapinblanc44ATTENTION : Les écrient qui peuvent découler des chroniques vont être un mélange de réalité et de mon invention, en espérant que vous vous retrouvez dans mes écrits.?Les photos introduit dans les chapitres ne sont qu’un emprunt, ils ne sont pas de moi.??Chapitre 10 : « L’amour »Ce chapitre va surement être très confus, dans les périodes et ne va parler que d’une seule personne Margot.?Je ne vais pas partir dans les détails en disant que Margot fut mon premier et dernière amour, car j’avais déjà rencontré d’autre fille avant elle déjà et il y en a eux d’autres, mais Margot fut vraiment l’amour avec un grand A pour moi, je vous demanderais donc de rester cette chronique pour elle.??Notre rencontre, je m’en souviens comme si c’était hier, je pourrais encore me la visualisé et en sourire bêtement. Dans mon lycée et internat, l’occupation que nous avions avec des amis c’était de faire les tours du bahut en marchant et discuter de nos cours, des profs, des gens du lycée etc…?Et pendant que nous faisions un tour, j’aperçois assis sur un banc, une fille que je ne connaissais pas à première vue en pleurs au téléphone.??Je suis de nature à être un grand nigaud, gaffeur au naturel…donc je lâche mes copains et je m’assois à côté de cette fille que je ne connais, ni d’Eve ni d’Adam et je commence à taper la discussion avec elle, qui est toujours au téléphone.?- J’ai cru entendre que tu pleurais et je voulais savoir, si tu allais bien ?Elle ne pleurait pas…au contraire, elle était au téléphone avec sa soeur et rigolait tellement qu’elle en pleurait de joie.?Par la suite, elle raccrocha et m’expliqua que c’était sa première année à l’internat et qu’elle avait du mal à quitter sa famille. Nous avons discuter tous le reste de la soirée sur se banc de tous et de rien, instant magique.??Quelques semaines ont passée et je n’avais pas reparlé à Margot depuis l’histoire du banc. C’était le mois de Novembre et dans l’internat avait été disposé des tracts :eliminatiGalère…Personnellement je ne savais pas qui invité et cela me faisait c…. bon après tout si je ne trouvais personne, j’y serais aller avec un copain ou tout seul, ça n’aurait pas été traumatisant.??Plus le jour, de la date du bal se rapprochait plus, les couples (binomes) étaient déjà formé. Un soir, tranquillement assis à regardé la télé en fin de journée, je vois Margot passer avec des copines en rigolant. Je ne pourrais vous expliqué ce qui m’a prit, mon corps a réagit tout seul, je me suis levé vers elle et je lui ai demandé, devant ses copines si elle avait quelqu’un pour l’accompagné au bal de Noël.?Elle rougit, comme moi (je pense), je sentais que mon sang bouillonnait, que j’étais ridicule et que si elle disait non, je me serais taper la honte devant tous les internes…Mais elle a dit « oui » avec un large sourire, qu’encore une fois, je pourrais vous le dessiner les yeux fermés.??Les semaines suivantes, mon esprit était orienté sur le shopping… Qu’est-ce que j’allais mettre pour le bal…Finalement, j’ai trouvé un pantalon noir de costume et une chemise blanc, simple !Et le jour ‘’J’’ arriva, les internats avaient l’autorisation des enseignants de quitter plus tôt les cours et qu’il ni aurait pas de permanence le soir. Ce soir là était dédié à se préparer pour la fête de Noël.?L’internat était chaotique ce soir là, à l’étage des garçons comme celui des filles. Chacun passait de chambre en chambre afin de voir ou en était l’autre, pour parler ou avoir des conseils (petite anecdote, je me souviens d’un camarade un peu bouboule, qui est venue me demander « Tu crois que je devrais faire quelques pompes avant d’aller au bal ? » Euh…tu as envie de lui, mec c’est juste un bal pas un concours de beauté ou de mister univers.??A l’heure dite, la surveillance faisait descendre 1 par 1, les garçons du 2eme étages pour que celui-ci rejoint son binôme au premier étage et qu’une photo soit prise au Rdc. Quelle idée, j’avais eu de me mettre à la toute fin de la fils…?Les couples se rejoignaient donc et des applaudissements ou de bonne tranche de rigolade se faisait entendre…?Et le moment fut venue pour moi, il y a eu quelques chuchotement perceptible au Rdc, et je commençais a descendre pour rejoindre Margot au 1ère étage.?J’avais le souffle coupé, elle était magnifique, souriante, un peu de maquillage sans trop en mettre, une belle robe noir qui s’arrêtait un peu en dessous des genoux.?Nous avons toujours eu dans notre relation elle et moi, ce petit côté plaisantin. Lorsque je l’ai rejoint à son étage, elle a rigolé que je sois le dernier et me dit « Ah bah, j’ai eu peur que tu es prit la porte de secours… » toujours en souriant.??Après nos plaisanteries, nous nous regardions car nous n’entendions plus un bruit au Rdc, on était nerveux. On descendit et l’on a eu le plus beau déferlement d’applaudissement, de bravo les amoureux (alors que nous ne sortions pas encore ensemble), cela a gêné Margot qui était de nature timide et se blotti légèrement contre moi, en me prenant la main. Les flash ont alors retentis, nous éblouissant par moment, mais j’ai pu apercevoir dans la foule, une certaine personne « Aude » qui était mécontente de la situation.??Nous rejoignions nos camarades et allons au repas de la fête de Noël, nous étions assis canlı bahis l’un à côté de l’autre et nous sommes restés dans notre bulle tout les deux à parler. Puis lorsque vient le moment d’aller danser, nous avions pas envie d’y aller. Personnellement, je n’avais pas danser depuis Audrey en VVF et Margot n’avait jamais danser avec un garçon.?Lorsqu’il y a eu un slow, je l’ai qu’en même invité sur la piste, nous sommes rester blotti l’un contre l’autre en ne bougeant pratiquement pas. Elle est reparti s’assoir et lorsque j’allais la rejoindre Aude vient me parler.??Elle me demanda de danser avec elle et qu’après j’aurais une belle surprise…J’ai décliné, vous et moi avons comprit qu’elle était jalouse de Margot et qu’elle voulait foutre en l’air la situation avec un coup de bite.??Je suis retourné m’assoir et Margot n’en su jamais rien…nous avons passé le reste de notre soirée dans un coin tranquille sur un sofa à glousser.??______________________________________________________________________________________??_____________________________Vous m’excuserez chers lecteurs, lectrices, ce début de chapitre est plutôt long, mais j’aime poser le décors, vous expliquez les situations avant de partir dans des détails certainement plus croustillant pour vous.??______________________________________________________________________________________??_____________________________Le 29 Décembre, je téléphone à Margot un soir, nous étions chacun l’un chez l’autre, car c’était les fêtes de fin d’année et lui demandais, si elle voulait sortir avec moi. Elle disait oui, aussitôt.?A partir de ce moment là, nous avons commencé à nous affiché à l’école, à s’inviter l’un comme l’autre dans notre famille, après-midi et à dormir. Ces parents étaient super sympa, nous sommes resté en bon terme eux et moi, chaque année je leurs rends visitent pour les saluer et cela s’arrête là.??Lorsque nous étions tout les deux, c’était des moment plus intime, quelques caresses, bisous mais pas de préliminaire. Ce fut quelques mois après le début de notre relation, au mois de Mars, qu’elle m’invita chez elle pour mon anniversaire, journée simple et agréable, jusqu’à qu’on se retrouve seuls elle et moi dans sa chambre.?Elle est venu se blottir contre moi et s’excusant de ne pas avoir trouvé un beau cadeau pour mon anniversaire, mais qu’elle en avait gardé un de côté.??Margot habillé, je préfère te montrer et partie s’installer sous sa couverture et me dit de la rejoindre…?Je l’ai rejoint et me murmura à l’oreille en me susurrant le lobe, qu’elle avait envie de me donner sa virginité.Avec elle, j’avais l’impression de revenir puceau, nerveux, effrayé. Je voulais la satisfaire, qu’elle se souvienne de sa première fois, pas comme la mienne…??J’étais complètement gaga de Margot, je lui caressait le visage, la joue et l’embrassa. Juste ceci suffi pour allumer la mèche et notre désir. Ses jambes se resserrait contre ma taille, mes bras la serra contre mon corps. Mon sexe grossissait et voulait sortir de mon pantalon. Nous avions chaud, notre respira s’exaltait, nous rougissions timidement.??Nos mains simultanément, se glisse sous nos t-shirts, caressant nos torses, poitrines pour être retiré. ?Nous ne faisions que nous embrassez avec passion les yeux fermés, nous laissions nos mains se balader, l’excitation montait parfois je quittais ses lèvres pour dévorer son coup, regarder ses lèvres se serrer de désire, sentir son entrave autour de ma taille se resserrer.?Elle me ramenait parfois mon visage vers ses lèvres, elle avait envie d’être embrasser, rassurer, aimer, mais je devais quitter ses lèvres douces et pulpeuse pour titiller ses deux petits seins qui avaient gonflés avec son désir. Ils ont eux beaucoup de tendresse ce jour là, massage, bisous, mais Margot avait horreur que je les mordilles.?Pendant que je m’occupais d’aller, je sentais son dos se relevé, se tordre avec de petit gémissement. Elle me caresserait les cheveux et la nuque avec ses mains en me regardant. Mon regard était perdu dans le sien parfois, nous avions envie l’un de l’autre.??Je continuais ma descente, et en commençant à défaire sa boucle de ceinture elle m’arrêta, Margot voulait qu’on échange, elle me rappela que c’était mon anniversaire et que c’était à elle de me faire plaisir pour cette journée. Nous avons inversé nos places et elle ses allongés sur moi.??Margot fit comme moi, m’embrassa en déboutonnant mon pantalon, descendis vers mon torse avec ses lèvres, me faisant des bisous par si, par là, me caressant également, cela me donne des frissons.??Elle était effrayée, je le ressentais, elle descendit d’une traite mon pantalon et caleçon et mon sexe sorti raid cogner contre sa poitrine.?Elle revient m’embrasser mon sexe contre son corps, j’étais complètement nue, offerte à elle.??Je savais ce qu’elle voulait faire et je lui dis « Si tu n’a pas envie, ne te force pas » Elle mourrait d’envie me disait-elle. Et disparu sous la couverture…je ne sentais que sa main qui s’agrippait à mon sexe et me branlait et ses lèvres se sont disposé sur le bout de mon gland.?Mon gland était aspirer dans sa bouche puis ressortait, au début elle commença par cela, l’humidifiant, le léchant et prit-elle plus confiance, elle englouti un peu plus de mon sexe dans sa bouche. Je les laissé bahis siteleri faire, découvrir et voir si elle aimait cela. Lorsqu’elle eux fini, elle reviens vers moi, m’embrassant le torse et sortant de dessous les draps puis posa sa tête sur mon torse. Gêné de sa première pipe. ??Tandis qu’elle était allongé sur moi, je lui caressais le dos et massais les fesses, mais mains se sont glissés sous son pantalon et culotte et on été directement prendre fermement cette paires de fesses fermes et doux.??Margot c’est mise debout devant moi sur son lit, elle voulait m’en mettre plein les yeux, j’en suis sur maintenant, elle déboutonna sa ceinture, puis son pantalon et sensuellement le retira en galbant ses fesses. Toujours en me fixant du regard pour être certaine que je ne perde pas une miette de ce qui se passait, elle retira sa culotte. Et j’aperçu son jardin secret, complètement raser, les lèvres un peu écartes et humide.?Elle revient s’allonger sur moi, remit la couverture sur nous en rougissant, elle était timide et pudique Margot, mais elle voulait me faire plaisir en me donnant tous.??Je l’ai basculé sur le côté pour me mettre sur elle, en position missionnaire et lui demande si elle était prête. Chose qu’elle me confirmait par un sourire, gêné et timide. Je positionnais mon sexe devant le sien, le mien était humide de la pipe qu’elle venait de me faire et elle par l’excitation. Mon gland rentra comme dans du beurre en elle, puis ma verge et finalement tout mon sexe, ne connu aucune résistante en la pénétrant.??J’y allais doucement, de petit aller et retour en elle, en ayant la tête blotti contre la sienne à embrasser son cou. Elle avait ses mains dans mon dos et se tenait à moi, parfois je sentais quelques griffure et j’adorais cela…??J’accélère…elle garde les yeux fermé, les lèvres serrés.??J’accélère encore…elle a sa respiration qui s’accélère, sa bouche ouvre pour mieux respirer et en même temps poussé des petits gémissements pratiquement inaudible. N’oublions pas que nous sommes chez ses parents, on ne voudrait pas être dérangé.??Je ralenti, mais je lui donne de plus grand coup de rein, la pénétrant plus fort, plus profondément, elle resserre son emprise sur moi en s’enlacent ses jambes autour de ma taille. Elle n’arrive pas parfois à se retenir et lâche quelques gémissements qu’un proche voisin entendrait.??La regarder prendre du plaisir est terriblement excitant, et j’en ressens les effets, des spasmes se font sentir dans ma verge, je sens que je ne vais pas tarder à jouir. J’avais oublié de mettre un préservatif et s’en réfléchir à si cela lui plairait, je sors et jouis sur son ventre.?Mon foutre sort en saccade, puis perle sur elle. Essoufflé l’un comme l’autre, nous nous embrassons langoureusement.??Je te remercie Margot pour se magnifique cadeau d’anniversaire.??______________________________________________________________________________________??_____________________________Cette première fois entre nous fut un déblocage, par la suite, nous avions répété les relations sexuels, nous nous découvrions, respections et l’on se faisait confiance. Nous expérimentions positions, lieux insolites pas seulement chez nous…??Les prochains anecdotes seront plutôt succincte. ??Le premier endroit insolite fut le terrain de foot-ball de la ville. Comme j’avais pu le signaler lors d’une précédente chronique, j’étais à l’internat et les heures pour sortirent étaient limitées.??Un soir ou le ciel s’était assombri de très bonne heure, nous avons prit une permanence pour aller se balader ensemble, nous avions marché dans le bourg, puis jusqu’à la salle de sport ou nous faisions de l’EPS, jusqu’au terrain de foot-ball.??Nous nous étions installé dans une petite pente sur une bordure de route et nous discutions sous le ciel étoilé. Mais pour faire court, on en a eu marre de parler et l’on a baiser sur cette bordure de route.?Margot avait juste descendu légèrement son pantalon et moi le mien et je l’ai prise là comme sa. Pas de préliminaire, pas d’embrassade, pas de discussion, une baise dans le noir sous les étoiles avec parfois quelques voitures qui passaient et nous éclairait.??Heureusement, on espère personne nous avait vue, puis de toute manière, on s’en fichait, on se faisait plaisir.eliminati (*image du lieu, si vous reconnaissez, dites le moi)??____________________________________________________________________________________________________________________L’un des lieux que l’on avait trouvé excitant fut les toilettes de notre lycée…??J’avais prit Margot par la main à la sortie des cours et l’avait conduit directement dans les toilettes garçons du lycées. Rien de glamour, sa sentait la pisse ou le déodorant bon marché. On s’est mit dans un cabine, fermé la porte et comme pour le terrain de foot-ball pas de préliminaire, juste une envie de baiser.?Les toilettes étaient étroites et comme je suis grand, on ne voulait pas baiser debout pour se faire repéré. Elle s’est mit à quatre patte par terre et je l’ai culbulté. ??Au début son cul claquait contre le mien tellement que j’avais envie d’elle et je n’y allais pas de main morte, mais lorsqu’on a entendu la porte s’ouvrir je ne pouvais continuer à se rythme.?Margot me tenait à distance avec une main pour que je ne fasse pas de bruit. ??On entendait bahis şirketleri plusieurs voix d’homme, parler de leurs journées, leurs copines…PUTAIN, ils vont pas partir, j’ai une bite au chaud là !! Et puis non, il n’avait pas envie de partir, je me suis remis au travail, de petit et doux aller et retour en Margot qui n’avait pas bougé toujours au sol à quatre patte, le cul en l’air le pantalon aux genoux. Elle continuait à me poussé ou tenir à distance avec l’une de ses mains, peut-être avait-elle peur de gémir ou que je claque son cul.?J’y allais doucement et finalement, elle arrêta de me tenir à distance. Je la baisais en levrette dans cette minuscule cabine avec des mecs juste derrière une palissade qui pouvait à tout instant nous surprendre.?Au bout de quelques minutes, ils sont partie prendre leurs bus, je me retira et jouis dans la cuvette des toilettes.??Margot se releva et l’on en discuta qu’elle avait peur d’être surprise et qu’elle ne cherchait pas à me tenir à distance au contraire, elle cherchait à s’agripper à mon t-shirt pour m’amener en elle. ??____________________________________________________________________________________________________________________Et si je vous parlait sport un peu pour changer ? Margot n’est pas sportive, elle a quelques rondeurs que j’adore et ça nous arrivait d’aller à la piscine municipal faire quelques longueurs, profiter de l’espace balnéothérapie. (Petite parenthèse, si vous êtes adeptes des balnéothérapie, peut-être nous sommes nous déjà rencontré sur Saint-Nazaire)??L’été, une période que j’adore, car on sort les tenues légères, on peut aller à la plage ou à la piscine et regarder les filles en maillots de bain. Exquis !??Margot comme je vous le disait n’aimait pas son corps, au début de notre relation elle se cachait beaucoup, ne voulait pas souvent que je la regarde nue ou lorsqu’il fallait sortir le maillot de bain c’était un une pièce. Pour moi, cela n’avait aucune importance, qu’est-ce que je la trouvais belle dans cette tenue.??J’adorais la regarder nager, voir l’eau ruisseler sur elle. Le maillot lui moulait les formes, elle m’excitait en ne faisant rien.??A plusieurs reprises, dans la cabine pour se changer, elle se moquait de moi, mais elle était bienveillante. Je vous explique cela. Comme pour l’histoire sur la fête de Noël, je vous avais expliqué que nous avions un humour spéciale, on se taquinait, humour noir etc…Donc à chaque fois que nous décidions que nous allions quitté la piscine, nous nous changions ensemble, mais nous hommes ont n’a une chose qui nous rassemble, c’est que l’eau froide ça nous fait rétrécir le sexe…Elle adorait se moquer de moi avec des « Bah…alors bonhomme, qu’est-ce qui t’arrive avec ton petit engin… » ou « Alors c’est l’heure de la sieste ma grande », je ne me sentais pas vexé, car comme je viens de vous le dire elle était bienveillante.??Sans que je lui demande rien, elle se mettait à genou devant moi, bite en bouche et en main. Elle m’aidait à ce qu’elle retrouve sa taille d’origine, mais la bienveillance de Margot ne voulait pas que je jouisse dans sa bouche, toujours sur le sol de la cabine.??______________________________________________________________________________________??______________________________Pour être honnête, avec Margot, j’étais souvent chaud du slip, toujours à lui sauté dessus, mais il y a une fois qui m’a marqué. On ne s’était pas vue pendant plusieurs mois, car j’ai eu une période de stage dans une ville éloigné et lorsque je suis revenu c’était elle qui partait faire un stage à l’étranger.?Ce qui n’est pas la porte à côté…??Nos retrouvailles après de long moi, c’est fait à mit chemin de nos maisons respectives. Nous avions un petit village où nous laissions nos voitures pour covoiturer.??Cette fois là, c’était moi qui allait la retrouver avec ma voiture et l’emmener chez elle.??Elle monta dans ma voiture, m’embrassa et nous avons prit la route. Nous étions content de nous retrouver, elle aussi apparement, la main posé sur ma cuisse, qui remonta jusqu’à mon sexe.??”C’est toujours dans ces moments, lorsqu’on à les mains prises…??”Elle ouvrit ma briquette sortie, ma bite et commença a me branler côté passager. Quel dommage de devoir conduire à se moment là, car je lui aurais sauté dessus. Mais dans la vie faut savoir être patient…?La branlette était génial, jusqu’au moment ou elle décida de me sucer pendant que je conduisais…le pied…la seul chose que je pouvais faire était d’appuyer parfois sur sa tête pour qu’elle prenne ma bite plus profondément dans sa bouche.?Margot ma sucer pendant plusieurs kilomètre et parfois en ayant ma queue au fond de sa gorge.??Ce qui nous a sauvé, c’est que j’ai trouvé un petit chemin pour nous arrêté. On s’est installé sur la banquette à l’arrière. Nous avons abaissé les sièges de devant et j’ai juste eu le temps de mettre un préservatif puis je l’ai prise en levrette entre les deux sièges.??J’ai joui rapidement peut-être trop, j’étais tellement excité et elle m’avait branlé et sucer pendant plusieurs kilomètres. Nous sommes rester sur la banquette arrière, j’avais envie d’elle, alors je lui est fait un cuni et doigter en maximisant le nombre de doigts à l’intérieur de sa chatte…dommage, j’étais pas loin de la fister…Malheureusement, j’ai écrit cette partie d’histoire au passé, Margot et moi, nous sommes séparé, le stage que je vous parlait s’est concrétisé et j’ai prit mes études loin d’elle. La route et la distance était pesant pour chacun d’entre nous…Dommage…

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