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La bourgeoise et putain

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La bourgeoise et putainJ’ai frôlé la catastrophe. Nous sortions mon amant et moi de l’hôtel. Celui-ci intrépide et prudent me volait sur le trottoir un ultime baiser. Je perçus de suite que nous étions observés. En effet de l’autre côté à l’intérieur d’une auto il y avait un homme que je reconnus sur le champ être un oncle du mari. Il m’avait manifestement identifié. J’étais prise la main dans le sac : en flagrant délit d’adultère. Mon amant ne vit rien. Je me gardais de l’alerter d’autant qu’il était compromis étant mon neveu. Tout cela demeurait en famille. J’appréhendais le pire.Je n’y couperais pas pensais-je. L’épreuve vint rapidement. Lors d’une fête familiale j’eus en face de moi l’oncle. Je tâchais de fuir son regard et son sourire énigmatique. N’y tenant plus je m’écartais un moment de la soirée en un coin tranquille où lui pouvait notamment m’aborder. Il sauta sur l’opportunité. Il prit la parole allant droit au but. Ses yeux brillaient. « T’inquiète pas. Je tiendrais ma langue. Cependant il faut discuter de cette chose grave. Passe demain au bureau. » Avocat, son cabinet était peu loin de chez moi.J’étais perplexe quant à ses propos. Que voulait-il ? Où voulait-il en venir ? Je concevais à présent les conséquences de ma dérive récente. Je n’aurais jamais du céder aux avances d’un jeune homme libertin qui plus est mon neveu. Ce coquin à seize ans déjà, me lorgnait. Il est vrai je m’amusais des fois à bronzer seins nus sur la pelouse de ses parents. J’avais moqué souvent ses avances. Je l’avais renvoyé à ses petites amies. Peu de temps à près il me surprit dans un bistrot avec un amant. Son vœu fut clair. Nous devions coucher.J’affectais la colère lui représentant qu’il avait vingt ans et moi plus de quarante et que je pouvais être sa mère. Il me rétorqua qu’il avait baisé avec des femmes plus âgées et qu’il avait une prédilection pour celles d’expérience. Il ajouta crânement que je n’aurais pas à regretter ses performances au lit. Je fus soufflé de son audace. Le harcèlement dura des jours. Puis il précisa sa menace. Il recourrait à l’égard de mon mari à des lettres anonymes. Je vis que tout cela était sérieux. Allais-je tout compromettre pour un con ? Il menaçait mon intégrité et mes désirs.Comme pour me débarrasser je canlı bahis concédais un premier rendez-vous. Ce fut au cinéma. Dans la salle obscure, je lui fis grâce de maintes caresses. Cependant bientôt nous fûmes à nous embrasser. Le coquin parvint à m’échauffer. Je le laissais glisser sa main dans ma culotte. Il la perçut mouillée. A la fin je ne pus que le sucer dans la pénombre. Sa queue était longue et épaisse. Il ne m’avait pas menti. Sur le chemin du retour il put dans la voiture sauter sa tante. J’avais jusqu’alors dédaigné les propositions de ce genre de morveux. Ce fut comme une révélation.Si jeune il était déjà dépravé. Je ne savais où il avait appris ce vice. Il me dit que certaines femmes et bourgeoises étaient pires que des prostituées. Me compatit-il au nombre ? Quoiqu’il en soit il usa de moi et de mon corps sans cesse. Je lui représentais que ma chair était vieillie et que la graisse avait envahi nombre de mes courbes. Il me dit que cela le ravissait au contraire et que j’éclatais à la fois de sensualité et de lubricité. Il me dit que les gars dans les fêtes de famille me considéraient tous comme une salope bien bandante.Il est vrai que je n’avais pu me départir de ce caprice de jupes courtes, bas, escarpins et autres sous-vêtements affriolants. Bref aux dires des autres femmes je devenais de plus en plus une garce, une pute. Le nombre de mes amants augmentait avec le temps. Il y en avait à maintes occasions. Ainsi il y a peu j’avais cédé aux avances d’un vieux garagiste. Au prétexte qu’il me pouvait accorder une ristourne il me dit de monter à son bureau. Là il me troussa et me fourra par-derrière. Ce quasi-viol me ravit. J’avais adoré ses mains graisseuses et ouvrières sur mon lourd cul.Le neveu ne s’était guère trompé en jetant son dévolu sur moi. Il me dit avec la dernière cruauté que j’étais une putain qui s’était longtemps ignoré. Il plaignait sincèrement mon mari de m’avoir élu comme épouse. A partir de ce jour il tint à ce que je baisas avec d’autres hommes devant lui dont notamment des copains. J’en étais à ce stade lorsque l’oncle me convoquât au bureau. Savait-il tout de mes turpitudes ? Allait-il me faire la leçon ? Il eût devant lui une femme perdue et désemparée. A cet instant je n’eus pas été étonné bahis siteleri que des policiers ou des infirmiers m’emmenassent.Bref je n’en menais pas large. Ledit oncle vit mon trouble et en parut touché. Il vint vite à un ton plus radouci voire mielleux. Il me dit qu’il était de notoriété que j’avais été toujours une coquette et que cependant ces derniers temps je faisais n’importe quoi. Il mettait cela sur le compte de l’ âge. Un chacun ne voulait pas vieillir. Pour une jolie femme tel que moi cela consistait à exister et à ressusciter dans le regard et désir des autres. En l’occurrence des mâles. Bref il était indulgent quant à mes infidélités. Cependant il avait un préjugé contre mon neveu.Pour lui, celui-ci était un voyou, un être misérable. Je sus plus tard la cause de son hostilité. Ce neveu en effet avait débauché sa femme et avait rendu celle-ci malheureuse. Il avait apporté tourment et désordre dans son ménage. Il n’avait surtout pas supporté que le scandale éclatât et qu’il fut la risée de tous. Il me prévenait aussi pour mon mari pour lequel il avait une grande estime. Je devais être plus avisée et responsable dans le choix de mes amants. A ce moment son regard se porta de façon ostensible sur mes cuisses gaînées de bas noir et livrées par la jupe.Du coup ses intentions me devinrent lumineuses. Ce cochon ne m’avait fait venir que pour me déclarer sa flamme. Il ne l’exprima pas clairement mais par un ignoble détour. Il ajouta en effet que mon mari était au courant de ma liaison avec le morveux. Il voulait que cela cesse et l’oncle s’était engagé à réaliser cela en s’entremettant. Bref je devais accepter et m’en remettre à lui. Il en ferait le rapport ce soir à mon mari. Il s’engageait par ailleurs de faire rendre gorge au gosse. Ils avaient en effet des moyens contre lui. Un piège semblait se refermer sur tous deux.L’oncle se leva et vint tirer les rideaux afin qu’il fit plus sombre dans la pièce. Il passa derrière moi. Je l’entendis fermer à clef la porte. Je n’eus pas le temps d’être surprise car sa main déjà me caressait le cheveu. Ses propos devinrent explicites : « Je veux que tu t’en remettes à moi entière. Tu m’as toujours plus. « Il écrasa un baiser mouillé sur mon cou. J’eus un frémissement d’horreur. Il ne bahis şirketleri me plaisait guère ce gros homme adipeux et dont j’avais toujours entendu qu’il n’aimait que les jeunes et jolies filles. Ainsi tombais-je des nues.En fait ce n’était pas tant son physique qui me révulsait (mon garagiste aussi était un porc) que le fait que cet homme se targuât de sa dignité familiale et avait commencé la conversation sur un ton paternel. Je trouvais cela scandaleux et ignominieux. Il était pire que le neveu qu’il avait dénigré. J’en étais à cette colère et à cette confusion lorsque je vis soudain son sexe extirpé et proche de ma bouche. Le porc m’intimait de sucer. Atteint de vice j’avais appris à ne point résister à cela. Aussi machinalement vins-je à pomper cette queue grosse et molle.Les mots insanes vinrent rapidement. Notamment celui de putain. Le vicieux était pris de fureur. Me tirant par le cheveu il m’insultait : « Quitte à faire ta putain, ce sera avec moi désormais. Ton mari compte sur moi. Nous n’allons pas le décevoir hein ma salope ? » A mesure des insultes j’étais gagnée bientôt par cet échauffement si caractéristique. Je mouillais comme une folle. J’aspirais à ce qu’un mâle me prit. Il m’avait déjà levé et appuyé contre un mur. Il avait écarté le fil du string et employé sa bouche à me dévorer le cul.Il éructait : « J’ai toujours rêvé de dévorer ton gros cul.» Il malaxait mes fesses que j’avais lourdes et belles et que nombre d’hommes avaient souvent caressé et tripoté. J’excitais souvent par là. Tant avec mes hanches et qu’en roulant du cul je savais tous les attirer. L’oncle ici pouvait au concret s’en repaître. Sa langue les parcourait. Mon trou de cul fut fouillé et par conséquence il y glissa la queue entière. Le salaud m’enculait sans autre forme de procès. Sa bite s’enfonçait sans peine. Le chemin avait été approfondi par tant d’autres. Je soutenais en chienne stoïque.Il m’encula ainsi dans l’obscurité et le silence durant un quart d’heure en malaxant avec ses mains mes seins. J’étais comblée. J’aimais à être foutue ainsi comme une catin. Il extirpa sa bite pour m’éjaculer sur le visage. Il m’entraîna sur un divan peu loin. Nous y fîmes d’autres caresses. Il m’embrassa goulûment plusieurs fois. Peu après ranimé il me prit la chatte installé entre mes cuisses. Nous baisâmes encore une heure. Il me dit sentencieux qu’il remplaçait désormais mon neveu. Mon mari serait content. Moi de même car il savait goûter à une authentique putain.

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