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LE FELIN par Redcode

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LE FELIN par RedcodeCe soir-là, cette nuit-là je fis cette découverte d’un homme chat, d’un homme lion… UN FELINLe tremblement de tes couilles sur mon visage, le face sitting masculin, une vibrance sans égal de me retrouver le nez dans ton entre jambes ainsi. Le mouvement de va-et-vient de mon front à mon menton, ma bouche tentant de t’aspirer à chaque mouvement de reins. Accrochée à tes cuisses, ta virilité fermement appuyée sur ma face m’excitait follement ! Je percevais ton souffle excité et ma chatte battait comme un cœur au fond de mon bas ventre. Ce morceau de Gasoline ‘Geisya’, donnait à cette scène une saveur douce alors que je crois avoir vu pour la première fois dans les yeux d’un homme une rage de désir s’exprimant sans retenue. Le parfait mariage de la douceur et de la bestialité, passant de l’a****l en rut à l’amant le plus tendre, de la folie qui se lit sur le visage au sourire joyeux, heureux. Ton corps entier transformé par le plaisir, gestes décidés, rapides, musclés, viriles puis doux, tendres et patients. Cette puissance érotique que tu es capable de déployer, ce jeu viril que tu imprimes à la femme entre tes jambes, tout cela me basculait dans une frontière encore inconnue. Les mots se taisaient en moi car j’étais dans une sorte d’observation de mes bouleversements.J’étais terriblement excitée par tes yeux, ta beauté, ton harmonie, un corps robuste que j’imaginais me pénétrer si durement, la découverte que je pouvais sans doute aimer le “hard”. Ce fut donc aussi durant ces quelques heures passées ensemble cette petite surprise de moi-même et de mes désirs qui vraiment se modèlent en fonction de l’alchimie qui se créer. Ce face sitting, la bestialité de ta main agrippant et tirant mes cheveux. Je découvrais que ma pornographie évoluait et avait besoin de basculer en confiance vers d’autres univers, encore.Dans mon lit, le félin incarné, gourmand de tendresse caressante autant que carnassier sexuel, fauve, a****l sauvage, canines dehors à dévorer la proie que j’étais. A s’abreuver entre mes cuisses queue tendue entre les siennes, museau contre ma vulve à rugir de plaisir.’Tu m’excites ! Tu m’excites !’La soirée avait commencé par une rencontre plus qu’habituelle, un rendez-vous pour un verre, des rires et des confessions coquines. Je savais que ce verre ne disait pas que forcément nous allions nous dévoiler l’un à l’autre de manière plus intime. Tu me l’avais dit, tu aimais que le feeling soit présent et le sexe n’était pas la finalité de notre rendez-vous. Cependant, me faisait face un très bel homme, que j’avais envie de photographier et de découvrir. En quelques secondes j’avais déjà perçu cette cicatrice qui parcourait ton cou, frisait dangereusement vers ta carotide, mon imagination dérivait à savoir qui avait pu te marquer de la sorte. Assis en face de moi sur le fauteuil de moleskine rouge, j’avais peur de ne pas être dans ta séduction et t’entendre dire ‘je te souhaite un bon séjour à Paris Red, bonne nuit”. Sans doute l’a tu pensé. Je me souviens qu’en parlant tu as dégrafé un bouton de ta chemise et j’ai perdu le fil de mes mots juste à distinguer cette partie qui s’offrait à mon regard, entre ton cou et ta poitrine, cette peau dorée que je voulais caresser. J’eus chaud, comme cela, juste à observer tes doigts déboutonner cette étoffe. Respiration profonde que je pris afin de renouer avec mes idées qui venaient de s’enchevêtrer avec des palpitations érotiques et des “hummmm j’ai envie de toi…te gouter, humer cette peau “.Bel homme, sans nul doute, très bel homme même, avec ce supplément souriant, ce regard lumineux qui créait une harmonie plus qu’intrigante. Un homme magnétique…..La soirée se poursuivait donc avec mon envie de t’explorer. Il y eut quelques sous-entendus sensuels liés à des mouvements de mains sur des corps qui me firent frissonner dans la simple idée de glisser mes mains sur ton torse. Quel mot, quel regard fit que tu me suivis dans ma chambre avec ce désir de te laisser caresser…le massage évidement était l’acceptation de joute plus sensuelle…Je fermais les yeux en massant ton dos, emportée par la musique tout comme la douceur ferme de ton corps athlétique. Le plaisir de te sentir vibrer sous ma paume, respirer tes fragrances, découvrir ce qui se cachait sous tes vêtements, le sublime se laissant abandonner à mes caresses. Les mots entre nous avaient cessé et je t’écoutais me parler autrement, tes muscles se tendaient canlı bahis et se relâchaient, tes épaules, tes reins, tes cuisses…le chemin de mes mains et de mon souffle, la lueur des bougies donnait à cette chambre un air d’alcôve m’appartenant.J’étais à masquer et refréner mon envie de bondir sur toi tel une ogresse et te dévorer, je ne voulais pas franchir la limite, je ne percevais pas encore si le jeu se poursuivrait. Je savourais donc cet instant de détente oscillant sur le fil du désir sans oser encore y basculer. J’aurais pu me contenter de ce savoureux moment à te détendre, j’avais déjà passé une soirée très agréable en ta compagnie, à échanger avec toi, percevoir cette envie d’abandon confiant.Mes mains huilées glissaient dans ton dos, je fermais les yeux en te massant et j’étais envahie par des bouffées de chaleur et une humidité croissante entre mes cuisses. Je sentais tes reins onduler imperceptiblement, je m’amusais donc à venir te caresser de ma poitrine lorsque mes bras parcouraient les tiens. Je sentis ta peau frémir, je vis ta jambe se plier un peu, tu enlevas ton pantalon.Quelle découverte, tu portais un slip ! Affolement de mes sens et des histoires que je tissais dans mon esprit à m’imaginer avec ce sous vêtement trop rare. …je crois que mon massage se fit un peu plus doux, plus inspiré, plus érotique….Je frôlais tes fesses et passais mes mains entre tes jambes…tu te retournas m’offrant ton torse, je compris que je pouvais poursuivre et sans doute devenir plus sexuelle que sensuelle. Doucement, la musique aidant, les volutes parfumées des bougies transformaient l’ambiance, mon résille glissa à mes pieds, ma robe disparue, je vins me placer entre tes cuisses….ton torse, tes cuisses, tes hanches, je caressais encore. L’air devenait épais, désireux, lent. Mes doigts jouaient à passer sous le coton, frôlant ton intimité sans pour autant m’y attarder. Mon nez vint sur ton sexe tendu, sous le tissu il me disait que je pouvais poursuivre encore. Je tirais un peu ton slip pour y glisser ma langue, je remontais en humant vers ton torse, redescendait à nouveau, mes seins lourds accompagnant ce voyage. Tes souffles, tes mains me découvrant, j’ondulais maintenant mon front sur ton sexe tendu, le coton prenait les saveurs de sexe, de désir, je devenais haletante. Je me souviens que d’un mouvement vif tu vins enserrer mes tempes de tes mains fines et me fis remonter vers toi, ta bouche….le baiser, la salive, la fougue venait de se déchainer. Le moment sensuel laissait place aux jeux de langues et de salive. Tu m’excitais à cracher dans ma bouche et je vibrais à te déverser la mienne, un échange chaud et terriblement érotique.Les regards s’appuyaient l’un dans l’autre, se levait devant moi le fauve, dominant et fier, si viril que je me sentais une petite fille. J’adorais cela, les épices montaient à mon nez et je me ravissais de découvrir en toi ce que je cherche chez un homme. Je me mis a vraiment jouer sur ton slip avec mon nez, m’appuyer comme cela, à glisser la pointe de ma langue sur les parties qui commençaient par déborder le tissu, gonflées de désir. Je mis encore du temps à glisser le long de tes cuisses, ton slip devenu chaud et odorant, découvrant un sexe parfait que je n’avais pour le moment que deviné. Tu agrippas mes cheveux dans un souffle, ma langue venait de te lécher comme un esquimau, je montais et reprenais tes couilles sous ma langue bien large, appuyée…humide. Tes frissons lorsque ma bouche avala tes couilles…je compris que je tenais ton talon d’Achille tu vibrais comme personne….un “ahhhh” s’échappant de ta gorge basculée, j’observais et je léchais, capturant la moindre de tes réactions afin de mesurer au mieux tes envies. Ton sexe était aussi désirable que tout le reste de ton corps, il se tenait là, sous mon menton et j’avais hâte de le gouter, de savourer ton désir. Je crois que j’ai joué avec lui un moment encore avant de le faire pénétrer ma bouche, je sentais ma culotte collante entre mes cuisses, chaude, presque douloureuse tellement je brulais. Ton mouvement de reins emporta ton sexe tout au fond de ma bouche, il tapait maintenant ma gorge désireux de la gouter. Allongé sur le dos, ta queue dans ma cavité buccale, tu me surpris à enrouler tes jambes et presser tes genoux à mes tempes m’emprisonnant ainsi de ta virile présence et faisant venir ton sexe plus profondément encore en moi. Ma respiration due s’accélérer et mes sens bahis siteleri se troubler, je dus frémir car tu venais de me donner ce que j’aime…..tes doigts pinçant mon nez, j’étais revenue dans mon voyage apnéique….à ta merci, à la merci de notre plaisir. Cette position faisant monter mon excitation d’un coup sec…maintenant je comprenais que nous pouvions aller plus loin, je te laisserais me guider dans notre voyage porn en toute confiance, dans l’abandon.C’est à ce moment sans doute que tu t’es déployé, changeant de personnalité brusquement, excité, fou, je tenais mon PIG MALE LION.Je me lâchais, je m’abandonnais à toi, me laissant amener dans ton univers. Tu te dressais, tu me tirais à toi, tu me retournais ‘viens’…sans doute avais tu aussi perçu que je t’offrirais ma bouche sans retenue. Ton phallus tapait mon visage, j’étais basculée tête en arrière à ouvrir ma gorge afin que tu la pénètres, tu rugissais de plaisir….debout à fourrer ma bouche. Le sexe débridé était là et pourtant tu serrais tes mains dans les miennes comme un amant amoureux, je pouvais ronronner comme une chatte, à prendre ce plaisir dans ma gorge et sentir ta bite dure me baiser de la sorte tout en me sentant accompagnée par ta main rassurante. Dos plaqué au matelas à subir tes coups de reins devenus vifs j’écumais mon propre plaisir dans des flots de salive blanche et des bruits de gorge qui m’excitait par-dessus tout. je te regardais, tes yeux noirs, je sentais tes couilles forcer mes lèvres, la bête lâchée à dévorer la biche. Le gout du sexe amenant encore plus d’envies, l’émulation confiante des esprits et des corps. Je sentais tes cuisses entre mes paumes, fermes, rondes, musclées, ton corps entier bandait et je crois que tu disais des mots que je n’entendais pas…j’étais follement à jouir de la beauté du sexe que nous pratiquions. Nous faisions connaissance de manière si dépravée… tout cela tranchait tellement avec tout ce qui c’était passé auparavant. Une surprise pornographique….grandiose, le sexe confiant et qui ne se donne pas de limite.Je dégoulinais de cette frénésie ascendante, agrippée à ton cou, cherchant ta salive et des baisers alors que nos mains se palpaient comme des aveugles, tu vins cracher ta jouissance chaude dans ma bouche et sur mes joues. Ma langue venant récupérer chaque goutte perdue, tu bandais grand lion, je regardais ta barbe, je léchais tes doigts, je suçais ta petite barbe noire….bordel le fauve m’excitait ! Tu jouis, j’avalais tout, tu ne débandas pas, nous enchainâmes nos cochonneries.Je salivais donc ta queue et tu fouillais maintenant ma chatte de tes doigts, penché sur ma poitrine enfonçant encore plus ta bite au fond de ma gorge, pénétrée par deux fois simultanément, as-tu idée dans l’état dans lequel j’étais ? Je devais certainement me dégager de toi pour respirer en grognant des “encore encore encore”….sauvageonne abandonnée à ta virilité débridée, le feu entre les cuisses, le cerveau en ébullition et mon corps à se laisser mener dans tes mains. Les bruits humides m’excitent encore, je mouille en écrivant ce texte….Le lion devint chat….me prenant doucement dans tes bras, tu me couvris de baisers doux, les yeux à me caresser…..Tu m’avais cependant rendue gourmande et insatiable…..je voulais te sucer à nouveau, je redescendis entre tes cuisses…..mais tu me soulevas de tes bras et me mis à genoux, venant glisser ton visage sous ma chatte….Je sentis tes mains agripper mes fesses et les tirer contre toi….Assise sur ta figure, je sentais ta langue me fouiller avec rage….tête en arrière à te donner ma cyprine, sentir ta langue s’engouffrer dans mon intimité et ton nez s’écraser contre ma vulve à en tirer son jus chaud que j’imaginais barbouiller ta petite barbe que je lècherais ensuite…à embrasser ton menton aux saveurs de sexe…..l’électricité parcourait mes reins et mon dos, je me dressais fièrement d’être si bien baisée par un lion. Tes mains fermement arrimées….c’est aussi à ce moment, à m’avoir excitée comme ta femelle, que tu me fis m’allonger à mon tour sur le dos, venant me chevaucher le visage….pressant tes couilles contre ma face. Surprise et balayée en même temps par cette sensation intense, tu étais assis sur ma tête à te masturber sur mes lèvres et mes joues. C’était affolant, ce fut ma découverte. Pourquoi aucun homme n’avait jamais fait cela ? Ce fut d’une incroyable luxure, je soufflais dès que possible, je respirais güvenilir bahis à m’en rendre folle l’odeur de ton sexe, je tentais de lécher, de caresser tout en me laissant emporter par cette position extravagante. Je devais trembler entre tes cuisses, chercher des repères que je ne trouvais pas, tout cela était nouveau et fatalement addictif pour moi. Entre tes cuisses j’étais l’instrument de ton plaisir. Et j’aimais cela car je sentais que tu en prenais beaucoup à me sentir ainsi abandonnée. Évidement que tout ceci nous excitait comme des animaux et ne faisait que donner aux scènes à venir que plus d’intensité. Ton sexe était si dur, il m’était plaisant de me dire que je participais à ton excitation et que j’exaltais la tienne. Tes va-et-vient continuaient, appuyés, vifs et insolents, mêlés de tes râles, je percevais ton extatique pornographie envahir tout la pièce, je m’étourdissais de te sentir ainsi sur moi. Ton gland frottait mon front, mes écumes barbouillaient tes couilles et venaient maculer mes joues, ça humait fort le cul ! D’ailleurs je te respirais à plein poumons dès que possible, les particules infimes de toi à pénétrer mes naseaux !Il y eut des pauses, des baisers, des roulements de corps, des étreintes et ta pornographie testiculaire repris. Je me souviens avoir ma tête entre tes cuisses, debout appuyé contre le mur à te tenir alors que j’avalais ta queue, ton bras tendu contre le mur blanc, tes jambes tendues à tenir ton équilibre que j’essayais de chavirer. Ta salive qui glissait et percutait ma bouche, quelle frénésie, j’en veux encore. ‘Tu m’excites ! Tu m’excites !’Un si bel homme entre mes cuisses, fantasme absolu incarné, vivant et palpable ! Te voilà à me relever les jambes et m’ouvrir, ta tête engouffrée dans ma chatte…Lion !Rugissements virils, moi à te caresser le crâne et gouter ta barbe au saveur de sexe dans ma vulve. J’ai crié ‘cochon !’, j’étais dans le plaisir exquis de me savoir si bien entreprise, de gouter au sexe intense, aux imaginations débridées. Perdue dans le plaisir de ta découverte. Je me délectais de tes appuis forts et pénétrants, ton front à taper ma chatte, ton nez dans mon piercing et ta langue à m’ouvrir comme une bite l’aurait fait. Oh oui je pouvais me laisser aller….tes doigts, tes trois doigts en moi je me tortillais comme un petit démon. Je suffoquais de plaisir en me rappelant que tu n’aimais pas le fist mais que tu pourrais aisément y prendre gout…Je souriais car ta main me baisait comme j’aime l’être. Le corps dans son abandon multipliait les plaisirs…entre mes cuisses ce félin qui me faisait agoniser dans la luxure. Tu m’explorais et ressortais ta main pleine de mouille, la fourrant dans ma bouche, j’aimais follement cette débauche et je me souviens avoir fait de même avec ma main trempée de cyprine…mes doigts pénétrant ta bouche afin que tu me goutes encore. Une fois de plus le chat repris sa tendre place entre mes seins, m’offrant ses bras et ses baisers…je ronronnais. Il redevint sauvage, je saisis mon gode vibrant en le regardant agiter son sexe qui bandait encore…et encore, sa main rapide, hypnotique masturbant sa queue…je devenais indomptable avec cet instrument entre les cuisses qui allait et venait dans ma chatte, je l’observais se donner du plaisir, tirer son jus, j’allais le boire…encore !Le félin m’aspergea de ses fluides…..Ton sperme était si chaud, la récompense liquide, visible, abondante de nos jeux, le gout anisé, doux que je léchais jusque sur ta patte sans vouloir perdre une goutte de ce lait.Nous avons joué encore de nos corps, sans jamais que nos sexes ne se pénètrent, baisant presque comme deux femelles, le mâle ne me pénétrant pas la chatte…Extase folle et vibrante qui met l’eau à la bouche et dégouline ma chatte à vouloir être baisée à nouveau par ce fauve que tu es. Je veux encore te sentir enfiler ta bite dans ma bouche et te voir venir me cracher dedans…glisser ma salive, la pousser bien profondément en grognant. Me passer ta main entre les cuisses, et jouer avec moi encore sans retenue, frotter tes couilles partout sur moi, me faire gicler, me soulever dans le plaisir. Je veux te sentir vibrer sous ma langue et te voir devenir cet a****l hors de contrôle, je veux que tu cries sous ma paume et rugisse dans ma chatte. Je veux lécher, sucer, enfoncer…jouir encore.La pénétration n’est pas une fin en soi, je le sais, j’y ai encore gouté en ta compagnie, le plaisir peut se tordre même sans cela. L’esprit fin comprend qu’il n’est pas nécessaire de me baiser la chatte avec sa queue mais de me baiser tout court ! Baise-moi encore et plus encore car c’était notre premier verre….

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